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Phiphi78

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Tout ce qui a été posté par Phiphi78

  1. Bon...sinon, après 13 pages d'émotions intenses et de de discours existentiels... J'ai pas trouvé de retour d'un utilisateur. (je l'ai peut-être raté!) Quelqu'un aurait un lien?😁
  2. En fait, il n'y a pas besoin de polemaster ou de viseur polaire. NINA ou Sharpcap permettent l'alignement.
  3. Apparemment, dans la dernière image, tu peux synchroniser tes encodeurs sur ton contrôleur Onstep. Là, la fonction est sur OFF. L'innovation qu'apporte JTW Astronomy (à ma connaissance car quelqu'un le fait peut-être déjà) c'est de supprimer les encodeurs. Un dispositif physique séparé, je veux dire. Je ne sais pas comment sont faites les GM Micron (ça ne fait que deux et demi que je pratique l'astronomie) mais sur les EQ8 RH, par exemple, on a et des moteurs pas à pas et des/un encodeurs. Et on a un contrôleur qui gère la différence entre les deux. JTW Astronomy n'utilise pas d'encodeur séparé à proprement parlé, ce qui explique l'économie. Ils utilisent/utiliseraient les pas des moteurs comme "lecture" d'encodeurs et la correction de suivi se ferait de cette manière. Ils sont beaucoup plus bavards sur leur facebook. Leur démarche technique est super intéressante. Sur les prix publics : ben, quand tu vends en direct et que tu expédies dans le monde entier, oui, tu n'as pas à ajouter les marges du grossiste, du revendeur. Après, j'avais cru lire qu'ils annonçaient des distributeurs dans X pays (USA, Australie de mémoire) et je n'en n'ai pas vu pour la France.
  4. L'image résultant de la session à 0.35s RMS. C'est pas le meilleurs traitement de la Terre, mais ça peut donner une idée. La tête de cheval (pas très bien traitée) :
  5. Phiphi78

    SkyWatcher CQ350

    Oui, toujours sur le lien plus haut qui a été mis à jour : 0.35s RMS sur 3h10 de guidage et 0.37s RMS sur 1h54. Un lien vers une vidéo à 0.27s RMS et un passage à 0.25s... Ses performances deviennent vraiment bonnes.
  6. Bonjour à toutes et tous, Un update positif : 0.37s RMS pendant 1h54 et 0.35s RMS sur 3h10 (voir images jointes) et un très beau 0.27s RMS!!!!!!! (qui descend un moment à 0.25s RMS!) Modèle de pointage : avec cartes du ciel et en synchronisant une dizaine de points, j'arrive à obtenir un pointage satisfaisant. Un après-midi, j'ai même pu pointer Vénus vers 15h30, en plein jour à partir du moment où elle était devenue visible au chercheur. J'utilise un câble USB pour contrôler la monture depuis le PC plutôt qu'un EQMOD => l'USB permet d'utiliser la raquette "parallèlement" au PC. Seul bémol, dés lors que j'utilise la raquette pour centrer au chercheur, le suivi "PC" s'arrête. Il suffit de le réenclencher fissa. En planétaire, juste cliquer sur le bouton "suivi" de SharpCap dans le panel monture. Petite nuisance mineure, à savoir mais pas insurmontable. Bon bah, Celestron fait pas ça, par exemple. Utilisation avec N.I.N.A. : Test concluant => j'étais tranquillement en train de regarder la TV pendant que le télescope a effectué un retournement de méridien sur IC 434, s'est recalé astrométriquement, relancé le guidage, la capture. Pendant le premier épisode de ma série, changement de cible depuis IC 434 vers M81 & M82 qui se trouvent presque à l'opposé dans le ciel. Quand je suis sorti entre 2 épisodes, le télescope était en train de capturer selon le cadrage choisi dans l'assistant de cadrage. Guidage PHD2 : après quelques assistants de guidage, PHD2 a fini par me recommander une fréquence de guidage de 0.4s et 0.35et 0.23 Mmo que j'ai appliqué. Dubitatif, et après des essais à 1s, 1.5s, jusqu'à 4s pour "fixer le seeing", j'ai terminé à 0.5s qui a donné les valeurs que vous pouvez voir dans les captures d'écran de logs PHD2 (exposure = 500 ms). C'est très satisfaisant! Essais à venir : J'ai changé le ASI 174 MM mini pour une ASI 120 MM mini qui a de plus petits pixels (mais aussi un champ 4x plus petit). 