22Ney44
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Bonjour @Mahou Lorsque nous observons les aigrettes, il y en bien six disposées chacune à 60° de ses deux voisines. Est-on en droit de supposer que ce sont les aigrettes générées par les trois bras de support du miroir secondaire ? Sans doute. Et puis il y a les deux aigrettes horizontales qui semblent correspondre aux bissectrices des aigrettes non verticales et bien perpendiculaires aux deux aigrettes verticales. S'agirait-il d'un éventuel support de filtres placé sur le chemin optique avant les instruments ? Les fins connaisseurs de cet observatoire ont sans doute la réponse. Ney
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Bonjour @LaGuille, Un peu de lecture pour vous sensibiliser : https://sahavre.fr/wp/les-flats/ https://sahavre.fr/wp/les-dofs/ https://www.eyrolles.com/Audiovisuel/Livre/astrophotographie-9782212675726/ Et pour aller au cœur du sujet : https://www.webastro.net/forums/topic/166799-tutoriel-pour-le-traitement-complet-dune-image-avec-les-scripts-siril/ Ney
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Bonjour @montmein69_2, Nous sommes tellement à cran des conséquences de la pollution de notre planète, que de voir le processus dans ses apparences redémarrer sur une autre planète nous fait réagir de façon peut-être un peu trop épidermique. Vous avez pleinement raison de montrer qu'une mission avec atterrisseur implique forcément un "emballage" pour la livraison. Cet emballage et pour cause, il n'y a personne pour le ramasser et encore moins traiter et recycler les déchets. Ceci étant dit pour ne pas perdre de vue que nous en avons conscience, je voudrais à nouveau saluer la magistrale performance de la mission "Perseverance" et aussi de "Ingenuity". Ce sont des dizaines, sinon des centaines de doctorants qui vont travailler sur les données de cet explorateur martien faisant progresser notre connaissance de la Planète rouge, mais aussi faisant progresser ces jeunes chercheurs dans leurs capacités cognitives. Cela j'en suis certain, pour cause d'un irrépressible optimisme sur la nature humaine dans ce qu'elle a de meilleure, ne peut que faire progresser toute l'humanité pour peu que les quelques prédateurs opportunistes n'annihilent pas ces progrès au nom de leurs profits immédiats et personnels. Merci de votre analyse et de son message réparateur. Ney
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Plus encore, l'eusses-tu cru qu'ils le fissent ! Comme disait 'Harony un picte bien connu. Ney
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Bonjour @PEV77, En effet, les protéines animales sont là. Pour les œufs, la souffrance animale est immense. Le logement des poules pondeuses en batterie est une horreur pour ces bêtes ( l'épointage du bec au laser par exemple extrêmement douloureux) , très très significativement pire en matière de souffrance que d'être mises à mort après étourdissement par électrocution, même si les choses s'améliorent un tout petit peu. Il y a certes la situation des poules en liberté, mais là le consommateur refuse de payer le prix, hé oui il doit préserver son pouvoir d'achat ! [A une écrasante majorité (70%) elles (les poules) sont enfermées dans des cages . 5% des poules sont élevées en volière sans accès à l’extérieur, 25% sont élevées en volière avec accès au plein air (7% en bio, 5% en label rouge, 13% en plein air] source https://lespoulesheureuses.org/fr/index.php Pour les produits laitiers nous sommes malheureusement de retour à la case départ au cœur du problème, la tuerie. A moins que les vaches aient profondément évoluées depuis mon enfance, si nous voulons récupérer la production laitière il faut que la vache fasse un veau par an puis une fois la lactation démarrée que l'on tue le veau, sinon le lait c'est pour lui. Il se trouve qu'une vache, même si elle n'est plus sollicitée par son veau continue de produire son lait, pour d'autres espèces ce n'est pas le cas, l’ânesse par exemple. Absorber un produit laitier, du simple verre de lait au produit ultra-transformé c'est avant tout accepter la mise à mort d'autant de veaux qu'il y a de vaches à production laitière. Donc exit tous les produits laitiers au même titre que la viande car il faut tuer une bête pour les obtenir. Ney
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Bonjour Aurore, Non non, ne faites pas un déplacement juste pour cela. D'ailleurs venant de Lyon, cela vous ferait une dépense supérieure à la valeur du livre, ce serait dommage. Ney
