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22Ney44

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Tout ce qui a été posté par 22Ney44

  1. 22Ney44

    Présentation jean66

    Bonjour @jean66, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Le destin a frappé à votre porte. Vous trouvez dans l'astronomie une passion-thérapie, je ne peux que vous souhaiter la plus belle réussite dans votre progression de l'astrophotographie. Ici vous trouverez à coup sûr toute l'aide et soutien pour accéder au succès. Belle, longue et fructueuse vie d'astronome à vous. Ney
  2. Bien sûr, mais on part de tellement loin sur les fondamentaux que pour l'or Tau graffe ou la gramme ère, on verra plus tard ! Ney
  3. Un sens inné du commerce ! Ney
  4. Bonsoir @Gwydion76, Avec un peu de recherche vous le trouverez assez facilement à 40 ou 45 € en occasion. La caméra Asi 224 MC en vente dans le Grenier et signalée par @jeap est une bonne occasion presque neuve donc toujours garantie. N'oubliez pas de réclamer la facture. Toujours pour le domaine planétaire qui est quand même plus facile d'accès que le Ciel profond vous avez trois "Standards" : 1) Dans la suite Asi Studio en version 1.7.0.0 livrée avec toutes les caméras ZWO AsiXXX, vous trouverez Asi Cap pour la capture d'images et Asi VideoStack pour réaliser l'empilement. 2) FireCapture 3) Sharpcap 4.0 Le choix d'un logiciel ou d'un autre est aussi affaire personnelle. Chacun peut se sentir plus à l'aise avec l'un plutôt qu'avec l'autre. Pour vous former, allez consulter la rubrique Astrophoto sur le forum, plusieurs tutoriels y sont épinglés en tête de liste des sujets. N'hésitez à poser des questions, vous aurez toujours quelqu'un pour vous répondre. Ney
  5. Bonjour @Gwydion76, Se lancer dans l'astrophotographie, c'est se lancer dans une voie très étroite où il est déjà très difficile de se constituer un ensemble cohérent avec ce que nous possédons sur le moment. Alors demander un avis sur une adéquation entre un composant actuel et un éventuel autre composant à venir sans savoir lequel est pratiquement sans réponse fondée. Aussi revenons à la situation actuelle. Vous avez commencé l'astronomie par l'observation visuelle et après une première expérience vous souhaitez progresser vers l'astrophoto planétaire. Cette démarche est cohérente et me semble réfléchie. Vous posez alors la question de la caméra la plus adaptée à votre situation. Votre choix se situe entre ASI 224 MC et ASI485 MC dans votre post de présentation. Plusieurs critères peuvent orienter la décision, je retiendrai le principal : l'échantillonnage. Le calcul de l'échantillonnage commence avec la taille des photosites de la caméra. En astrophoto planétaire on admet couramment que le rapport F/D idéal de l'instrument doit commencer à 5 fois la dimension du photosite exprimée en microns. ASI 224 MC F/D idéal = 5 X 3,75 = 18,75 ASI 485 MC F/D idéal = 5 X 2,9 = 14,5 Le rapport F/D de votre instrument = 11,8. Pour atteindre la valeur idéale vous devez donc adjoindre une lentille de barlow qui va agrandir l'image au foyer d'autant plus que le rapport de la lentille sera élevé, ce qui est intéressant en planétaire pour couvrir le plus possible le capteur (sauf en lunaire où l'image sera plus grande que le capteur). ASI 224 MC ; F/D idéal = 18,75 => rapport de barlow = 18,75 / 11,8 = 1,59 ASI 485 MC; F/D idéal = 14,5 => rapport de barlow = 14,5 / 11,8 = 1,23 Ce calcul donne un petite préférence à la caméra ASI224MC car l'image au foyer sera plus grande. Notez également que le rapport F/D final doit être au moins égal au rapport idéal et peut être supérieur si les conditions d'observations sont bonnes sans toute fois ne jamais dépasser 25. Vient ensuite le critère prix. Là il est nettement à l'avantage de la ASI224MC qui a longtemps trôner comme la reine des caméras planétaires. Aussi, et pour tenir compte de l'avenir que vous ne connaissez pas aujourd'hui, je vous conseillerais de partir sur une caméra ASI224MC d'occasion (autour de 180€ actuellement) qui de toute façon vous rendra parfaitement le service attendu tout en vous permettant de faire vos premières armes sans engager de dépenses excessives. Le moment venu, si vous changez de setup, vous pourrez facilement changer aussi de caméra, car cette dernière se revendra facilement en occasion (quand il y en a une en vente dans nos petites annonces elle ne traine pas longtemps en général). Cette première démarche faite à faible coût va vous permettre d'acquérir de l'expérience, de la connaissance et