3.75µm vs 5.89µm. Je ne sais pas si ça améliorera. Test à venir selon météo. Conclusion : là, le guidage commence à être bon. Il y a encore des axes d'améliorations avec les algorithmes de PHD2. Le service rendu est celui attendu. Je vous donne un lien vers une vidéo que j'ai capturé au smartphone pendant une session pour le 0.27s RMS. J'ai pas de compte Youtube. Sorry about that : https://www.instagram.com/p/CpIArEKuHuI/ Si Skywatcher nous lit (clin d'œil appuyé) : La SW CQ350 Pro a de bons atouts et une très bonne mécanique. Elle est mécaniquement bien née. Les chiffres le prouvent. Elle est dotée de la fonction Auto-Home qui permet de trouver son point zéro au démarrage grâce à deux capteurs optique (Ad & Dec). Elle est dotée de moteur pas à pas. Chacun de ces pas a une valeur connue du contrôleur de monture et lui permet de connaître sa position à tout instant et que driver/serveur communique en temps réel aux applications (NINA, SharpCap, etc). JTW Astronomy - qui fabrique des montures harmonic drive à moteurs pas à pas - utilise ces valeurs de pas comme encodeurs absolus. L'intérêt est d'utiliser ces pas ET de ne pas avoir de coûteux encodeurs absolus à ajouter (renishaw ou autres). Si, en utilisant ces valeurs de pas des moteurs comme encodeurs absolus, on pouvait enregistrer une PPEC (même sur 30/60/120 minutes!) pour faire "apprendre" à la monture ses réelles valeurs de suivi par rapport au ciel, alors la CQ350 Pro pourrait se passer de guidage à f2/f4 et peut-être être "assistée" d'un guidage à f10. Et, dans le cas d'un guidage combiné à cette lecture des valeurs de pas, GS server SAIT faire le tri entre un ordre de correction de PHD2 qui suit la turbulence et une valeur d'encodeur et faire le bon choix. Donc, la monture deviendrait capable de trier les fausses informations dues à un défaut de seeing (turbulence/chasing the seeing) et son "suivi" par encodeur basé sur la lectures des pas des moteurs. La CQ350 Pro a mécaniquement tout pour pouvoir le faire et devenir la meilleure monture du marché grand public avec un 0.12/0.15s RMS fiable. C'est juste une question de drivers et d'investissement de la part de SW. Elle guide bien. Mais elle pourrait potentiellement guider comme une monture à 5 fois son tarif... As always, clear skies.
  7. Non, ce n'est pas mon propos. Je pense que si quelqu'un dans mon club, mon entourage ou mes connaissances rencontrait le même problème, je lui aurait proposé de l'aider voire de venir avec une caméra, même avec un étoile artificielle. Et je l'ai déjà fait ET je le referai, sans hésiter une seconde. Ensuite sur le propos de la collimation : J'utilise AUSSI des SCT en visuel. Je sais collimater un SCT en visuel. Et mon propos est d'expliquer que faire une collimation en visuel - ça peut être bien en visuel - mais que ce n'est pas ce qui s'appelle un SCT collimaté. D'autres plus connus et faisant autorité en la matière le disent, l'écrivent le recommandent. J'ai pu constater par moi-même et vérifier. Ils ont raison. Et tu as le droit de pas partager cette opinion.
