22Ney44

L'idée serait alors d'installer deux boitiers Courant Porteur de Ligne. Le 230 V pour alimenter et le CPL pour les données le tout sur le même câble. Maintenant si la gaine est suffisamment large, il y a peut-être de la place pour deux câbles. Il reste à mesurer l'influence du câble tension sur le câble données. Si le câble de données est à quatre paires type 6, ça devrait le faire. Ney

Au Printemps vous avez de belles promotions sur le bois de construction. Je profite chaque fois que nécessaire de cette période pour réaliser les gros achats. Ney

Bonjour @polorider, Il y a ceci sur CN qui pourrait peut-être ouvrir une piste : https://www.cloudynights.com/topic/747489-rough-night-with-star-adventurer-going-to-warp/?fromsearch=1 Ney

Alors imaginons tout de suite ce que vous pourriez faire en préservant votre investissement d'aujourd'hui. 1) Commencez par réaliser une dalle béton feraillée du double de la surface de votre cabanon actuel en acier. Prenez soin de placer au fond de la fouille un film géotextile puis un film en polyanne qui bloquera toute remontée d'humidité. Si vous êtes sur un terrain humide une couche initiale drainante sera un plus. 2) Sur une moitié, fixez y votre cabanon acier pour abriter vos outillages. Sur l'autre moitié construisez votre cabanon bois qui sera fixe, préférez un toit roulant qui viendra se positionner au dessus du cabanon acier en position ouverte, et dont vous aurez abaissé le toit ou remplacé par un toit à un seul pan. Dans votre déclaratif de construction séparez bien les deux constructions. Le cabanon en acier semble faire moins de 5 m2 donc exempté (je crois). Pour l'abri de l'instrument déclarez le comme lieu artistique et culturel, ce qui est le cas si vous faites quelques photos "retravaillées" du ciel. En cela la législation est très différente, vous n'avez rien à déclarer tant que la construction ne dépasse pas 12 m de haut. Les tutoriels pour construire un abri d'instrument sont légion, au printemps les promotions sur le bois traité sont nombreuses et intéressantes dans les GSB. Un abri bois fermé en bas, isolé du sol humide va bien mieux préserver votre instrument. Si vous construisez la dalle au même endroit en conservant le socle actuel, pensez à isoler mécaniquement ce socle de la dalle par un ruban de polystyrène ou autre que vous remplacerez définitivement ensuite par de la mousse expansive polyuréthane faible densité. Ney

Bonjour @djalex1664, Soyez le bienvenu sur WebAstro et merci pour cette présentation où vous arrivez les mains pleines de compétences dont nombre d'entre nous ici auront besoin. Belle et longue vie d'astronome à vous. Ney

Hé oui, le bois est plus cher, ce qui n'est pas normal, il coûte significativement moins cher à produire que l'acier. Le marchand d'abri en acier sait que son produit est très largement inférieur en performances de toutes sortes, aussi pour vendre son produit il lui a fallu en abaisser significativement le prix. Je ne puis vous répondre sur le principe de l'isolation en laine de roche, mais honnêtement je ne crois que cela résoudra votre problème de condensation. La masse métallique est toujours là, le phénomène de condensation également par voie de conséquence. Par contre une piste de recherche irait vers les modèles de construction de maisons à partir de containers de marchandises utilisés à bord de cargos maritimes. Il y a eu de nombreuses expérimentations sur ce type de constructions, j'en ignore l'efficacité et la pérennité. Peut-être un lecteur passant par là pourra-t-il témoigner. En l'état si je devais chercher une solution, je chercherais du côté d'un habillage intérieur en TYVEK écarté de la paroi pour les écoulements. Mais je ne suis pas certain du résultat. Ney

Absolument d'accord avec vous. C'est d'ailleurs une des raisons de l'existence du climat tropical humide. L'air y est plus chaud qu'aux latitudes tempérées, l'eau y est également présente, la conjonction de deux faits est alors suffisant pour créer le phénomène de saturation hydrique. Il n'en demeure pas moins que l'air même froid emmagasine de l'humidité. C'est très exactement ce que j'ai tenté d'expliquer en prenant peut-être un raccourci réducteur pour tenter de simplifier le phénomène. Au petit matin, l'air de la nuit chargé de vapeur d'eau en se réchauffant plus vite que l'acier emmagasine davantage d'eau. Cet air davantage chargé en vapeur d'eau venant au contact de masses métalliques dont le réchauffement est plus lent, eu égard non seulement à la chaleur spécifique mais aussi à la chaleur de latence, se trouve confronté à une paroi froide, (bien entendu tout ceci en valeurs relatives), avec comme conséquence inéluctable la condensation. Un abri en bois, grâce aux propriétés spécifiques du bois en matière de conductance thermique faible par rapport à l'acier aurait évité ce phénomène de condensation à l'intérieur de l'abri. Le vide n'est à faire qu'après chaque séance d'observation et non tous les jours, à condition que la condensation n'ait pas déjà eu lieu durant l'observation, sinon la mise hors air peut se faire plus tard lorsque les conditions atmosphériques sont au dessus du point de rosée. Ney