surtout de l'autonomie de jugement pour choisir votre prochain équipement. Vous découvrirez entre autre qu'un setup complet d'astrophoto commence par le choix de la caméra dicté par les cibles que l'on va choisr d'exploiter. Une fois la caméra choisie, vous aurez alors les données précises d'échantillonnage pour choisir le tube le plus adapté. Déroulée dans cet ordre, la construction d'un setup se fait très facilement dans la cohérence. Vous l'aurez deviné, tout ceci est une invitation forte à étudier en profondeur les notions d'échantillonnage, c'est un passage obligé sur le chemin de la performance. D'autres avis viendront. Dernier détail, n'oubliez pas d'inclure dans les achats un filtre IR/Cut pour gérer les infra-rouges. Pour finir je ne saurais trop vous conseiller de visiter attentivement le site de Christophe PELLIER où vous pourrez également télécharger des tutoriels très didactiques sur l'astrophoto planétaire. https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/asi224mc-echantillonnage/ Ney
  6. 22Ney44

    cable jack 2.5

    Je crois que cette référence est bonne : https://www.amazon.fr/InLine-99936h-Câble-jack-stéréo/dp/B073R54KTL/ref=sr_1_3?__mk_fr_FR=ÅMÅŽÕÑ&crid=1ZFZFU3LWVV0F&keywords=rallonge%2Bjack%2B2.5mm%2Bmale%2Bmale%2B50%2Bcm&sprefix=rallonge%2Bjack%2B2.5mm%2Bmale%2Bmale%2B50%2Bcm%2Caps%2C72&sr=8-3&th=1 Ney
  7. CNC pour Computer Numerical Control Une machine CNC est une machine d'usinage à commande numérique, fraiseuse, tour ou encore perceuse contrôlée par un ordinateur pour fabriquer des pièces en petite quantité par la méthode soustractive de matière. Un intérêt est la plus grande précision d'usinage pour de la fabrication en série, sauf à utiliser une machine à copier. Sur une pièce unique un professionnel de l'usinage manuel est aussi très fort en précision. Sur des séries il y aura en général plus de dispersion de côtes. Tout va dépendre des tolérances acceptées dans le cadre de la fabrication. pour réaliser votre secteur même circulaire, si vous découpez à la scie sauteuse à main levée, vous aurez bien du mal à rester en dessous des 4/10 de mm d'erreur. Avec une défonceuse montée en compas et à condition d'être très rigoureux les 5/10 de mm sera déjà un très bon résultat. Si vous voulez approcher +/- 2/10 mm une machine à commande numérique vous le permettra. Ney
  8. OK ! alors il n'y a plus l'approximation. Mais 4/10 de mm sur le rayon ne vont pas être fatals du tout, d'autant que l'angle réalisé du secteur avec la table à 45°, ne correspond sans doute pas à la valeur exacte qui est basée sur la latitude du lieu d'observation. Donc ne vous inquiétez pas pour cet infime écart qui de toute façon sera vraisemblablement inférieur à l'erreur d'usinage puis d'assemblage à moins de le faire à la CNC et encore. Ney
  9. Dans la même veine, passé minuit deux des derniers clients accoudés au bar : L'un : " Tiens, il faut que je vous dise ! A nous deux on en a cinq" L'autre : "Ah bon ! Vous n'en avez qu'une ? Vraiment désolé". Ney
  10. Cela fait moins de 1/1 000 d'erreur relative sur une pièce qui déjà sera une approximation si vous maintenez le choix d'un secteur perpendiculaire à la table ! C'est peanut's. N'oubliez pas cependant que si vous ajoutez une bande de roulement, alu, formica ou autre, de retirer la valeur de son épaisseur du rayon du secteur pour garder in fine la bonne valeur. Ney
  11. Bonjour @Gwydion76, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Reposez votre question dans la rubrique Débutants, elle aura une bien meilleure visibilité et par conséquent plus de réponses. Je vous y répondrai plus longuement. Ney
  12. Bonjour @Alea et bienvenue sur WebAstro. Cette réponse du magasin est également déroutante. On ne grossit pas trop l'étoile en faisant une mise au point. Le grossissement va seulement dépendre de l'oculaire qui est en place dans le porte oculaire (sauf bien sûr si on ajoute une lentille de barlow) et il est fixe pour un oculaire donné. La molette de mise au point ne change rien au grossissement. Ceci est un premier point. Le deuxième point concerne le grossissement d'une étoile. Quelque soit le grossissement choisi, une étoile, une fois réalisée la mise au point sera TOUJOURS un point, elle ne sera jamais ni plus grosse ni plus petite. Ce sont les objets étendus comme la Lune, les planètes, les amas, les nébuleuses qui apparaitront plus grosses ou plus petites selon l'oculaire employé. Pour finir le grossissement a aussi ses limites. Il est habituel d'admettre que le plus fort grossissement encore confortable est égal à 1,5 fois le diamètre du miroir en millimètres. Avec des conditions exceptionnelles de ciel on peut aller jusqu'à 2 fois. Belle vie d'astronome à votre fils. Ney