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Quizz alternatif convivial: la résurrection
22Ney44 a répondu à un sujet de chatbleu54 dans Quizz, Jeux, détente
Ben Heu non. Le Dragon c'est au Moyen Age, @yui a dit actualité actuelle ! M'enfin 😊 Ney -
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Les espagnols aussi, après une corrida. Il y a quelques années, mon voisin fut le premier a arriver au restaurant juste à côtés des arènes parce que parti avant la fin, et eut le privilège de se voir servir les testicules tant appréciés sous ces latitudes. Certes il fut un peu surpris de constater que cette fois ils étaient plus petits que d'habitude mais tant pis, il était le premier il allait savourer. Ce n'est que le lendemain qu'il apprit par le journal local que pour une fois c'est le taureau qui avait gagné .... Ney
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Cela s'est pourtant longtemps pratiqué chez nous. C'est même une des origines possibles de la maladie dite de la vache folle. De temps en temps la Nature nous envoie des signaux très nets. Mais c'est ballot, la Nature ne comprend rien aux marchés, il faudrait l'inscrire à une formation. Enfin je crois. Ney
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Quand serez-vous de passage à Nantes ? Je vous le montrerai. Avec l'accord de l'auteur vous pourrez copier les passages qui vous intéressent. Ney
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Bonjour @yannusbonus, Sous Windows voici où se trouve ce fichier : Le fichier a le même structure que sous MacOS. Attention quand même lors d'une mise à jour, la structure de ce fichier peut avoir évolué. La nouvelle version de Stellarium ne s'y retrouverait alors plus. Ney
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Quizz alternatif convivial: la résurrection
22Ney44 a répondu à un sujet de chatbleu54 dans Quizz, Jeux, détente
J'ai trouvé ! C'est la troisième réponse ! Ney Pourtant il s'agit bien d'une créature dont le nom remonterait au moins au Moyen-Age, je crois. Ney -
Citer des pseudos d'un forum ne va pas apporter grand chose, par contre je ne suis pas contre citer le forum, son existence et pourquoi pas un bref descriptif de son activité dans une annexe au document. Ney
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Bonjour Marc, Votre situation m'émeut et me mobilise. En cherchant j'ai trouvé ceci ce matin :https://pro.apicil.com/actualites/conjoints-collaborateurs-nouveautes-pour-2022/ Il y a peut-être confusion entre des statuts qui portent le même nom dans deux régimes sociaux différents. Je vais poursuivre mes recherches. J'ai bien conscience que la branche agricole a son propre système social indépendant du régime général, c'est la MSA. Ce régime, fort de près de 60% de la population au sortir de la deuxième Guerre mondiale avait refusé de rejoindre le régime général de la Sécurité sociale pour un tas de bonnes et aussi de moins bonnes raisons. Aujourd'hui il ne couvre plus qu'une toute petite partie de la population avec donc des pertes massives de revenus : les cotisations, et une surabondance de charges : les retraites. Le principe de répartition de la génération cotisante vers la génération percevante est totalement déséquilibrée. Ney
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Bonjour @kerozene, Poursuivons la logique. Puisque une vie est une vie, que ce soit celle d'un être humain, d'une vache ou d'un agneau, c'est aussi celle d'une moule, d'une huitre, mais tout autant celle d'un insecte, d'un géranium, d'un petit pois, d'une pomme de terre. Une vie est une vie, ou y aurait-il une hiérarchie ? Ney
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Bonjour Marc, Exprimée comme vous le faites, la réalité apparait comme vraiment dure et difficilement compréhensible. Nous allons parler du statut de conjoint collaborateur. Peut-être est-il utile d'expliquer ce qui se passe. Jusqu'en 2021 ce statut n'était accessible qu'aux seules personnes mariées ou pacsées, (seules les personnes du secteur agricole, et seulement celui-ci, faisait l'objet d'une exception puisque que le-a concubin-e du chef d'entreprise agricole pouvait accéder au statut). Toute les autres formes d' union n'autorisaient pas l'accès à ce statut pourtant très intéressant dans les petites structures. Des groupes de pression ont alors fait