Pas tous 🙂
Ainsi, s'agissant par exemple du réchauffement climatique d'origine anthropique, on est de plus en plus dans une religion avec ses dogmes et ses prélats. Ceux qui osent ''questionner'' sont taxés d'hérétiques et sont ostracisés (médiatiquement et dans le milieu de la recherche).
Même celui qui rappelle que la France est responsable de seulement 0,9 % des émissions de gaz à effet de serre et l'Europe entière de 10% seulement ; et que par conséquent 500 millions d'Européens sont libres de retourner à l'âge de pierre mais que pour autant cela ne changera rien au réchauffement climatique, n'a pas droit de cité.
Le débat et le questionnement étant interdits sur un nombre de sujets sans cesse croissants, en résulte fort logiquement une montée du "complotisme", car que se dit le vulgum pecus : '' Quand on est sûr de son fait, on accepte le débat, on ne verse pas dans l'autoritarisme, ni dans le réflexe pavlovien du dénigrement du questionneur'' (attaque ad hominem).
Il y a quelques années a eu lieu une importante médiatisation de fantaisistes croyant par exemple en une terre plate. C'est alors que le mot "complotiste" est entré dans le langage courant. Par la suite, il a été utilisé pour discréditer ceux qui s’interrogeaient sur des sujets "interdits''. Ainsi, face à un questionnement gênant, le mot "complotiste" est systématiquement dégainé pour empêcher toutes questions. C'est en vérité la reprise du procédé qu'avait inventé Staline, qui, pour empêcher toute critique du communisme, avait déclaré : "Traitez systématiquement de fasciste celui qui critique le communisme".
Dans ce contexte, comme l'a dit un précédent membre, certains ont compris qu'il y avait moyen de s'enrichir en surfant sur des élucubrations du type ''l'homme n'a jamais marché sur la lune''.... mais la femme peut-être 🙂