Aller au contenu

22Ney44

Membre
  • Compteur de contenus

    3626
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    13

Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. Les rayonnements gamma sont des rayonnements à haute énergie, contrairement au rayonnement Beta (en fait un faisceau d'électrons pour ultra-simplifier)qui est de bien plus faible énergie. Vos concluez en substance je vous cite : " puisque toute l'énergie des bêta est in fine bel et bien employée à endommager les molécules vivantes." soit très exactement le contraire de ce que vous écriviez la veille en affirmant que la toxicité est proportionnelle à l'énergie. En effet ici c'est un forum scientifique où il parait peu convenable d'affirmer une chose et le lendemain son contraire au gré d'une pensée visiblement peu construite à moins qu'elle ne poursuive un autre objectif. Si Modération ne m'avait pas encouragé à ne pas le publier, chacun aurait pu lire la copie du message en MP où vous m'avez copieusement insulté. Mais las de tout cela. Désormais je sais qui vous êtes et surtout ce que vous n'êtes pas. Aussi je ne répondrai plus à vos provocations, ni même à vos écrits que maintenant nous savons dénués de sens. Vous les produisez juste pour tenter d'exister. En vain pour ce qui me concerne. Je vous dis adieu et vous oublierai le plus vite possible. Il vous appartient que la réciproque soit également vraie. Ney
  2. Çà y est ! Il est dans ma grange et Josiane est déjà dans la paille .....🥰 Allez j'ai du boulot ... beauuuuuuuuuuuuuucoup de boulot. Ney
  3. Faux, absolument faux ! La radiotoxicité d'un élément est fonction de sa section efficace avec le composant de collision. Cette section efficace se calcule à partir du Ki² de la particule incidente. A cet égard je vous invite à vous former sur le sujet en commençant par le plus simple : les résonances géantes du carbone. Vous apprendrez en substance que l'indice de radiotoxicité est dépendant de la capacité d'un élément à perdre de l'énergie dans le milieu rencontré. S'agissant des hautes énergies, que vous présentez faussement comme plus radiotoxiques que des éléments de plus basses énergie, plus la particule est énergétique, moins elle a d’interactions avec le milieu. Pour illustrer ce propos je prendrai l'exemple d'un conducteur dangereux. S'il décide de ne pas s'arrêter au feu rouge, son grand intérêt est de circuler le plus rapidement possible, donc d'être le plus énergétique possible. Dans cette situation il passera moins de temps dans le carrefour, sa probabilité de collision, donc sa perte d'énergie, sera d'autant moins probable. Cela fonctionne pareillement dans les interactions nucléaires, même dans les énergies relativistes proches. Si vous aviez eu ne serait-ce qu'un brin raison dans votre essai, AUCUNE forme de Vie n'aurait jamais pu se développer sur notre Planète au motif très simple, pour ne prendre qu'un seul exemple, que le rayonnement cosmique dont la dureté est des milliers à des millions de fois plus important que le rayonnement bêta, aurait depuis longtemps et dès le début de l'apparition de l'activité prébiotique sur notre Planète eu raison de la Vie. Le rayonnement cosmique, forme de rayonnement le plus dur naturel, c'est environ 3 particules/m²/s. Bien évidemment tout ce qui suit dans vos écrits n'a plus de sens, votre démonstration par le fait même non plus. Je vous signale également que vous abusez très largement d'un biais. Votre défense de la méthode du rejet de tritium dans notre biome repose sur la densité de radiations une fois le produit déversé ET DILUÉ dans l'ensemble des océans. Vous ne dites rien de la situation transitoire, celle où le tritium est encore concentré à l'endroit du déversement et où la radioactivité est intense eut égard aux quantité déversées. Prenez les lecteurs pour des billes si cela vous chante, mais faites en sorte, de grâce, qu'ils ne s'en rendent pas compte. Votre ligne de défense du nucléaire n'est pas la conclusion d'un raisonnement que vous avez construit, vous vous êtes contenté d'un copié/collé d'arguties très discutables. Pour exister il va vous falloir trouver plus convaincant. Vous êtes un bien décevant triste sire qui enfin se dévoile. Ney
  4. Est-ce que Josiane a un bon tracteur dans sa dot ? A vrai dire je préférerais la photo du tracteur à celle de Josiane. Si le tracteur est en état, Josiane fera l'affaire. Ney
  5. 22Ney44