  8. Non, ça n'a rien d'étonnant. La précision de l'œil et la taille du détail ne permet pas de centrer les cercles de diffraction de la figure d'Airy. Oui, tu peux voir l'étoile et ses cercles de diffraction danser autour en visuel. Mais pas collimater sur la figure d'Airy à l'œil. "Collimaté", c'est collimaté. C'est pas collimaté à moitié ou au quart. Si vous parlez de collimation grossière pour du visuel, collimaté en visuel, c'est une dégrossissage, pas une collimation. Tu pointes Vega, Sirius, une grosse étoile bien brillante, tu défocalise et tu centre ton point d'étoile avec tes cercles de diffraction défocalisés. Et ça, c'est une dégrossissage. Quand tu collimates, tu passes à f10, tu refais ensuite ce "centrage" qui reste grossier, aussi précis semble-t'il. Puis, tu passes à f20 avec du gain et une dé focalisation pour recentrer. Et là, tu te rends compte qu'à f10, même si ta figure de diffraction paraissait centrée, elle ne l'est pas. Puis, quand les cercles défocalisés sont centrés, tu fais une mise au point fine pour voir la figure d'Airy en baissant gain et exposition parce que sinon, on ne voit qu'un gros pâté lumineux saturé qui n'offre aucune précision. Et là, seulement là, tu vois la figure d'Airy. Et pour se rendre compte, à l'écran, cela représente un tout petit point perdu dans l'écran et dans le logiciel de capture, tu zoomes entre 200 et 300%. 7-10 pixels sur 1900...ton image de figure d'Airy fait à la grosse 3 centièmes de millimètre sur le capteur. Et tu centres bien ton étoile avec le réticule du logiciel, parce que quand tu la fais se déplacer sur un capteur de seulement 6 mm, tu vois qu'elle se déforme avec la coma. C'est à ce moment que tu vois les figures d'Airy comme tu les vois sur le site de Thierry Legault. Avant, c'est même pas la peine d'imaginer pouvoir centrer le cercle de diffraction sur le point de l'étoile. Et quand tu obtiens un cercle de diffraction classé entre les figures A & B du site de Thierry Legault, ben t'es contant parce que la figure A ne s'obtient normalement QUE sur un banc avec température ambiante stabilisée. Et entre le premier stade de dégrossissage à l'œil et une collimation finalisée, il peut y avoir 40% de perte de "performance". Quand t'as fait tout ça, ton SCT est collimaté. Pour tout vous dire, un banc laser hotech ne peut même pas collimater jusque là. Il s'arrête au niveau 2. La PSF d'une étoile ci-dessous est grossie 50 fois : Et même avec une "figure B" l'usage visuel du télescope sera incomparable avec une "collimation" à l'œil.
  9. Si j'ai tout bien compris : tu cherches à voir la figure d'Airy avec un oculaire? Si c'est le cas, oublies. C'est juste pas possible. Tout ce que tu peux voir à l'oculaire, ce sont les cercles concentriques avec le petit point de l'étoile au centre. Et là, tu peux tenter de rendre l'ensemble concentrique. Ceci étant dit, un œil n'est jamais dans l'axe du télescope. A moins d'utiliser un oculaire réticulé style Badder Polaris, ton étoile ne sera jamais au centre de ton oculaire. Ton cerveau corrigera sans que tu t'en rende compte les défauts et gardera en mémoire des images rémanentes... Le seul vrai moyen de collimater un SCT, c'est une caméra à f10 pour dégrossir, puis à f20. Et même si à f20 il n'est pas parfaitement collimaté, je peux t'assurer que le résultat n'aura rien à voir avec ce que tu feras à l'œil nu. Et pour te donner une idée de la précision d'une vraie collimation : l'étoile de la PSF fait 6 à 7 pixels...le premier anneau autour en fait 1 à 2. Avant de tout démonter, fais déjà ça et tu verras que ton SCT sera transformé. Surtout si c'est pour faire du visuel. Y a pas besoin de tout centrer au micron!