valoir qu'il y avait discrimination entre les gens mariés ou pacsés et le reste de la population, ce qui est en droit assez juste. La loi récente dont vous parlez est issue du plan Griset inclus au Projet de la Loi de Finances 2022 applicable dès le 1er janvier de cette année. La loi prévoit que maintenant tout concubin hors secteur agricole puisse aussi accéder au statut de conjoint collaborateur avec une évolution notable du statut. D'illimité dans le temps, il devient en effet un statut provisoire qu'on ne peut revendiquer plus de 5 ans dans une carrière professionnelle. Notez aussi qu'il n'est pas spécifique à l'agriculture mais bien général à toutes les branches. Pourquoi avoir voulu introduire cette limitation de temps ? Autant le milieu agricole a depuis longtemps fait la preuve nette de la stabilité des couples quelque soit leur régime matrimonial (il existe malgré tout des cas de séparation), autant dans le reste de la population nous savons que cette stabilité est beaucoup plus précaire. Le cas particulier du concubinage est flagrant. La séparation peut avoir lieu d'une heure à l'autre, et dans ce cas précis, le conjoint collaborateur se retrouve complètement démuni de toute ressource et de tous droits sociaux, tout à la fois sur le moment et dans son avenir immédiat. Puisque non unis par un lien marital ou de pacs, les concubins en union libre ne se doivent, aux yeux de la Loi, aucune aide, ni partage, ni compensation post union. Cette conséquence a créé des situations dramatiques insolubles par le droit. Voilà pourquoi très précisément, le législateur a fait ce choix de durée maintenant provisoire dans un but de protection des personnes en ne laissant pas se pérenniser une situation dont la rupture crée un drame parce que n'ayant généré aucun droit social au conjoint collaborateur en cas de séparation du couple. Le législateur a aussi estimé que cette situation de dépendance matérielle à une autre personne et l'absence d'accès aux droits sociaux les plus élémentaires n'étaient pas une situation saine, ni pour la personne placée en dépendance, ni pour la société qui voit ainsi apparaitre des personnes sans droits bien qu'ayant travaillé et contribué au fonctionnement de la société. Je pense que nous pouvons légitimement considérer cette nouvelle disposition comme un progrès social et non l'inverse. Le législateur n'a pas dégradé à terme la situation du conjoint collaborateur. Il a bien ouvert la voie à l'évolution vers deux autres statuts et laisse du temps (les 5 ans) au conjoint collaborateur pour migrer vers un statut meilleur pour lui en matière d'acquisition de droits. Je ne connais par contre pas les conséquences financières en matière de cotisations sociales. Rappelons que le statut de conjoint collaborateur implique une totale dépendance matérielle au chef d'entreprise sans conserver quelque acquis que ce soit en cas de rupture, la retraite par exemple. Vous pourriez arriver en fin de carrière professionnelle comme conjoint collaborateur, vous séparer de votre compagne et en conséquence ne plus rien avoir comme droit qui ne sont et demeurent qu'à l'actif du chef d'entreprise, c'est bien là l'énorme défaut du statut. Vous savez comme moi que le conjoint collaborateur ne perçoit aucune rémunération et donc ne cotise à aucun organisme social de protection santé ou de retraite, il ne fait que bénéficier sans contrepartie des droits acquis par son conjoint à la tête de l'entreprise. Vous êtes sans droits sociaux dans votre situation actuelle et n'en avez acquis aucun durant toute la durée de votre statut, sinon le droit aux soins et à une retraite forfaitaire très faible. Maintenant, dans 5 ans vous ne serez pas virer de votre ferme, comment cela serait-il possible ? Par contre je pense que l'esprit et la lettre du plan Griset est d'inciter fortement les actuels statutaires conjoint collaborateur à évoluer vers le statut de conjoint associé ou conjoint salarié. Ce sont deux statuts qui vont vous générer des droits sociaux que ne peut pas vous procurer votre statut actuel. C'est bien l'objectif premier de cette loi et ce que j'ai voulu vous faire remarquer. Le service juridique de la Chambre d'Agriculture doit être en mesure de vous informer sur ce sujet. Le MODEF, la FDSEA ou encore les Paysans Travailleurs pourront aussi, selon votre sensibilité, vous informer à ce sujet. Soyez vigilant sur l'exploitation politicienne qui en a été faite par certaines organisations. Bien cordialement. Ney