    Hominisation

    Est-ce à dire que Les Décideurs sont debout sur la pédale d'accélérateur alors que le mur est là à quelques mètres devant nous? Debout sur l'accélérateur ? je ne le crois pas. Ce ne sont pas, pour la plupart des dirigeants réellement démocrates, des personnes dénuées de réflexion ni de bons sens. Ce sont des personnes dont l'emploi, donc leur mode de rétribution, est soumis à l'avis du plus grand nombre que nous nommons Élections. Quel dirigeants serait alors assez stupide pour ralentir l'économie, voire la stopper, alors que ce serait la décision de bon sens, puisque immédiatement il serait sanctionné par la perte de son pouvoir avec des descentes dans la rue accompagnées du cortège de violences que nous connaissons régulièrement chaque fois qu'une décision déplait. Le dirigeant prudent ne va donc pas prendre la bonne décision de long terme, mais bien préserver son travail, (donc réunir au moins les 50% de majorité élective en ne contrariant que le moins possible) ce que chacun d'entre nous fait légitimement tout au long de sa carrière. En gros cela revient à conserver un filet de développement économique afin de préserver les 2% de croissance annuelle qui correspondent au "Crédit" d'un demain plus riche qu'aujourd'hui, ( j'ai eu l'occasion de développer ce mécanisme planétaire dans le sujet du réchauffement climatique ) sans lesquels il y effondrement du système financier mondial et par là la perte de civilisation. La marge de manœuvre est ultra-étroite, et je n'aimerais vraiment pas devoir décider dans cette situation. Voilà pourquoi j'ai parlé d'apparente inertie plus haut. Vue côté coulisse la réalité est autre. Ney
  6. 22Ney44

    Hominisation

    Bonjour @polorider, Vous comprenez peut-être un peu mieux l'apparente inertie des pouvoirs de décision de ce Monde ! Quoi que nous fassions à partir de maintenant, la facture sera de toute façon terrible et il n'y a pas que la facture "argent". Nous avons un mode de vie à revoir intégralement. Depuis le milieu des années 80, j'ai fait partie de ce petit groupe de scientifiques qui avait déjà alerté les pouvoirs publics avec pour toute réponse "Fermez-là ou vous aurez à le regretter". C'est notre forme d'Humanité qui est maintenant en jeu, un drôle de jeu où le nombre de places de survie va être extrêmement restreint. Si en 1990 c'était encore de la science fiction parce que c'était réversible, aujourd'hui je n'ai pas la plus petite idée de par où commencer à réfléchir à une solution qui sauverait davantage de personnes. Mais bon d'un point de vue macroscopique ce n'est pas si grave. Aujourd'hui avec l'étude signalée par @Pyrene nous savons que tant qu'il restera au moins 1 000 individus sur la planète, la Vie du genre Homo peut potentiellement repartir. Ce sera juste une question de temps. Du point de vue microscopique (à l'échelle de la planète, c'est à dire chacune de nos vies) le pronostic vital est engagé pour chacun de nous. Engagé puisque le simple fait de naitre est le premier acte d'une condamnation à mort certaine, mais celle-là est presque acceptable car c'est une condition sine qua none de vivre, mais aussi et surtout engagé parce que nous avons chacun d'entre nous avec patience et persévérance fabriqué cet outil qui va nous tuer précocement du moins pour celles et ceux qui sont jeunes depuis moins longtemps que d'autres. Nous nous sommes gavés d'énergie ces cinquante dernières années en rejetant des déchets, le CO2 entre autre, sans se soucier de l'impact, le balancier nous revient maintenant à pleine vitesse. Il n'y a aucune surprise, c'était prévu depuis au moins 40 ans, les sociétés pétrolières avaient refait les calculs que nous avions produits. Les résultats étaient en cohérence. Quant à coloniser l'espace, voilà bien une drôle d'idée ! Coloniser Mars c'est d'abord préparer la planète à une vie déconfinée. Cela prendra environ 300 ans de "Terra formation" durant lesquels la colonie n'aura qu'une très faible autonomie et dépendra drastiquement des supports techniques et financiers de la Terre. Sauf que nous n'avons plus 300 ans pour cela. Il faut alors aller plus loin trouver une planète déjà formée et acceptant notre biologie. Or nous n'avons aucun outil théorique en mathématique ou en physique pour "réduire" les distances. Où irions-nous ? Un voyage vers Mars exposera déjà les humains à des risques radiologiques supérieurs, alors aller jusqu'à l'étoile la plus proche c'est la mort quasi-assurée soit par cancers multiples soit par dégénérescence liée aux multiples mutations créées par les radiations sur le temps du voyage, et encore ce n'est qu'un tout petit bout du problème. Ce simple fait radiologique est par exemple déjà illustré depuis longtemps par la situation des pilotes civils qui sont classés comme agent DATR (Directement Affecté aux Travaux sous Rayonnement) alors que la haute atmosphère les protège encore grandement. Ce qui est vrai du vivant qui peut en partie se réparer ou s'adapter l'est aussi du passif. je pense là aux composants électroniques des vaisseaux spatiaux. Soumis aux rayonnements, ils se dégradent sans pouvoir se réparer, se dégradant ils ne remplissent plus les objectifs. la solution à ce jour pour les voyages vers Mars est d'embarquer des composants "rustiques" qui ne seront malheureusement que trop insuffisants pour réussir la mission. Ney
  7. 22Ney44