  10. PEC enregistrée, passage avec une barlow x3 sur la lunette de guidage pour un échantillonnage plus fin à 1.27"/pixel. focale 80/975 mm. Seeing donné pour 1.21" par Meteo blue. Alignement polaire à 17". Algorithme de PEC prédictif. Je regarderai demain, mais la "période" est autour de 290s. Je vous redirai ça. Et comme c'est une correction de PEC (PHD2) par dessus la PEC (elle est lue! voir plus bas), ça lisse! Mais surtout, surtout : plus de pulse guiding mais...enclenchement du GoTo pulse guiding. Oui, on n'est plus dans la correction à 0.25, 0.5 ou 0.75 fois la vitesse sidérale par pulse guiding mais dans une pulsation qui est envoyée et réalisée par la monture en GoTo. Beaucoup plus rapide, beaucoup plus réactif! Et ça lisse beaucoup mieux les courbes. A cela, pendant un moment j'ai monitoré les corrections dans GS server : et GS rejette bien certaines des corrections AD ou Dec => je comprends que lorsque qu'une correction va à l'encontre de la PEC, GS ne prend pas en compte cette correction, la filtre et la rejette. J'avais lu un truc comme ça dans la notice. Bon point. Ok, c'est bien beau tout ça mais pour quel résultat? Ben, 20% de mieux. Soit 0.1" de moins d'écart. Ca donne maintenant un 0.45" RMS au lieu de 0.5/0.55". Je crois même avoir eu un guidage de 35/40 minutes à 0.40" ou 0.42" RMS. Je vérifierai demain. Les "mauvais" passages (allez, les moins bons) montent à 0.52" et dans les très bons moments, elle descend à 0.38". Bon, mais ce que je n'ai pas encore dit, c'est que ce soir, en montant mon tube, j'ai cassé le filetage de la mise au point hélicoïdale de ma lunette de guidage. J'ai donc dû faire une mise au point de la lunette de guidage en déplaçant la barlow et la caméra dans le coulant du PO. Et j'avais des étoiles guides...pas très belles avec un beau halo autour du point de l'étoile. Côté modèle de pointage, j'ai synchronisé 8 étoiles dans Carte du Ciel et le pointage GoTo commence à ressembler à quelque chose comme le donnait CPWI sur les Celestron (mais après synchro de 3/4 étoiles). C'est autre chose que le sombre modèle d'étalonnage sur 3 étoiles de Synscan App. Modèle de pointage où, après avoir pratiqué son alignement bien soigné des 3 étoiles choisies bien au milieu du capteur, quand on envoie la monture sur Jupiter, par exemple, et bien Juju n'est pas même pas dans le champs de vision du chercheur 9x50! Ah oui, non, si...faut l'faire! Un soir Synscan app a même réussi à ne pas pointer sur la Lune...j'ose même pas imaginer chercher Pluton à 5600 mm de focale avec ce truc que je n'utilise et n'utiliserai plus. La lunette de guidage est réparée : j'ai changé le PO hélicoïdal M42 pour un ZWO d'OAG qui trainait et demain, il fait beau temps. Elle est capable de tourner entre 035" et 0.40". Reste à peaufiner.
  11. J'ai refait deux sessions depuis le dernier message. 1ere session : Je l'ai testée avec un algorithme Ppec dans PHD2 que j'ai laissée tourner deux heures : je suis descendu à 0.44". Et avec un algorithme Zswitch, j'ai eu des passages de deux minutes à 0.38" mais, toujours des sauts qui font remonter à 0.56/60" de pic. D'où le fait d'avoir repris le réglage des jeux avant une deuxième session. J'ai repris le réglage de jeu AD ainsi que les butées hautes et basses de mouvement et de calage du bloc VSF. Il y avait un pouille de flottement. Mais quand on règle l'un, cela impacte le réglage VSF/RD. Et vice-versa. Mais c'est fait. Et reprise de la tension de courroie. Y a un mieux. Aucun jeu, un fonctionnement super fluide et un beau bruit super régulier mieux que sortie de boite. Au cours de cette deuxième session d'hier soir, j'ai testé l'enregistrement de la PEC avec la raquette avec le C8 et 2032 mm de focale avec la 174 mm au foyer. Cela a fonctionné. Bon, l'enregistrement est manuel, en corrigeant avec les flèches de la raquette, à f10 et zoom dans SharpCap à 300%. Après le cycle d'apprentissage, l'étoile restait stable en Dec même si l'AD a un suivi encore trop lent et entraine une dérive (sans guidage). Dans des assistants de guidage, j'ai la valeur de dérive/valeur de temps. J'en referai avec une nouvelle calibration, évidemment. Dans mon cas, du retard : la monture est plus lente que la rotation du ciel. Dans Synscan App ou GSserver, il y a un paramètre pour cette vitesse ou cette correction de vitesse. Ou bien dans la raquette. j'ai vu un truc : il faut que je me penche dessus. J'approfondirai. Un problème/paramètre à la fois. J'essaierai de