Il est vrai que l'électronique n'aime pas du tout l'humidité. Sur un instrument astronomique, l'optique apprécie encore moins cette humidité encore qu'il semble que ce soit une lunette et non un tube ouvert. Tant que vous serez dans une enceinte métallique, ouverte en bas mais obstruée en haut, l'air chargé en vapeur d'eau va alors stagner. Au matin quand l'air va se réchauffer beaucoup plus vite que l'acier, la vapeur libérée va automatiquement se condenser sur les parois froides entretenant alors un milieu saturé en humidité. Il y aura peu d'espoir de gagner la lutte contre la condensation. En effet les vitesses différentielles de transition thermique de l'acier et de l'air ne peuvent qu'entretenir ou amplifier le phénomène. L'arme absolue serait d'enfermer l'instrument dans un sac étanche et d'y faire un vide primaire (en bricolant un compresseur de frigo par exemple) ou encore d'y faire un balayage à l'azote sec par exemple. Ney

Bonjour @Marv, Bienvenue sur WebAstro. En haut à droite de la plaque avant du rocker, il y a un étiquette rectangulaire dorée. Demandez un photo en gros plan de cette étiquette, nous verrons alors ce qui y est écrit. Vous pouvez aussi passer un coup de fil ou envoyer un mail avec la photo chez Van Grootven optieks, ce magasin est a priori le mieux placé pour vous répondre. Ney

C'est exactement ce que je fais également avec une ASI224 MC montée sur un SW 300P GoTo. Pour les scolaires cela va se faire en 5 séances de deux heures en observant de jour la Lune, projet que j'ai déjà eu l'occasion de décrire ici en détail. Pour les adultes, je suis même en train de mettre au point un serveur HTTP sur l'ordi où est connectée la caméra et sur lequel les personnes se connecteront en WiFi. La difficulté pour moi est le transfert en temps réel de l'image qui se crée en empilement en direct sur SharpCap ou FireCapture vers le serveur. L'image de la caméra sera alors sur les smartphones, tablettes ou ordi portable de l'assistance. C'est une alternative à la méthode habituelle pour la quelle il faut un rétroprojecteur et un écran. Comme animation d'été ou dans le quartier, cela permet aux personnes de se mettre en petits groupes et de discuter tout en suivant de près l'expérience. Ney

Bonjour @antares36, Ben si, c'est d'ailleurs le seul et très unique emploi qu'une caméra puisse assumer : imager. Au delà je ne vois pas bien à quoi elle pourrait servir raisonnablement. Ney

Bonsoir @damien-astro, Ici vous aurez à peu près tout ce qu'il faut savoir autant en théorie, qu'en pratique : https://sites.google.com/site/tableequatoriale/theorie Ney

D'accord avec @adamckiewicz, ça va être troll'ment pas facile de trouver la voie, quiitte à en perdre la voix. Ney

Bonsoir @'Bruno et @Ogustin le télescope, Piqué au vif par cette demande inattendue, j'ai creusé un peu pour voir ce qui existait en logiciels libres de cartographie céleste. Il n'y a pas grand chose mais ce qui revient systématiquement en haut de la pile quelque soit le moteur de recherche est : https://www.ap-i.net/skychart/fr/start C'est un logiciel libre de traçage de cartes du ciel qui sait s'alimenter des données de différents catalogues. Ce logiciel est la production de Patrick CHEVALLEY. Ceci pourrait être un point d'entrée à votre vif désir de réaliser des cartes du ciel soit en rentrant dans le projet comme contributeur au développement si cela est possible, soit en partant de cet existant pour développer en prolongement votre vision de la cartographie céleste en respectant bien entendu les chartes du monde du libre. Voilà, ce sera ma modeste contribution à votre recherche. Ney