    Hominisation

    Vous ne répondez pas à la question posée concernant la coalescence. Ney
  8. 22Ney44

    Hominisation

    Bonjour @tictactoc, Vous trouverez ci-joint l'intégralité de la publication sur laquelle @Pyrene s'est appuyé. Je vous invite à la lire car j'aimerais beaucoup avoir votre avis sur la pertinence de l'échantillonnage présenté en page 78. Je ne vois pas clairement en quoi elle explique sans ambiguïté la coalescence qui a abouti à l'émergence du chromosome 2 moderne. Bonne lecture Ney science.abq7487_sm.pdf
  9. 22Ney44

    Hominisation

    Bonjour @Pyrene, Le froid a tué en créant la famine essentiellement par destruction de la biodiversité, c'est à dire l'anéantissement de la chaine du vivant. Le chaud va également créer cette famine par le même mécanisme, c'est maintenant inéluctable, quoi qu'en disent les négationnistes climatiques. Pour les mêmes raisons, nous pourrions ne plus être "que" 80 millions d'habitants sur Terre. Aux morts par famine il ne faut pas oublier d'ajouter ceux qui le seront par la chaleur humide dont le taux de létalité est supérieur à celui du froid. Il n'est qu' à comparer le taux de sur-mortalité actuel des sans abris entre l'été et l'hiver. Bien qu'il soit nettement supérieur en été, tout le monde s'en fiche, nous sommes pour beaucoup à la plage ou à la montagne au mieux, mais indifférents de toute façon. Même indifférence qu'à l'égard de l'évolution du climat, tant le déni est prégnant. Qui survivra alors ? Les plus forts et les moins empathiques dont le seul souci sera la survie à tout prix, quelles qu'en soient les conséquences sur autrui, il n'y aura plus ni États, ni Justice pour réguler. Ce processus n'est pas nouveau, nous savons donc comment cela fonctionne. Ce qui est nouveau est qu'il va être instantanément planétaire. Nous en avons déjà les tous premiers petits prémices avec l'amorce encore très timide de l'immigration. Lorsque la Chine décidera d'émigrer car 35% de son territoire habitable sera rendu stérile à toute forme de vie soit par la montée des eaux, soit par la sécheresse, lorsque ce sera au tour du japon, où ce sera 100 % du territoire habitable avant la fin de ce siècle, puis l'Inde, puis le Pakistan, puis le Bangladesh, puis environ 25% des États Unis puis , puis, puis ... Que ferons-nous habitants du Nord-Ouest de l'Europe, un des derniers territoires où la vie sera encore possible, devant ce déferlement ? Pour l'instant je n'ai qu'une seule réponse, subir en tentant d'échapper au carnage, car il y en aura forcément. Si quelqu'un peut me démontrer que j'ai tort, autrement que par des propos dé^placés comme il y a peu dans un autre sujet, je suis très très preneur. Un seul micro-exemple de ce qui nous attend : Si nous stoppions à l'instant même toutes les formes de production des Gaz à effet de serre, donc si nous stoppions TOUTE l'économie et aussi la production de nourriture, il nous faudra environ 800 à 1 000 ans pour retrouver un climat d'avant l'ère industrielle alors que les océans, dont l'effet délétère n'a pas encore commencé, seront dix plus contributifs aux dérèglements. Dans quelques milliers d'années une nouvelle hominisation redémarrera et le cycle est reparti pour 1 million d'années. Ney
  10. Bonjour @podline6, Je n'ai aucune compétence en matière d'astrophoto du Ciel profond. Donc d'autres astram's vous répondront avec bien plus de pertinence. Cependant pour amorcer la réflexion, considérez que c'est par l'imageur que vous devez commencer votre setup. En effet c'est bien là que le choix est moindre. Une fois l'imageur choisi, vous chercherez le tube qui vous donne le bon échantillonnage, celui de l'imageur, en prenant un critère majeur en compte le rapport F/D. Mais attention, plus ce rapport va être faible, bien entendu plus vos temps de pose seront courts et donc intéressants, mais malheureusement en échange les réglages optimum vont être beaucoup moins permissifs. Tout va donc être dans la recherche d'un bon équilibre, sans compromis, entre performances et droit à l'approximation. Enfin viendra le choix de la monture qui commencera par la pesée de tout ce qu'elle doit porter, à quoi vous appliquerez un facteur 1,43 ( l'inverse de 70% qui est le taux de restriction de poids en astrophoto). Vous aurez alors la performance minimum de portée de la monture ad hoc. Prenez là aussi une marge de sécurité qui vous permettra plus tard d'ajouter tel ou tel accessoire. Pour finir ce sera votre porte-monnaie qui fixera la classe de la monture que vous prendrez. Sachez enfin que c'est ce dernier composant, la monture, qui sera le plus discriminant pour la part du matériel dans la qualité finale de votre setup. Voili, voilou, ce sont juste des généralités, les spécialistes entreront bien plus dans le détail et la profondeur des explications. Ney