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Bonjour @PEV77 C'est à Pâques que je voulais faire plaisir à ma très chère mère, pas le lendemain ! Je viens de découvrir une pratique de la grande distribution. Il semble que la viande de pré-salé ait du mal à s'écouler, aussi les stocks restants sont déclassés en "Viande origine France" payée évidemment entre 25 à 40 % moins chère au producteur. Je pourrai peut-être me rattraper à la Trinité, en effet : En partant de l'article que vous avez cité, je suis tombé sur un PdF qui donne toute une liste de producteurs locaux en Loire Atlantique ici. J'ignorais tous ces points de production et de vente, je vais creuser. Merci pour l'information. Ney
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Bonjour @marco44, Je n'ai pas de données précises pour répondre avec justesse à votre question, ne connaissant pas du tout le marché de la viande de prés salés. Cependant, si je me fie aux prix pratiqués dans d'autres filières "Viandes de qualité", je verrais bien un prix autour d'une dizaine d'euros le kilo de carcasse payée au producteur sur la base d'une carcasse type de 21 kgp. Par contre je sais pleinement le prix qu'allait me réclamer un boucher nantais pour un gigot de prés salés Baie de Somme d'environ 2,5 kgp il y a 15 jours : 128,72€ (51,90€/kgp et ce n'était pas le plus cher ici). Alors que je sais que j'aurais fait un immense plaisir à ma Maman (91 ans) en lui préparant ce met à Pâques, c'était une tradition chez ma grand mère autrefois, j'ai finalement renoncé. C'est définitivement, hors les zones de production pour un accès en circuit court chez le producteur, un aliment réservé à une élite à laquelle je n'appartiens pas. C'est avec intérêt et attention que je poursuivrai cet échange en MP avec vous. Ney
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Hé bien on réfléchit, on analyse, on réfléchit,on prospecte, on réfléchit, on analyse encore, on réfléchit puis au bout du processus on propose une possibilité réaliste à la communauté. Avec les retours on analyse, on réfléchit, on prospecte encore, on réfléchit toujours, puis on propose une amélioration à sa proposition initiale. Faites ceci, je suis persuadé que vous allez percevoir de manière plus claire l'insondable complexité de notre situation où à force d'optimisation des processus, techniques, administratifs, psychologiques la place réservée à la résilience est réduite à peau de chagrin. Comment faire demi tour dans un chemin large de 1,75m bordé de hauts talus alors que votre véhicule fait 1,70 m et que par souci d'économie il n'y a pas été installé de marche arrière. Comprenez pour notre civilisation qu'il n'y aura pas de décroissance possible sauf à effondrer le système financier devenu virtuel. Votre salaire ou votre retraite, c'est juste une écriture sur un disque dur. Il n'y a aucune réalité matérielle, pas plus que pour vos dépenses lourdes comme la nourriture annuelle, une voiture ou votre habitation. Si le système s'effondre, et nous sommes aux frontières de cette occurrence, si d'aventure les hackers d'État d'une république un peu à l'Est passaient à l'action massive, pouvez-vous me dire comment vous mangerez demain ? Ney
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Bonjour @marco44, Vous avez pleinement raison dans votre argumentation. Il y a juste que vous faites référence à des biomes très particuliers où la pousse naturelle est très spécifique et particulièrement performante pour l'alimentation du bétail : Vous dites : Vous avez absolument raison , les prés salés sont une zone exceptionnelle de pousse de la végétation naturelle qui a subie par contrainte structurelle une sélection naturelle des plantes, vous connaissez bien mieux que moi la flore spécifique à ce biome. A cela il faut ajouter l'amendement naturel en oligoéléments d'origine marine, propices à une nette amélioration du régime alimentaire des ruminants qu'on y fait paitre et par conséquent de leur performance de production. Vous dites encore : Ceci renforce encore votre point de vue à juste titre. Mais voilà vous citez des territoires très spécifiques comme les alpages où là aussi structurellement il y a eu sélection naturelles des plantes liée à l'altitude. Ces plantes sont parvenues à la domination parce que plus fortes, plus adaptées. Leur structure, leurs capacités nutritives sont supérieures aux plantes