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22Ney44

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  1. Bonjour @Jub, Sur Paris au 31 rue de Rivoli, il y a le magasin très connu ici "Le Monde de l'Observation" (ex Maison de l'Astronomie). Leur téléphone 01 42 77 99 55 . Tenez-nous au courant et pensez aussi à nous faire votre présentation, cela est toujours bienvenu. Ney
  2. Bonjour les gens, Cet article du journal Le Monde ne dit rien de faux, mais demeure très partiel. Les mécanismes réglant le fonctionnement de notre atmosphère sont infiniment complexes et nous en savons d'autant moins que nous créons par nos activités, notre sur-consommation et nos comportements une situation nouvelle qui reste à comprendre. Lorsqu'on sait que le modèle qui décrit le mieux son fonctionnement est le modèle chaotique (l'effet papillon,) toute forme de prévision devient "acrobatique". C'est bien ce que dit Christophe CASSOU membre du GIEC. Pour avoir échanger directement avec un autre membre du GIEC, et comme le rapporte cette réponse du journal, si nous nous en tenons à la composante émergée, ce que nous appelons la partie terrestre de la Planète, alors oui le raisonnement de l'auteur de l'article est plutôt bon eu égard à la faible latence de l'air et le peu d'hystérésis dans le comportement de l'atmosphère. Cela c'est pour la partie terrestre, et qui ne représente qu'environ 10% du moteur des bouleversements climatiques. Il reste les océans qui eux contiennent 90% de ce moteur qui n'a pas encore commencé à manifester son implication et ses conséquences. Nous savons aujourd'hui avec certitude que les vrais ennuis vont commencer quand l'océan amorcera le début de sa réponse. Quelques indices apparaissent déjà, comme le ralentissement du courant océanique Atlantique Nord. La conséquence va être une variation non négligeable de la dynamique du front polaire Nord, chef d'orchestre de la pluviométrie dans notre zone tempérée. Nous enregistrons déjà de fortes variations de notre pluviométrie, sans être capables pour l'instant d'affirmer si elles sont un épiphénomène ou si elles s'installent durablement. Les scientifiques, par les principes même de leur mode de fonctionnement, ne peuvent se prononcer définitivement qu'au terme d'une période significative de mesures et d'observations. Ce qui a pour conséquences de "laisser courir" car le politique refuse de mettre en place les principes de précautions qui seraient perçus comme une atteinte aux libertés individuelles, celle en particulier d'exercer son égoïsme, nous avons à cet égard une figure emblématique dans ce fil de discussion. Pour conclure, cet article est juste scientifiquement pour la partie terrestre prise isolément de manière intellectuelle, ce qui n'est dans la réalité bien évidemment pas possible. Ce sont les océans qui vont dicter la suite du scenario. Les perspectives ne sont pas vraiment réjouissantes. Il nous faudra entre huit et dix siècles pour sortir de la crise et environ dix fois plus de temps pour retrouver un climat stabilisé et prévisible. C'est proclamé par les membres du GIEC, cela est-il écrit dans la note de synthèse de vingt cinq pages remise aux dirigeants, je ne le sais pas, mais c'est en tout cas une très grande certitude. Ce délai se mesurant en siècles est hors du champ de réflexion d'un dirigeant politique dont le seul horizon est celui de sa prochaine échéance électorale comme chacun le sait. Cela le contraint à ne prendre que des décisions qui caressent l'électeur dans le sens de son bulletin de vote, même si cette décision est délétère pour l'avenir. Imaginez une seconde ce que pourrait faire un dirigeant politique qui n'a plus cette épée de Damoclès à peser sur ses décisions. (Tiens ça me rappelle quelque chose). Pour finir, cet article du journal Le Monde, qui pour être juste et non critiquable doit rester très partiel me pousse à m'interroger sur la motivation profonde d'une telle démarche. Il ne présente en définitive qu'un intérêt intellectuel parce qu'il ne prend pas en compte la globalité ni la transversalité du problème qu'il souhaite traiter. Dommage ! Ney