Bon il va vraiment falloir que je change mon poste de TSF. Le mien ce midi encore ne disait pas ça du tout. Il doit être tombé en panne, la galène ne décode plus correctement. Il disait que, selon le ministère des transports, 15% de stations d'essence sont à sec, que la semaine dernière on a puisé 18 600 m3 dans les réserves stratégiques, que l'électricité va se faire rare, d'autant que "certaines catégories de personnels" se sont mises en grève chez le producteur historique pour obtenir des augmentations de salaire, mettant ainsi en péril le calendrier de redémarrage des tranches en arrêt incidentel depuis plusieurs semaines. Il disait aussi que les stations d'essence des autoroutes seront ravitaillées en priorité, une panne d'essence sur ces axes c'est un prune à la clé. Non vraiment je vais devoir changer de TSF la mienne a l'air de mentir. Ney

Bonsoir, Vous avez un exemple sous les yeux et toutes les explications dans le début du Guide astro débutant que vous joignez. Si vous faites la prise de mesures au télescope, je pense qu'un oculaire réticulé gradué vous sera d'un grand secours. Avez-vous conscience de l'énorme travail que vous entamez. Des professionnels s'y sont cassé les dents tant c'est complexe et d'une durée de travail incommensurable pour un résultat scientifique médiocre eu égard aux cartes maintenant disponibles. Regardez ce qui est proposé à la page 13 du document que vous joignez. Essayez-vous seulement à juste reproduire une portion de cette carte en observant le ciel, vous allez vite vous rendre compte de la tâche abyssale que vous êtes en train de vous imposer. Réaliser l'opération une fois ou deux et comparer avec une carte référencée est certes un objectif là intéressant pour prendre conscience de la démarche et l'apprendre. Réaliser un travail exhaustif me laisse très dubitatif. Cependant, si votre plaisir de l'astronomie réside dans la réalisation de cet ambitieux projet, bien sûr je ne peux que vous encourager, mais je crois que vous serez bien seul dans ce cheminement répétitif, ingrat et sans fin. Vous nous montrez un cahier déjà réalisé. Est-il complet ? Est-il juste ? Peut-être pourriez-vous partir de ce premier travail et tout au long de votre vie compléter ce travail, améliorer la précision et au final un jour le transmettre à un jeune qui à son tour poursuivra l’œuvre. Là j'avoue que j'ai peine à entrer dans votre recherche et n'en comprends ni l'intérêt ni l'investissement au regard du résultat possible eu égard à l'existant professionnel. Bon courage en tous les cas. Ney

Ben si quand même, vous avez des réponses qui ne peuvent pas être plus longues que votre question. L'expression "Sympas les gars !", est-ce de l'ironie ? Le doute est largement permis. Compte tenu de la grande faiblesse descriptive de votre situation, comment voulez-vous que nous établissions un raisonnement. En l'état il y a des dizaines de possibilités. Tenez l'une d'elle pourrait être l'oxydation d'un contact ou son usure. Avez-vous inspecté à la loupe tous vos connecteurs et embases ? Les avez-vous nettoyés au moins une fois par an avec un produit spécial contact du type Kontak 60 ou WL ou WN ou même du W40 plus généraliste ? Une autre possibilité, vous nous dites avoir fait la MàJ en version 4.39.12avez-vous pris soin de vérifier que cette version de Firmware est compatible avec le micrologiciel des moteurs ou des encodeurs, si sur ces composants vous n'avez pas fait les mises à jour ? Vous ne dites pas non plus quel événement précis a déclenché le dysfonctionnement, le "depuis quelques temps" c'est beaucoup trop vague et sans intérêt pour l'analyse. Sans précision de votre part pour caractériser la panne, sans description de tout ce que vous avez déjà entrepris, comment ferions-nous ? Et si vous n'avez rien fait pour VOTRE matériel, il n'y a peut-être pas de surprise quant à ce que les autres n'en fassent pas davantage. Décrivez avec plus de précision la situation. Un " "tac" est " c'est quand même extrêmement sibyllin pour amorcer une réflexion et établir un diagnostic. Si vous trouvez meilleure compréhension ailleurs, grand bien vous fasse et si une solution est trouvée, merci de la rapporter dans ce sujet qui aidera un autre astram dans le futur. Ney Édit : Je viens de parcourir la Charte du Forum. Je n'y ai trouvé nulle part obligation de répondre aux problèmes posés. Il n'y a ni obligation de moyens, ni obligation de résultats. Ouf, cela me rassure et me soulage.