  11. Chapeau bas pour cette explication claire, limpide et aisée à comprendre. Merci. Ney
  12. Bonjour @podline6, Il nous manque a priori une donnée dans votre demande : quels objets astrophotographiez-vous ? En effet avec une barlow X5 votre rapport F/D va passer de 4,5 à 22,5. Et là se présentent deux cas : 1) Vous pratiquez l'astrophoto du ciel profond et dans ce cas avec un tel rapport F/D vos temps de pose vont s'envoler sur des durées inacceptables, donc à oublier. 2) Vous pratiquez l'astrophoto planétaire et dans ce cas cela va fonctionner, nous allons voir comment. Une autre manière pour le planétaire de trouver la bonne combinaison est d'utiliser le calcul suivant : F/D idéal = 5,1 X dimension du photosite en microns soit pour votre matériel : F/D idéal = 5,1 X 3,36 = 17,136. Votre F/D initial étant de 4,5 la barlow idéale est alors de 17,136 / 4,5 = 3,08. Votre barlow idéale est alors une barlow de X3. Le rapport mini de F/D est aussi ce rapport idéal sauf à être sous-échantillonné, ce qui est à proscrire. Cependant, si votre ciel le permet vous pouvez sur-échantillonner en augmentant le facteur de barlow sans ne jamais dépasser le rapport F/D = 25. Vous avez une barlow très intéressante pour réaliser tout cela c'est la barlow Televue X3 dont le rapport peut augmenter en fonction du tirage, c'est à dire la distance que vous mettrez entre le plan de sortie de la barlow et le plan d'entrée de votre imageur. Voyez le graphe ICI. Un défaut de cette barlow est son prix, mais avec un peu de patience elle se trouve en occasion. D'autres astrams vous diront certainement leur expérience avec une autre marque. Cette barlow que je possède et qui me rend bien le service est sur un instrument à F/D = 5 et une caméra ASI 224 MC dont la taille des pixels est de 3,75 micromètres, quelque chose d'assez proche de votre situation, sauf la focale de l'instrument. Enfin pour progresser rapidement en photo planétaire je ne saurais trop vous suggérer de visiter le site de Christophe PELLIER ICI , il est vraiment très complet et très didactique. Enfin la chaine astro de notre ami @CDLC ICI vous sera également d'une précieuse aide. Ney
  13. Bonjour @Jérôme AE, ICI peut-être un début de réponse. Ney
  14. Éblouissant ! Tout. - T'es sûr ? - Plus que certain. Ney
  15. Bonjour @Chutney, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Réponse à un parfait débutant : " Passez donc par la case Présentation". Personne ici n'en sera fâché, je vous l'assure ! Ney
  16. Arg ! Lu et approuvé ! Ce qui nous donne la Lu-noeud et la Paris-Thé. Que faire avec cela ? Ce mois d'août il y a deux pleine Lune que les Américains ont pris l'habitude de nommer en s'appuyant sur le Old Farmer’s Almanac. Ne serait-ce pas alors une disparité de genre dans les noms qui fait un si grand déséquilibre dans la répartition que les deux dernières nominations tentent de rééquilibrer ? La liste serait alors celle des des noms américains des pleines lunes. Ney
  17. Bonjour @Great gig in the sky, L'une des charades me fait des nœuds et pas qu'aux neurones, l'autre me laisse à parité ... Ney