  3. D'où pour vous la nécessité de formuler une ou des hypothèse-s et de prédire plusieurs faits qui la-les vérifieraient ou la-les contrediraient. Vient ensuite l'expérimentation où vous accumulerez des faits mesurés que vous viendrez comparer à vos formulations initiales. C'est au choix des modèles d'expérience qu'on évalue la valeur de l'expérimentateur. ce point est crucial. Il ne vous restera plus qu'à les discuter puis à conclure. Cela parait fastidieux, mais tout travail de recherche EST fastidieux ... et pour cause. "Une minute d'inspiration pour 24 heures de transpiration" dit-on ! Pour être un peu plus pragmatique, je vous inviterais bien à comparer la situation de l'éclairage artificiel avant et après l'arrivée de l'éclairage à LED. Vous pourriez par exemple bâtir un raisonnement sur le fait que la technique LED est une terrible fausse "bonne idée". Essayez d'isoler le ou les arguments qui ont procédé à la promotion de cette technique, d'une part, mais essayez aussi d'évaluer toutes les conséquences sur la biodiversité urbaine. Un seul exemple, la croissance végétale est très fortement ralentie, celle des arbres pour n'en citer qu'une est divisée jusque par quatre selon les espèces. Voilà bien un cas de pollution lumineuse qui n'est que très peu traité parce que contraire à un intérêt économique direct, le coût de l'énergie d'éclairage. Vous pourrez alors vous demander si une autre solution pourrait être de ne plus éclairer artificiellement, ce qui rendrait l'argument économique cette fois plus pertinent. Ce sujet est très vaste, vous avez de quoi créer un sujet vraiment original. Ney
  4. Ça c'est gentil comme tout @Papalima. Comme cela la dame va pouvoir aller au ciné avec sa copine. J'espère que vous vous entendrez bien avec la monsieur ! Ney
  5. Bonjour @David31170, Avez-vous la raquette Synscan avec votre monture ? Si oui est-ce le modèle avec la prise USB Type B ? Si oui alors vous pouvez connecter votre monture en direct à l'ordinateur en activant la fonction PC Direct. Vous trouverez cette fonctionnalité dans le menu Utility Func puis l'entrée PC Direct Mode. Pour l'application Stellarium, vous n'avez pas besoin d'employer ASCOM, Stellarium reconnait les montures SkyWatcher directement. Cela fait une couche logicielle de moins, donc une source d'ennuis de moins. Ney
  6. Bonjour David, Pour la question Q1, je laisse un ou une spécialiste du Ciel profond développer. Je n'ai qu'une petite connaissance toute théorique dans ce domaine. Pour la question Q2, j'utilise une formule dérivée pour le calcul de l'échantillonage ou plutôt pour le calcul du rapport idéal F/D du train optique. Ce rapport F/D idéal est égal à 5,1 fois la dimension en microns d'un photosite de la caméra. Votre APN ayant une dimension de photosite égale à 4,78 microns, le rapport F/D idéal dans votre cas est alors de 24,38. Pour atteindre cette valeur, vous devez employer une lentille de Barlow dont le facteur idéal de multiplication est égal au rapport de F/D idéal à celui de construction de votre instrument soit alors Barlow idéale = 24,38 / 5 = 4,87. Une barlow X5 fera ainsi l'affaire pour un rapport F/D du train optique de 25 ce qui est la valeur max (par contre je ne sais plus pourquoi). Pour la question Q3. Si vous souhaitez mettre un oculaire dans le train optique, vous ne ferez plus de photos au foyer mais en digiscopie, ce qui est une autre méthode tout à fait convenable pour découvrir la