Oui mais non, ça ne va pas du tout ! Si j'éteins mon phone, je vais rater le tweet de la recette publiée par lady Gaga expliquant comment elle a cuisiné sa robe en tranches de beefsteak portée juste une fois. Les gens sont prêts à faire de très gros efforts, mais faut pas trop en demander non plus, sinon ça va être le rejet massif ! Ney

Bonsoir, De quelle carte parlez-vous ? Celle-ci ? Ou celle_là ? Si c'est la première, c'est assez facile, de nombreux tutoriels existent sur la toile. Si c'est la seconde c'est une autre paire de manches. Amédée MOUCHEZ, alors Directeur de l'Observatoire de Paris lança ce projet de cartographie du Ciel jusqu'à la magnitude 12 en 1887. Jamais achevé, ce projet a été définitivement abandonné en ... 1970. Vous n'aurez chaque jour qu'une faible portion de l'intégralité du ciel, de plus vous aurez à normaliser à une même date, les observations directes faites sur un an. Gros calculs en vue. Cela ferait un colossal travail de prises de données en moins. Vous ne mesurerez pas la distance entre les étoiles, mais entre leur projection sur une sphère dans un premier temps puis entre leurs projections sur un plan ensuite toujours par calcul. Pour cela, en partant d'une première étoile choisie arbitrairement, pour une étoile donnée mesurez d'abord en les observant avec un rapporteur à concevoir, l'angle qui les séparent. Multipliez alors la proportion de cet angle à 360° par la circonférence terrestre corrigée du cosinus de votre latitude et enfin ramenez cette valeur au facteur d'échelle locale que vous avez choisi pour votre carte. Cela vous donnera selon l'unité choisie la distance d'une étoile à l'autre. Tracez alors un cercle ayant pour centre l'étoile arbitraire et rayon la distance que vous venez de calculer. L'étoile sera sur cette circonférence. Prenez une deuxième étoile dont la position relative est parfaitement connue de l'étoile arbitraire du départ et refaite mesures et calculs précédents, vous obtenez un deuxième cercle. Votre étoile se trouvera à l'une des deux intersections des deux cercles, visuellement vous trouvez laquelle. Ces mesures et calculs sont à faire pour chaque étoile en veillant à ce que les étoiles que vous traitez soient parallèles à un marqueur de latitude céleste, sinon vous aurez à corriger trigonomiquement vos calculs. Il vous faudra au moins une Vie pour cela. Ou alors en partant d'un travail présenté ici AstroTouraine vous pouvez redessiner portion par portion toute la voute céleste sur un seul plan sans avoir à vous impliquer dans de fastidieux calculs du type projection de Mercator, de Peters ou autre. Mais peut-être n'ai-je pas bien compris votre demande. Ney

Bonjour @manu69, Il a maintenant au moins deux RIB. S'il est honnête il n'y a pas de problème. S'il a de mauvaises intentions, la question est : "Que va-t-il faire de tous ces RIB" ? La liste est plus longue qu'un jour sans pain autant en actions légales qu'en escroqueries de toute sorte, non seulement vous mais aussi d'autres personnes ou d'autres institutions comme les vendeurs de crédits. Là c'est votre compte qui servira de ressource du moins pour le premier prélèvement. Si cela arrive vous serez sans doute interrogé par des enquêteurs. Prévenez votre conseiller financier et demandez lui les conséquences possibles. Il y a peut-être un "Warning" à mettre sur le compte de ce RIB, qui bloque toute nouvelle demande de prélèvement. Un principe d'arnaque est d'obtenir un prêt à la consommation en fournissant de fausses informations sauf deux : le compte sur lequel verser le prêt pour que l'arnaqueur touche la somme, le compte à débiter pour les remboursements car le prêteur vérifie quand même au moins cela et là c'est votre RIB où son scan qui va servir. @Tyler a raison de dire qu'un particulier ne peut pas prélever avec un RIB, un organisme accrédité, si. Ney

Bonjour @Valou34, Bienvenue sur WebAstro. Vous dites : Vous êtes débutant, aussi il appartient à la communauté de vous aider. Tout d'abord un instrument polyvalent ça n'existe pas en astronomie. Aussi je vous invite à attendre pour l'instant avant d'acheter un instrument. Celui que vous envisagez là, F/D =5, une focale plutôt courte, une monture équatoriale indique que vous vous destinez à l'astrophoto du Ciel profond. Est-ce bien cela que vous voulez ? En débutant ce n'est pas certain que ce soit la démarche à privilégier, il ya des apprentissages autres à faire avant. Aussi je ne saurais trop vous recommander de d'abord répondre aux douze questions proposées par la moulinette de Newton. Revenez vers nous avec les réponses que vous avez données à la moulinette ainsi que sa proposition. https://www.webastro.net/Pages/choix_instrument_astronomie/ N'oubliez pas non plus de lire les sujets épinglés dans la rubrique Débutants ainsi que les très nombreux sujets ouverts par des astrams débutants comme vous et qui demandent conseil. Qu'appelez-vous le microfocuser ? Est-ce la molette de mise au point avec une démultiplication 1/10 ? A vous lire. Ney