communes de territoires plus ordinaires sans contraintes d'adaptation, d'où leur valeur nutritionnelle supérieure. Convenez aussi que ces terres si particulières sont bien peu en surface en rapport avec le reste du territoire agricole de notre Pays. D'ailleurs ces particularismes en font toute la valeur qui se traduit bien souvent par l'attribution d'AOP ou encore d'IGP. Mais cela demeure l'exception, (moins de 3% des surfaces agricoles exploitées et peut-être moins maintenant) qui en toute légitimité fait la fierté des exploitants agricoles de ces terroirs. Fils d'un petit paysan du Trégor, je ne peux que vous encourager à maintenir ces spécificités pour les avoir connues dans ma prime jeunesse. Juste une question : quelle devrait être la surface des prés salés en France pour que chaque Français puisse acheter juste une seule fois dans l'année un quart de gigot d'agneau à partager en famille ? Cela fait 8,5 millions d'agneaux. Impossible pour une nourriture de masse. Cette production n'a de destinataires qu'une élite capable de s'offrir cette production. L'agriculture a pourtant un objectif fondamental: nourrir tout le monde, TOUT LE MONDE, le modèle dont vous parlez génère une alimentation réservée à des personnes privilégiées et argentées. Pour l'instant l'agriculture de niche ne peut pas, loin s'en faut, nourrir la population de notre Pays. C'était bien le constat fait dans la fin des années 40 début des années 50. La France était en dépendance alimentaire complète et majoritaire. La réponse des gouvernants fut une industrialisation méthodique de l'élevage, suivi d'une toute aussi "performante" industrialisation de la transformation de la nourriture. Je crois que le malaise est là dans l'ultra transformation de la nourriture avec des additifs délétères pour notre santé et la perte de 25% de la matière de base pour cause d'optimisation des processus de fabrication . mais là c'est un autre débat. Ce sera avec intérêt et attention que j'aimerais poursuivre le débat avec vous, même en messagerie privée, pour imaginer un nouveau système de production agricole qui puisse nourrir tout le monde avec le même niveau de qualité que vous défendez aujourd'hui mais réservé à une minorité en capacité d'acquérir cette alimentation. Faites lire ceci à votre compagne . Bien à vous Ney
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Bonsoir @Gauloisir, Tout comme des terres vivables aujourd'hui deviendront invivables demain : 100% des zones habitables du Japon, 66% des terres habitables de Chine, 35% des terres habitables d'Inde etc. Faites le bilan des gains et de pertes, à leur lecture je perds ma bonne humeur. Ney
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Chacun appréciera ! Ney
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EQ6-R et mesure tension depuis la raquette
22Ney44 a répondu à un sujet de Hays dans Matériel général
Bonjour @Hays, Ceci est une tension à vide, ce qui s'appelle en électricité la Force Électromotrice. Dès que l'alimentation débite dans un appareillage, la tension du générateur peut baisser car vient en retrait de la tension une chute de tension, produit de la résistance interne par l'intensité mise en jeu. Une alimentation régulée "sait" combler cette chute de tension, une alimentation moins sophistiquée ne le fera pas.Sur une alimentation à découpage d'entrée de gamme c'est net. Ce phénomène devient critique quand l'alimentation approche 100 % de ses capacités. Si la résistance interne de votre générateur fait par exemple 1/2 ohm et que votre débit est de 1,5 A vous aurez une chute de tension de 0,75 V. Les 12,2 V à vide deviennent alors 11,45 V. Sur les raquettes Synscan, la mienne en tous les cas, il y a une différence 0,7 V entre la tension mesurée aux bornes du générateur et celle affichée sur la raquette. Cette différence provient très vraisemblablement du fait que la mesure interne dans la raquette se fait APRES la diode de protection contre l'inversion de polarité. En électronique une jonction P/N fait chuter la tension de cette valeur : soit 0,7 V. Donc pour 11,45 V réels vous aurez un affichage de 10,75 V. Comme vous le dit @macfly51, tout va bien côté tension puisque la monture ne clignote pas pour défaut d'alimentation, du moins pas en régime de suivi. Essayez de mesurer la tension aux bornes de vos alimentations lorsque vous faites tourner les deux moteurs en vitesse 9, et dites nous la valeur trouvée. Ney