discipline. Dans ce cas l'ordre dans votre train optique sera Miroir primaire, miroir secondaire, barlow, oculaire et enfin objectif de votre APN. Ce procédé ajoute de nombreux éléments optiques et par conséquent deux fois autant d'interfaces verre/air avec à chaque passage un petit bout d'aberrations de toutes sortes et une perte de luminosité. Ce sont autant d'éléments défavorables à la qualité de la photo. Par contre il est vrai qu'avec un oculaire de courte focale l'image que vous obtiendrez en pupille de sortie sera plus grande qu'au foyer mais avec moins de photons au micron2 pour cause d'étalement de l'image après grossissement étant entendu que la quantité de photons entrant dans l'instrument, fonction de son diamètre, reste une constante. Le site de Christophe PELLIER https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/astronomie-planetaire/a-propos-de-ce-blog/ mérite que vous y consacriez du temps. Vous allez découvrir tous les arcanes pour débuter l'astrophotographie planétaire avec succès. Le chapitre 7 de sa publication (gratuite) vous expliquera en détail, le calcul que je vous ai présenté en réponse à la question 2. Concernant la présence ou non d'un filtre IR, le site de Christophe PELLIER, photos à l'appui va bien vous expliquer l'impact. Si la présence d'IR peut être un plus sur une photo lunaire, cette présence dégrade vraiment une phot de Mars par exemple. Si votre APN n'est pas défiltré, les IR sont alors coupés. Cependant je vous rappelle qu'APN en planétaire ne fait vraiment pas l'affaire. Ney
  7. Bonjour @David31170, Astrophotographier les planètes et le Ciel profond suppose pratiquement sans débats maintenant de mettre le mot "Caméra" au pluriel tant ces deux pratiques sans être opposées exigent des performances incompatibles. Ce sujet a été traité des dizaines de fois sur le forum, une petite recherche finira par vous convaincre. En astronomie si la polyvalence est déjà quasi inexistante en visuel pur, elle l'est pleinement et définitivement en astrophoto. Votre APN va vous être utile en Ciel profond pour astrophotographier les grands champs de nébuleuses et/ou de galaxies, encore que compte tenu de la taille importante de vos photosites, l'échantillonnage va vous imposer un rapport F/D élevé. Ce rapport élevé va vous induire des temps de poses très longs et donc une complexification intense pour exploiter votre setup. Il vous sera parfaitement inutile sur les planètes qui n'apparaitront que comme un point de quelques dizaines de pixels sur toute la surface de votre capteur. Avec des pixels de 4,78 microns le F/D idéal (et aussi minimum) sera de 24,38 soit déjà très proche du F/D maximum ( valeur 25). Vous ne pourrez donc pas grossir beaucoup plus comme vous le feriez avec une caméra planétaire dédiée. De plus votre APN a une vitesse de prise de vue film, (c'est le mode nécessaire en astrophoto planétaire) d'au maximum 30 images/seconde ce qui est faible là où une vitesse égale,, ou mieux supérieure à 100 i/s permet de récolter les quelques milliers d'images requises en un temps suffisamment court pour limiter les traitements de dérotation de la planète visée. Par contre vous pourrez vous initier à l'astrophoto planétaire avec votre APN en utilisant la Lune comme sujet. Là vous aurez de quoi faire, il vous reste juste à vous assurer que le point focal, barlow comprise est accessible même porte-oculaire entièrement rentré. Si votre budget est limité, pensez à une caméra planétaire dédiée en occasion dotée d'un capteur type IMX 224 ou 225, environ 180 € plus la lentille de Barlow et un filtre anti-IR. Bonne réflexion. Ney
  8. 22Ney44

    Suppression de compte

    Bonjour @jeremASTRO49, Avant de prendre une décision aussi radicale, peut-être y a-t-il une autre voie ! Dites nous quelques mots sur votre motivation à vouloir nous quitter. Ney