  13. Lorsque la "soupe" devient si trouble qu'on y distingue plus rien et que la situation devient infiniment complexe, il devient urgent de revenir aux fondamentaux et reconstruire la suite . Or donc commençons par le plus facile et le plus évident : 1) Un trou aussi grand soit-il a toujours des bords ... Sauf les trous noirs semble-t-il ! Qui prend la suite ? 😁 Ney
  14. Cliquez donc sur le lien vers son site, vous aurez des nouvelles (de 2017 certes) de son tube 150/750. Ney
  15. C'est tout à fait normal que les avis divergent. Cela correspond à la nature même de votre question que j'ai comprise comme étant la recherche du setup qui fera le plus de chose. Il est alors normal que chacun y allant de son expérience vous réponde en s'appuyant sur sa pratique, lesquelles étant diverses conduisent à des avis parfois opposés. Ce que vous pouvez en retirer, c'est que le setup universel n'existe pas, vous le constatez par la grande variété des réponses. Certes vous pouvez chercher un instrument en forme de compris, mais dans ce cas il ne sera bon nulle part, et cela risque très fort d'engendrer chez vous de la déception peut-être même l'abandon. Alors faites comme beaucoup ici, commencez par le commencement, c'est à dire l'observation visuelle. Avec votre budget et si votre logistique le permet, un instrument de 300 mm de diamètre à F/D = 5, monté sur un dobson va vraiment vous faire plonger tout autant dans le Ciel profond où vous allez vous émerveiller que dans le domaine planétaire où vous allez commencer à titiller les détails les plus fins, que ce soit sur les géantes gazeuses, sur Mars en ce moment ou sur la Lune toute l'année. Dans un an ou deux, selon la densité de pratique, vous voudrez augmenter votre capacité d'observation, la pratique du visuel assisté sera alors une transition douce ne nécessitant qu'un matériel peu coûteux en complément. Tout en conservant votre tube de 300 mm vous l'installerez peut-être sur un table équatoriale DIY, puis encore un peu plus tard, du visuel assisté vous allez glisser doucement vers la photographie planétaire d'abord puis l'envie de l'astrophoto du Ciel profond fera son appel. Il sera alors temps d'envisager l'achat du matériel très adapté à cette pratique. Peut-être garderez vous malgré tout votre premier instrument, vous pourrez alors continuer le visuel en même temps que l'autre setup enchainera les prises de vue du Ciel profond. Aguerri par votre première expérience, vous entrerez alors dans le domaine de l'astrophoto à haute résolution, qui est une discipline exigeante, chronophage mais oh combien pleine de satisfactions aussi. Ney
  16. Non, non et non ! Certes dit comme ça, cela va vous paraitre plutôt brutal, mais c'est bien la réalité. En astronomie il n'existe pas de polyvalence. Si nous ne considérons par exemple que l'astrophotographie, il va déjà y avoir de grandes divergences entre la pratique planétaire et la pratique Ciel profond. Si vous le souhaitez nous pourrons approfondir le sujet, mais voici déjà quelques éléments en divergence qui implique des matériels différents : Ciel profond = peu de lumière, planétaire = beaucoup de photons. Ceci veut dire que le rapport F/D des instruments seront opposés : court pour le Ciel profond, long pour le planétaire. Ceci veut aussi dire que le rapport signal/bruit en ciel profond est bien plus désavantageux au point de devoir refroidir les caméras alors qu'en planétaire ce n'est pas utile. Ciel profond = temps de pose longs, planétaire = temps de pose courts. Ceci veut dire qu'en planétaire nous allons réaliser les prises de vue sous forme de films alors qu'en Ciel profond nous ferons des poses unitaires. Ciel profond = objet "fixe" par rapport au système solaire, planétaire = objets qui ont leurs mouvements propres dont leur rotation et leurs déplacements dans le référentiel. La liste peut s'allonger. Mais ces premiers éléments vous montrent que dans le seul domaine photo il existe déjà de nombreuses divergences incompatibles avec la polyvalence. Cette non-polyvalence s'accroit encore davantage lorsque nous mettons en balance l'astrophoto en général avec la pratique visuelle. Si vous le souhaitez il sera là aussi possible de développer. En première approximation, nous pouvons déjà admettre que le visuel demande essentiellement du diamètre. L'astrophoto va demander une monture très stable et précise. Si vous souhaitez avoir les deux, gros diamètre et hyper stabilité avec précision, ce sera certes possible mais en choisissant entre un observatoire et un appartement, car la facture dans ce cas va être ... astronomique. Pardonnez la brutalité, mais elle est nécessaire pour vous faire définitivement abandonner l'idée de polyvalence en astronomie. Même chez les professionnels elle n'existe pas et pourtant les moyens sont là. Ney