  18. Ce à quoi il convient d'ajouter le premier postulat de l'état quantique, le principe de superposition. Même si au sens de la physique classique cela n'a pas de sens, il n'en demeure pas moins que sur le trajet objet émetteur - dispositif récepteur il n'y a pas grand monde a pouvoir expliquer tout ce par quoi le photon-électron (deux des situations le plus facilement rencontrées pour cette même particule élémentaire) a pu passer. Mathématiquement il y a peu de chances que ce soit la particule de départ qui soit individuellement la même que celle d'arrivée même s'il n'y a eu aucune interaction de mécanique classique sur le parcours. C'est cette dualité de forme qui nous permet par exemple d'affirmer que la lumière est corpusculaire dans l'état quantique électron et ondulatoire dans l'état quantique photon. Oublions donc cette notion qui voudrait que ce soit un photon parti des Piliers de la Création par exemple qui vienne heurter notre rétine et contribuer à former cette image si extra-ordinaire qui continuera de nous émerveiller. A chaque plus petite portion concevable du temps il s'est passé des milliards de milliards de mutations. la chance que nous avons est que pour l'instant nous avons la certitude scientifique (donc susceptible d'être remise fondamentalement en cause dans un futur indéterminé) que tous les éléments d'une même forme quantique, l'électron par exemple, sont et demeurent strictement identiques entre eux où qu'ils soient dans l'Univers. Sans cette propriété, le principe même de la vision par rayonnement électro-magnétique n'existerait pas. Ney
  19. Bonjour les gens, Extrêmement intéressant ce sujet, merci @'Bruno de l'avoir initié. Après l'avoir lu puis relu, il est difficile d'en extraire UNE vérité tant les arguments des uns et des autres sont justes et défendent bien la position de chacun tout en ne donnant pas encore une ligne de convergence. Aussi j'irai de mon petit grain de sel. A la fin de la relecture l'expression qui s'est imposée est "Observation augmentée" Le mot visuel n'a pas besoin de figurer, car comme bien expliquer ci dessus quelque soit les circonstances c'est par le sens de la vision que nous parvient l'information en astronomie amateur (exception faite de la pratique de la radioastronomie encore que le résultat final est bien un diagramme). "Observation" pour bien différencier du simple regard. L'observation pour dire que nous sommes dans une pratique qui a ses codes, ses règles, ses objectifs et ses attendus. Jusque là nous incluons tous les modes d'observations, depuis l'oeil nu jusqu’à la méthode photographique la plus élaborée. Ceci dit alors, que l'interposition d'un instrument entre l'objet observé et l'oeil est déjà de l'assistance. L'expression Visuel assisté aurait ainsi dû s'appliquer à la pratique d'un instrument d'optique, jumelles, télescope, lunette, alors que l'observation tout court ne se fait qu'à l'oeil nu comme cela s'est fait jusqu'à Galilée. "Augmentée" En ajoutant ce terme nous introduisons implicitement la notion d'amplification par un moyen technique. C'est à dire que l'image finale significativement différente de l'image obtenue par les seuls moyens naturels est obtenue par augmentation des informations contenues dans l'image. cette augmentation est obtenue soit par accroissement de la sensibilité du senseur, capteur d'une caméra versus rétine, soit par accroissement du temps d'intégration, temps de pose long d'une caméra versus instantanéité de la rétine. Quelque soit les procédés techniques employés, c'est bien d'augmentation de l'information dans l'image qu'il est question. Nous aurions ainsi quatre degrés dans la pratique 1) L'Observation : Pratique qui commence avec l’œil nu tout en incluant les suivantes. 2) L'Observation Assistée : Pratique qui met en œuvre un instrument d'optique d'assistance. 3) L'Observation Augmentée : Pratique qui met en plus de l'assistance un dispositif amplificateur en ligne de l'observation 4) L'Observation Astrophotographique : Pratique qui en plus de l'augmentation demande une activité significative hors ligne de l'observation à savoir tous les post traitements informatisés aujourd'hui. Cette perspective a, je trouve, le mérite d'unifier et de graduer toutes nos pratiques plutôt que de chercher à les opposer. J'y trouve une progression naturelle où chacun peut y trouver son compte tout en excluant des catégorisations parfois enclines à créer des discriminations. Ney
  20. Heueueueu ... Et si pour mettre (presque) tout le monde en accord nous constations qu'aucun des instruments n'est pointé vers le personnage debout dans la tour ! En effet puisque nous voyons le personnage de face, nous devrions voir les instruments de l'arrière et non de quasi profil comme sur le croquis. Mais alors de qui ces Aliens parlent-ils, que voient-ils dans leur oculaire et quelle est la blague ? Mystère ... Ney