  9. Bonsoir @montp, Votre citation est sortie de son contexte. Pouvez-vous nous indiquer le lien l'article qui donne cette information ? Certains oculaires comme Hyperion par exemple ont à leur extrémité entrante (ou inférieure) une lentille de barlow qui fait aussi office de coulant 1,25". En la dévissant, c'est alors le coulant de 2" qui est entrant avec une focale plus courte. Dans ce cas précis il faudra sans doute une bague allonge de 2" pour réaliser la mise au point. Ney
  10. Tout à fait d'accord avec vous. C'est bien pour cela que j'avais donné le lien très tôt dans ce sujet. Ney
  11. Si cela a un rapport avec Pâques, peut-être faut-il se remémorer que l'Église romaine a puisé dans ses dernières ressources intellectuelles pour mettre au point un jeu de règles complexes afin de calculer une date des Pâques chrétiennes qui ne coïncident jamais avec la Pâque juive, question de dominance. Seulement voilà, tout système trouve un jour ou l'autre une "faille" ! Il se trouve qu'en 2023 le deux Pâques, juive et catholique toutes deux calculées selon le calendrier lunaire, sont survenues le même jour, hier. Ney PS : Chaque pleine Lune porte sa couleur et est ainsi désignée non pas en astrologie mais bien dans le domaine scientifique, puisque c'est ainsi que très officiellement la NASA désigne chacune des pleines Lune de l'année.
  12. ouaouououou ! Y'en a dès qui voient les anneaux de Saturne à l'oeil nu ? ben dis donc ! Ça c'est balaise. Comme @Pyrene, java chez mon oculiste de ce pas. Ney PS : Comme il y a un "s" au mot Saturne dans le titre, je m'interroge. Y-aurait-il plusieurs saturne"s" ?
  13. Bonjour Roger, La pleine Lune du mois d'avril est appelée Lune rose chaque année. Cela se retrouve dans le très vieil almanach des fermiers. Rose, non pas que notre satellite prend cette couleur, mais bien parce que en Avril, c'est la période où fleurissent les Phlox, magnifiques fleurs roses sauvages. Si d'aventure il y avait une deuxième pleine lune en Avril, ce qui est possible, elle serait alors nommée Lune bleue. C'est d'ailleurs ce qui nous arrivera en Août de cette année. Ney
  14. Ce à quoi je crois qu'il faut ajouter le GoTo pour répondre au cahier des charges de @Morgurgh. Cf son premier post Ney
  15. Bonsoir @NicoB, Belle décicsion que de vous lancer dans la construction d'un instrument. Comme vous le soulignez déjà, WA est pour vous une source importante d'informations. Plusieurs astram's ont présenté ici leur travail et leur réalisation, la dernière ( https://www.webastro.net/forums/topic/237211-t300-légercompact/ ) une création de @Adrien44 est très inspirante. Je vous souhaite courage et obstination, l’œuvre sera belle. Ney
  16. Bonjour @LowBly, Tout d'abord félicitations et encouragements pour vous atteler sérieusement à ce qui vous attend, avec assez d'avance. Non seulement ce sujet est vaste, mais il est encore très largement dans le domaine de la supputation et des situations extrêmes dont les principes physiques sont hors de portée d'un programme du bac. Bien sûr la science a déjà publié pas mal de données sur le sujet mais toujours avec des incertitudes. Je pense également que nous nous éloignons assez fortement du domaine balayé par le programme de terminale. Ce n'est donc pas sans risques pour vous. Si vous souhaitez présenter les lois de Képler, une suggestion parmi d'autres serait de vous intéresser à toute la problématique des étagements de satellites autour de la Terre. depuis les orbites basses, jusqu'à l'orbite des satellites géostationnaires. Pourquoi une orbite basse, pourquoi une orbite "haute", comment arrive-t-on à cette position fixe relativement à la Terre. Les intérêts et les inconvénients de chaque situation. Vous pouvez partir