  17. Oui la prudence pourrait être de mise. Le vendeur est en Loire Atlantique, j'habite à Nantes. Si vous le souhaitez, je veux bien aller voir en votre nom le vendeur et vérifier que cette monture existe bien. Je ne saurais par contre pas estimer son état sinon l'aspect, je n'ai qu'un dobson. Disponible, si cela vous dit. Ney
  18. Bonjour @Mulder, Ce n'est un secret pour personne, en astrophoto, LE composant déterminant est la monture. Point d'hésitations, une HEQ5 PRO ! Il y en a une en vente dans le Grenier : https://www.webastro.net/petites_annonces/monture-sky-watcher-heq5-pro-annee-2021_80810.htm Au prix où elle est proposée, il vous reste dans votre budget de quoi financer un correcteur/réducteur de focale. Ney
  19. Bonjour @roger15, En plein accord avec @krotdebouk, vous accueillez les nouvelles et nouveaux avec chaleur, bienveillance et surtout enthousiasme. Nous savons tous ici que grâce à vous il y aura toujours quelqu'un pour ouvrir la porte des étoiles à celles et ceux qui viennent y frapper. Alors continuez ainsi. La personne qui vient de faire preuve de maladresse sans plus sans doute, vient aussi sans le savoir ni le vouloir de contracter publiquement un engagement, celui de faire mieux que vous. Et là ce ne sera pas demain la veille, c'est certain. Belle vie à vous et continuez de faire aimer toutes les magnifiques choses d'en haut. Ney
  20. Bonjour @Cadussy, Soyez le bienvenu sur WebAstro. Merci pour cette présentation pleine d'attention pour notre communauté. Bien évidemment vous trouverez ici toutes les réponse à vos questions et ainsi vous progresserez vite. Belle, longue et fructueuse vie d'astronome à vous. Ney
  21. Bonjour @Ismaël, Rien de tout cela, pour vous présenter sur Webastro c'est >>> ICI <<< Avez-vous essayé de connecter votre monture en direct, sans passer par ASCOM donc, sur Stellarium par exemple ? Moins il y a de couches logicielles, moins il y a de problèmes potentiels. Si vous réussissez cette connexion, cela veut dire que la partie hardware, connecteurs, câbles, est bonne. Sinon il faudra inspecter, nettoyer, vérifier toute la chaine matérielle. Une fois réussie la connexion directe avec Stellarium, essayez la connexion toujours de Stellarium avec ASCOM. Si elle échoue, ceci veut dire qu'il y a un problème ASCOM, si elle réussit, il ne vous reste plus qu'à repasser toute la configuration NINA (que je ne connais pas). Bon courage, c'est toujours long et il faut être hyper-méthodique. La recherche au hasard ne donne en général rien ou pas grand chose. Ney
  22. Bonsoir Une présentation ne serait Absolument pas pour déplaire, voire serait même la bienvenue. Nous avons beaucoup de peine à fonctionner sur le principe du libre service. Ney
  23. Bonjour @lucas41, Si vraiment vous souhaitez le modèle VNS, intéressez-vous au fil suivant sur WebAstro, c'est exactement la même préoccupation que la vôtre. Vous y trouverez en substance comment réaliser votre secteur de manière précise : https://www.webastro.net/forums/topic/227329-métaphysique-des-tables-équatoriales/ Je n'arrive pas à comprendre comment vous vous y prenez pour calculer une table de 1,30m X 0,82 m pour un télescope de 200 mm de diamètre. Ney
  24. Bonsoir @Birk, Si vous avez parcouru les Fil's qui ont le même sujet que le vôtre, vous avez dû découvrir que pour du visuel pur en Ciel profond, il n'y a du point de vue caractéristique de l'instrument pratiquement qu'un seul critère qui compte c'est le diamètre. En matière de monture toujours pour le visuel pur, c'est le Dobson qui va s'imposer. Enfin pour rester dans votre budget contenu, l'occasion récente est un excellent gisement. Sur LBC vous trouverez des instruments dobson de 10" de diamètre répondant à vos attentes et dans votre budget. Il y en a même un certes un peu plus cher, mais avec tout un lot d'accessoires. Bonne recherche Ney
  25. J'ai mis "haine" entre guillemets. Il y a un private joke à découvrir. Cela vous fera, j'en suis certain, bien rire Quand il vous sautera aux yeux, comme aux autres. Ney
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