calculer et d'appliquer cette correction et la corrigerai ensuite empiriquement en tests réels. Oui, c'est un parti pris que je comprends Comme dit plus haut, j'ai testé et le retesterai. Restent deux inconnues : est-ce que la PEC enregistrée dans la raquette s'applique lorsque l'on utilise un pilotage PC Synscan/GSserver? Je suppose que probablement pas et dirais que ça dépend de l'endroit où elle est enregistrée/stockée. - Dans la raquette, j'émet l'hypothèse qu'elle ne sera pas prise en compte par les drivers puisque la raquette est en parallèle en USB mount ou débranché en câble EQCOM. - Si elle est stockée dans le driver des moteurs (v 3.39 dernier disponible sur le site SW, 3.40.5 sur la monture/donc supposés spécifiques), là il est possible que les drivers GS/Synscan ou EQMOD adressant des commandes au driver moteurs (qui auront/auraient la PEC enregistrée incluse) la prenne indirectement en compte puisque la monture corrigerait en interne sa PEC. Toujours sur la comparaison d'environnement SW/Celestron : - enregistrer la PEC "à la main", c'est "So 2000"! (on est en 2023!). C'est Celestron, il suffit de lancer un autoguidage au méridien/équateur (calibré auparavant et en l'ayant laisser tourner un moment), d'appuyer sur un bouton et...c'est dans le PC et la raquette. et même dans le cas de la raquette seule, c'est aussi simple. CPWI va ensuite relire cette PPEC. Y a un monde entre les deux. - sur le modèle de pointage : ben même avec un étalonnage 3 étoiles SW, ça reste "par là". Alors vous me direz qu'à f2 ou 4 ou 5 et large capteur, c'est pas trop gênant car on recale vite avec une astrométrie, mais à f10 ou f20...le côté "amateur, je cherche ma planète dans le ciel pour la centrer" est bien relou. Et ça reste incomparable avec un modèle de calage sur 6/ (ça commence à être bien à 6), 8 ou 10 étoiles/astres de CPWI. Qui par ailleurs se fait en 10 minutes et 90% du temps, dés la 3e étoile, elle est pile-poil au centre. De plus, si par exemple, votre premier astre est le centre de la Lune (qui ne sera pas aussi précis qu'une étoile centrée dans un réticule double avec peu de gain) et dés que vous avez 2, 3 autre étoiles, vous pouvez décocher le premier point (celui de la Lune moins précis) pour ne pas le prendre en compte dans le modèle de pointage. Et dés que vous cochez/décochez des points dans le tableau, l'erreur de calage se recalcule instantanément. Chez SW, faudrait refaire un nouveau pointage/étalonnage en étant limité à 3, en partant de zéro. Incomparable. Ca me rappelle juste un essai de Carrera 4 où le journaliste-essayeur disait passer au mêmes endroits qu'avec sa Clio V6, et que là où il se "battait" avec la Clio, la Porsche passait toute seule. Les êtres humains ont inventé l'outil pour faciliter la tâche. Et là, SW est comparativement has been (même si ça fonctionne). Je rêve d'un "SWPWI"...
  12. Phiphi78

    SkyWatcher CQ350

    Tiens, tu as tout ici :
  13. Quelques données sur un ciel avec un FWHM (lors de la mise au point FWHM SharpCap) mesuré à 3.5. D'abord, 45 minutes de guidage sous ce ciel : Ensuite, un assistant de guidage de 13 minutes 41. On y voit un belle erreur périodique de 3.32" d'écart. (ok, c'est pas 25") Puis la rondeur des étoiles qui atteint 0.99 mais "descend" aussi à 0.92. Et enfin, last but not least, la réponse de Skywatcher (maison mère) contactée par le biais du support. LA PEC/PPEC n'est pas supportée par la CQ350 PRO. Sous ce ciel, elle guide à 0.5"/0.55" d'écart RMS, parfois 0.6". Sur un passage de 2 minutes, elle est descendue à 0.2/0.25". Dans l'assistant de guidage, on voit que la turbulence de l'étoile est de 0.28". Je n'ai pas encore testé l'algorithme prédictif de PEC de PHD2...mais j'avoue que savoir qu'une AZ- EQ6 peut enregistrer sa PEC et la rendre permanente et guider à 0.35" me vexe un peu. D'autant plus que cela ne doit pas être très compliqué à implémenter. Là, pour ma part, il y a un loupé venant de Skywatcher. Alors, vous me direz, les étoiles sont rondes. Ok. A f2 et avec un échantillonnage à 1.40" sur le C11 Hyperstar + AA 26 C. Mais