de l'historique des satellites comme la première retransmission en direct de télévision par satellite (https://www.telesatellite.com/articles/les-debuts-de-la-television-par-satellite/) . Vous pourrez finir votre sujet en l'ouvrant sur les cas particuliers de marée gravitationnelle intense ayant induit la désintégration des comètes en frôlant Jupiter (https://fr.wikipedia.org/wiki/Shoemaker-Levy_9) , les observations de la trajectoire de Mercure (très proche du soleil) différente des prédictions des lois de Képler, et enfin la situation gravitationnelle dans la banlieue des trous noirs. Ce faisant vous réalisez votre sujet dans la sphère du programme de lycée tout en mettant en évidence votre capacité de curiosité au delà de ce programme. Je crois sincèrement que le jury devrait apprécier. Ney
  17. Bonjour @valdetahiti, Dans votre processus de collimation vous ne faites qu'une toute petite partie du chemin, celle qui permet de collimater un instrument pour du visuel "à la volée". Pour du visuel fouillé, et plus encore pour de l'astrophoto, vous ne pouvez pas faire l'économie de la collimation fine à très fort grossissement et un oculaire défocalisé sur une étoile de préférence brillante. Les tutos sur le net sont très nombreux à ce sujet. Pour le reste @danielo est très précis et complet. Ney
  18. Bonjour @Morgurgh, Vous êtes déjà très expérimenté au regard des instruments que vous avez possédés avant. J'ai bien conscience que ce sont des problèmes physiques qui vous ont conduit à vous en séparer. Cependant si un instrument de 120 ou 127 mm va vous permettre de le déplacer facilement, il ne vous donnera malheureusement que peu de détails sur le planétaire à part sur la Lune bien sûr. Sur Saturne, à condition d'avoir de bons oculaires, vous devinerez la division de Cassini si bien sûr le ciel est de qualité. Pour les détails, au regard des conditions météo qui ne s'arrangent pas avec le temps, au regard des différents types de pollution, lumières, particules fines diffusantes, nous n'allons pas du tout non plus vers une amélioration. Si vraiment votre recherche est le détail, alors il vous faut avant tout penser diamètre. Un instrument très dépouillé comme un newton Serrurier de 200 mm mini sur une monture dobson avec un Goto light pourra satisfaire en partie votre besoin de détails. Plus petit vous courrez le risque d'une déception. Voilà en réaction à chaud. D'autres avis viendront. Ney
  19. hééééé ! D'où le poisson. CQFD Ney
  20. Tout à fait d'accord ! De plus nous pourrons en juin prochain illustré nos propos aux lycéens qui viendront nous solliciter pour le grand oral avec des sujets du type "Est-il possible de voir un homme marcher sur la Lune en l'observant depuis la Terre ?". Ney
  21. Sur ce plan je ne suis pas assez compétent pour répondre. En effet avec une lentille de barlow de 1,25" il y a un risque de vignettage. C'est à dire que le centre de la vision est bien clair, c'est la périphérie du champs qui risque d'être un peu assombrie. Les spécialistes en calcul optique sauront vous dire ce qu'il en sera vraiment. Si vous vous intéressez à l'astrophoto planétaire, je vous invite à consulter le site de Christophe PELLIER : https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/astronomie-planetaire/a-propos-de-ce-blog/ Vous y apprendrez tout ce qu'il faut savoir pour réussir en astrophoto planétaire. Regardez aussi la Chaine Astro de notre ami @CDLC , il y tant à y apprendre : https://www.youtube.com/channel/UC5g8Al9qudpppMqJcV26XGQ Pour répondre à votre question concernant la caméra, en planétaire je reste sur le capteur IMX 224 ou IMX 225. Plusieurs constructeurs l'ont employé, pour ma part j'utilise avec grande satisfaction la ASI 224. Elle a longtemps été nommée "La reine des caméras