Ah ben voilà un sujet intéressant, on va parler moto maintenant. Ney

Cette règle rappelée par @Discret68 est très intéressante et permet de rapidement trouver le meilleur F/D. Il y a juste un petit correctif, les photosites des capteurs IMX 224 et 225 font 3,75 microns de côtés . Le F/D idéal est ainsi de 5 X 3,75 = 18,75. Quel est alors le meilleur rapport de Barlow pour votre Dobson ? Son F/D est de 4,7, il faut le porter à 18,75, le rapport de Barlow est alors de 18,75/4,7 = 3,99. D'où mon conseil d'une Barlow X3 qui permettra avec un tirage de 40 à 42 mm environ d'avoir le bon rapport 3,99. La Barlow X 2 ne permet d'aller que jusqu'à 3,5 alors qu'il est préférable d'avoir un rapport F/D supérieur et non inférieur. Rien n'interdit d'augmenter le F/D si le ciel le permet. Il y a juste une limite = 25. Je ne sais plus pourquoi, quelqu'un saura. Ney

Bonjour @laurent5213, Vous avez raison de bien distinguer la photo planétaire de la photo du Ciel profond. Sans être strictement opposées, ces deux pratiques demandent des performances qui s'excluent l'une l'autre. 1) En planétaire, il est nécessaire d'engranger le maximum d'images dans un minimum de temps sous forme d'un film. Ceci suppose d'avoir un débit caméra ordinateur le plus élevé possible. Ceci désigne un port USB3 nécessairement. Le Ciel profond attend des temps de pause longs donc unitaires répétés 50 à 200 fois ou plus. Avec une très bonne monture, 300 secondes de temps de pause n'est pas rare. Pour du planétaire par exemple la caméra iii294 ne convient pas, elle n'aime pas les pauses courtes. 2) En planétaire, à part la Lune et éventuellement le Soleil, les planètes représentent un très petit champ, alors qu'en Ciel profond nous chercherons à étendre la surface du capteur pour enregistrer les grandes nébuleuses par exemple. 3) En planétaire, il y a beaucoup de lumière, le signal est fort donc le rapport signal/bruit favorable. En Ciel profond, la lumière est très ténue, donc pour réduire l'impact du bruit il est nécessaire de refroidir la caméra. Vous l'avez compris, une caméra pour tout faire sera moyenne partout et ne serait bonne ni en planétaire, ni en Ciel profond. Il en faudra une dédiée à chaque branche. Partant de là et pour rester raisonnable : A ) Pour le planétaire l'ASI224 MC de chez ZWO ou ses semblables avec le capteur IMX224 ou 225 reste aujourd'hui un excellent choix malgré l'âge de la caméra. Adjoignez-lui une lentille de Barlow X3 Televue, dont le tirage permet de travailler l'échantillonnage, pour les planètes et vous avez un très bon point de départ même SANS nécessairement une table équatoriale. ASI224 MC en occasion < 200€; Barlow Televue X 3 en occasion < 110€. B ) Pour le Ciel profond plus tard une ASI 533 MC refroidie serait un bon choix. En un an et demi ou deux vous avez le temps d'épargner pour vous faire plaisir. Le site de Christophe PELLIER sera un très bon point de départ pour aborder l'astrophoto planétaire : https://www.planetary-astronomy-and-imaging.com/ WebAstro a aussi ses ressources : voici un tuto vraiment bien fait par @sebseacteam sur le traitement des images planétaires : https://www.webastro.net/forums/topic/224481-saturne-jupiter-du-01-octobre/#comment-3021929 Sur le site de Ciel&Espace vous avez trois film tuto qui vous seront aussi formateur. https://www.cieletespace.fr/actualites/a-observer-callisto-joue-avec-l-ombre-de-jupiter-le-30-septembre Belle découverte de la discipline. Ney

Rhôôôô ! @polorider, c'est pour sa petite nièce, il a dit ! Ney