à f7 ou f10 sur des petites galaxies, c'est un guidage à 0.44" qu'il faut...et là, on n'y est pas. Or, c'est quand même un des cœurs de cible de cette monture. D'autant que la dame a (pour l'instant) une sérieuse tendance à guider "propre" et avoir un écart impromptu. Certains, avec beaucoup d'humour me répondront certainement que cela fait un dithering natif et "naturel". Sortie de boite, elle guidait entre 3.5" et 4". A cela une raison : en AD, mesuré au bas de la tête, au niveau de la fixation de la barre de contrepoids, un jeu mécanique de 0.8mm De 0.3 mm au bas de la partie de Dec. Les premières mesures ci-dessous ont été faites jeu mécaniques réglés. Et je parle bien des jeux mécaniques et pas du jeu résiduel normal due à la mise en compression des ressorts . J'explique : quand on prend la barre de contre poids, on met un jeu résiduel qui "résiste" et c'est normal : le bloc moteur/vis sans fin est plaqué par un ressort sur la roue dentée et le jeu axial de la vis sans fin est lui aussi rattrapé par un ressort de mise en pression. les jeux mécaniques de 0.8 et 0.3 dont je parle plus haut, étaient eux, des jeux mécaniques. un truc qui fait cloc-cloc, quoi. Tout ceci pour souligner l'importance de l'acheter soit chez quelqu'un qi saura vous la régler, soit de pouvoir la régler vous-même ou à l'aide d'un membre expérimenté de votre club d'astronomie. Voilà ce que je peux vous donner comme retour pour l'instant. Maintenant, mon avis totalement subjectif : Mécaniquement, c'est une monture bien née. En terme de marketing, je comprends le coup de "elle a tellement peu d'erreur périodique, tellement qu'elle est bien conçue, tellement qu'elle mieux que la concurrence que y a pas besoin de corriger la PE". Ben ouais, mais...une Ioptron CEM70 guide à 0.35"...j'ai un collègue du club qui possède une Losmandy G11 qui guide à 0.35", une CGX (pour un C11) ou une CGX-L (pour une charge de 35kg) guident à 0.35". Et une AZ-EQ6 GT guide à 0.35". Et pour 1000€ de plus, une EQ8R PRO guide à 0.35". Que la tête de CQ350, fait à peine quelques kg de moins qu'une EQ8 R (ou une CGX-L!), donc c'est pratiquement pareil à manipuler. Qu'une EQ8 R est compatible avec le pied de la CQ350 ou un Berlebach, ou un geoptik beaucoup plus léger (voire moins cher)...ben, le rapport guidage/poids porté/prix n'est pas si bon que ça. Et si c'était à refaire, je prendrais une EQ8 R avec un pied léger, ou une CGX-L d'occasion ayant peu servie. Pour moi, Skywatcher s'est loupé. Une PPEC, c'est 15,20,30% de précision en plus. Et pour ceux qui pourraient se dire "oui, mais Philippe, peut-être tu sais pas bien, t'avais peut-être pas le meilleur ciel, etc" (ce que je comprendrais) , je vous renvoie à la vidéo de Steven Morris, qui est en ce moment en plein été australien, possède une CQ 350 PRO prototype-présérie (il le dit lui-même) et doit donc être "un petit peu "team Skywatcher". Et vous verrez qu'il arrive sensiblement au même résultat : Reste ensuite l'option de l'algorithme PPEC PHD2...mais ce sera au prochain épisode... Un autre détail : j'ai fait ces mesures (et la prise de la comète) en ayant équilibré sur le troisième axe. Freins de Dec desserré, la monture est tellement libre que les quelques grammes des poignées de serrage de la queue d'aronde font tourner le plateau de DEC. Et c'est plutôt bien. J'ai donc équilibré le troisième axe dans la journée précédant les prises sans tube puis avec tube.
  14. C'est celui de la CGX-L. Par contre, avec le C11, le pare-buée, avec une légère brise, ça ne bouge pas. Ca me change de l'AVx!!!! En planétaire, elle suit très bien. En cp, j'ai pas encore eu de ciel sans nuage ou cyrrus, donc je ne sais pas encore.
  15. J'ai pesé la tête : elle fait 21,1 kg avec la barre de contrepoids qui elle, fait 2,3kg. Ca fait 18,8 kg pour la tête seule.
  16. Le trépied reprend les éléments de sa cousine, la CGX-L. Après, la tête se monte très facilement sur le trépied avec la vis du trépied dessous et 2 vis Allen sur les côtés. Je porte l'ensemble monté pour le déplacer. La tête seule, je la porte tranquillou.