  21. Inscrit au groupe Astronomie sur Signal. Ney
  22. Très bonne idée. Cependant Whatsapp est pour moi devenu impossible. Comme j'ai refusé à cette plateforme l'accès complet à mon téléphone, en représailles ils m'ont flouté toutes mes photos y compris celles familiales relatives à cette plateforme. Aussi depuis, toute la famille a banni Wattsapp et nous utilisons maintenant Signal qui est un produit libre Open source qui se finance par des dons. Idem Facebook, Instagram etc ... S'il ne s'agit que d'employer une boucle pour faire circuler de l'information, Telegram fait parfaitement l'affaire. Ney
  23. Bonsoir GGITS, Connu pour être un amoureux inconsidéré des astéroïdes, l'auteur de cette énigme ne nous mettrait-il pas en chasse sur les traces de l'un d'eux ? Ney
  24. Un télescope Dobson de diamètre du tube 150 à 200 mm occupera un cercle d'environ 50 cm au sol un fois parqué en position verticale. Une monture équatoriale n'a pas de position parquée et va occuper au sol un cercle d'environ 1 m soit quatre fois plus de surface, sans compter les contre poids qui dépassent. Un Dobson est beaucoup plus facile à déplacer car le tube se sépare aisément de la monture. Si la monture équatoriale est plus légère, la séparation instrument monture est bien moins facile à gérer. Puisque vous êtes dans la phase de réflexion, notez qu'un instrument entreposé à l'étage est un instrument qui va y demeurer de plus en plus souvent passé les premiers temps de possession, pour finalement s'y sédentariser. Un bon télescope est un télescope qui sort souvent, passer par l'escalier à chaque fois, outre que cela représente un risque surtout au retour où la rosée qui s'y est déposée, la fatigue certaine de l'observateur vont lui faire courir de plus en plus de risque. Le propos est peut-être alarmiste, mais il se base sur des situations observées. Ney
  25. Bonjour @Pippa, Bienvenue sur le site WebAstro. Une présentation ne nuira absolument à votre arrivée ici et je vous le garantis ne fâchera personne. En effet votre budget est limité. Aussi commençons par supprimer tout ce qui va le plomber. La moulinette vous a proposé une monture équatoriale. En réalité vous n'en avez pas besoin pour du visuel simple, ce qui est votre premier objectif. Une monture équatoriale "consomme " beaucoup de budget même dans le début de la gamme et cela au détriment de l'optique à dépense égale. Aussi je vous recommande fortement de vous intéresser à un instrument doté d'une monture altazimutale beaucoup plus simple à utiliser. L'exemple emblématique est la monture Dobson. En visuel pur et plus encore pour du planétaire, c'est le diamètre qui est déterminant. Plus il est important, plus vous verrez de détails. Un 130 mm va vous régaler sur la Lune et puis ce sera à peu près tout. Les planètes comme Jupiter ou Saturne vous apparaitront comme deux sphères avec les soirs exceptionnels quelques couleurs sur Jupiter et des anneaux un peu mieux définis sur Saturne mais sans aller jusqu'à distinguer nettement la séparation de Cassini par exemple. Mars même dans d'excellentes conditions ne sera pas plus qu'une cercle rougeâtre. Alors que faire ? Peut-être attendre quelques mois et économiser encore quelques dizaines d'euros supplémentaires pour pouvoir acquérir un Dobson de 150 mm ou mieux 200 mm. En prenant le temps et à condition de surveiller de manière assidue et fréquente les petites annonces ici même, sur Astrosurf et Le bon coin, en quelques mois vous allez forcément trouver la bonne occasion. A titre personnel j'ai mis 8 mois pour trouver l'instrument que je voulais à un prix de 60% du neuf pour un instrument qui avait à peine plus d'un an. Pour résumer : 1) Oubliez la monture équatoriale aussi inutile que complexe pour débuter. 2) Scrutez les petites annonces avec obstination. 3) Soyez d'une patience infinie. Je vous assure alors que vous trouverez l'instrument qui vous va. D'autres avis viendront. Bonne recherche. Ney
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.