planétaires". Vous la trouverez en occasion autour de 180€. En astrophoto planétaire il est nécessaire d'utiliser une lentille de barlow. En effet les objets sont très petits et demandent à être grossis. Étudiez alors le chapitre lié à l’échantillonnage, c'est le chapitre 7 sur la publication gratuite de Christophe PELLIER. Cela va peut-être (sans doute ?) vous paraitre complexe au premier abord, aussi n'hésitez pas revenir vers le forum pour poser toutes vos questions. Par exemple avec votre instrument et une caméra ASI224, le calcul montre que la Barlow idéale demande un rapport de 3,75. Ce rapport vous l'obtiendrez avec une Barlow Televue de X3 dont le rapport peut être augmenté grâce à un tirage (augmentation de la distance entre la lentille de sortie de la Barlow et la surface du capteur) de 42 mm environ. Une barlow de coulant 1,25" sera suffisante puisqu'en astrophoto planétaire, compte tenu de la faible dimension surfacique des capteurs, la région d'intérêt est le centre du champ photographié. Nous échappons alors au vignettage. Rassurez-vous, tout ceci s'éclaircira au fur et à mesure. Sachez enfin, qu'au delà de l'astrophoto, il existe une autre pratique, mettant en œuvre une caméra. Il s'agit du visuel assisté qui permet de voir les objets du ciel profond avec une autre acuité que le visuel pur. Mais ceci est un autre chapitre. Continuez de poser des questions, d'autres avis viendront. Ney
  22. Bonjour @ASTROPHIL33, Au regard de votre parc d'oculaire, la question que je me pose est : "Pourquoi employer une lentille de Barlow ?" En effet : 1) Concernant l'oculaire de 5 mm. En l'état il vous donne un grossissement de 200. Avec une Barlow X2 il vous permettrait un grossissement de X 400, ce qui est la limite théorique de votre instrument, la limite pratique étant de X300 dans d'excellentes conditions d'observation. Quelles sont les vôtres ? Tout au plus cette Barlow vous permettrait alors de pratiquer l'astrophoto planétaire, encore qu'il faille bien choisir la caméra. 2) Concernant l'oculaire de 11 mm, la Barlow vous donnera une focale équivalente de 5,5 mm pour votre oculaire (ou 2 000 mm pour votre instrument) ce qui est à 10% près égal à votre oculaire de 5 mm donc très peu d'intérêt. 3) Concernant votre oculaire de 31 mm, cela vous donne une focale équivalente de 15,5 mm. Là il y a un intérêtpour l'observation en visuel pur, mais seulement là. D'autres avis viendront. Ney
  23. Bonsoir @Subwoof, Content de vous revoir ici, ça faisait un bail ! Attention au langage marketing. Le marchand dit que son dispositif peut filtrer 22500 l. Oui c'est vrai. Vous en concluez que vous vous en servirez dix ans compte tenu de votre prévision de consommation. Là le bât blesse. Cherchez bien dans la notice ou au fond du site du fabricant si le filtre lui même n'a pas une date de péremption, ce qui ne serait absolument pas surprenant. Elle pourrait être de 6 mois, un an, deux peut-être, mais sûrement pas davantage eu égard aux risques de proliférations bactériennes. Aussi avant de passer à l'acte d'achat assurez vous de cela. Je pense qu'il y a de fortes chances que vous trouviez in fine que le filtre doit être changé à l'issue de la première de l'une ou l'autre des échéances à savoir 2 ans ou 22 500l filtrés. Donc si vous filtrez 2 000 l d'eau par an, vous aurez à changer votre filtre au bout de 2 ans, si vous filtrez 15 000 l d'eau par an vous devrez le changer au bout d'environ 18 mois. En aucun cas vous ne devriez pouvoir faire 10 ans. Ney
  24. Et c'est fort heureux ainsi ! Ney PS : Vous nous direz lorsque vous publierez la biographie ?
  25. Non non @Ygogo, votre intervention dans ce fil a été de qualité. Ne regrettez rien et continuez à nous inspirer par votre pensée. Ney
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