  17. Elle est là, oui (depuis vendredi). Elle a même fonctionné deux soirs. Je rejoins les remarques plus haut sur la convivialité de l'interface Celestron, plus "facile". Changer d'environnement n'est pas aisé : il faut refaire ses marques. Et le logiciel CPWI est quand même super intuitif, simple et diablement efficace. A quand un "SPWI" monsieur Skywatcher? Après, Synscan fonctionne bien. Mais l'aspect avoir une carte du ciel et toutes les options et menus sur le côté avec les flèches de slew motion et vitesse constamment sur le dessus des fenêtres me manquent de par leur facilité. La monture en elle-même fonctionne bien. Je dois encore trouver le temps (et l amétéo!) d'enregistrer la PPEC. A la première nouvelle fenêtre météo, je ferai une session de planétaire. Les jeux se règlent facilement, tant pour la mise en pression moteur/vis sans fin que pour la pression sur la vis sans fin (réglage du jeu axial) avec une simple clé Allen et une pince à circlips ou clé à griffes pour tourner une vis de pression. Il n'y a rien à ouvrir. Simple, efficace, rapide. Côté limites de passage du méridien, en AD la monture deux butées physiques situées à environ 5-7° après le méridien. Synscan gère soit le retournement, soit une remise en position de départ "auto home" ou retour vers une position park enregistrée préalablement. Ah oui, auto home, c'est magique! En Dec, il y a aussi deux butées mais qui forment un angle d'environ 30° seulement. On a 330° de rotation. Les verrouillages de freins sont simples et intuitifs. La mise en station avec SharpCap polar align se fait aisément. J'ai eu 4" et 12"...qui tiennent. Avec les 12", Synscan me disait calculer 4,27" de décalage à compenser. les deux molettes d'azimuth sont classiques et la tête repose sur des patins téflons montés sur le trépied, assurant un coulissement doux. La grosse molette d'altitude est très facile, douce, facilement préhensible et dosable même avec 18 kg de charge et 20kg de contrepoids. Elle un défaut de sa qualité : c'est d'avoir un gros pas de vis et donc, un jeu à rattraper comme pour un mirror shift de SCT. Enfin, cela reste un défaut très mineur car on manipule cette vis avec deux doigts au lieu d'une main crispée. Pour l'équilibrage : la simple platine qui porte le chercheur sur le haut droit (quelques grammes!) fait pencher le tube (C11 + lunette guide centrée au dessus sur queue d'aronde, hyperstar, AA 26 C, steell track) du côté où il est vissé. Il n'y a aucun frottement, même en charge. Pour monter le setup, le mettre en station, câbler, il ma fallu 25 minutes le deuxième soir. 15 minutes pour démonter/ranger. Ca reste "rapide" au vu des 70 kg de l'ensemble. Ah oui, dernier "détail" : la tête ne pèse pas 16kg et "moins qu'une AZ-EQ 6GT"comme le dit le démarchage => elle fait 24,8 kg (dont 2,3kg de barre contrepoids). C'est d'ailleurs écrit dans la notice. Mais c'est un détail important pour la portabilité. ce sont tout de même 8kg de différence. En fait, il y a un verrouillage quart de tour qui bloque vraiment la manette en position verrouillée. Impossible de la déverrouiller par inadvertance.
  18. J'avais jamais pensé à faire un live stacking dans SC pour la figure d'Airy. Je vais tester. J'utilise assez peu AS!3. Je sais que c'est pas tendance mais je trouve Astrosurface plus performant. AS!3 me transforme le bruit qui contient les détails les plus fins en pointillisme au traitement alors qu'Astrosurface conserve plus de détails fins contenus dans le bruit et permet de les faire ressortir au traitement. J'utilise beaucoup Sharpen dans AS et en fait, 90% du traitement est là. Pour mes captures, c'est plus efficace que PSF + dérotation. Enfin, pour l'instant. Il y a peut-être un truc que je n'ai pas saisi. Une déconvolution me permet, par exemple, de compenser un seeing pas très bon. Mais un soir de très bon seeing comme le 28/08, la déconvolution me tue le détail très fin.
  19. Ben, voilà la "tête" de ma PSF du 28/08/2022 dans le rouge/IR 610 : Et une copie d'écran bien zoomée, traitée, niveaux normalisés. Il manque encore un chouille mais il est tellement plus facile à collimater. Pour la MAP, voici un exemple de SC en mode couleurs inversées. malheureusement, la capture d'écran se fait en NB. Mais je trouve ce procédé plus parlant que le Gamma dans ASICAP ou FC. Et pour le suivi, je viens de tester de caler la lunette de guidage sur une des lunes (mais pas Io qui orbite trop vite) et cela fonctionne bien.
  20. Merci lyl. En effet, les couleurs et les détails sont mieux. Ces deux nuits là, je crois que c'est la première fois que j'ai pu obtenir des données qui soient vraiment à haute résolution. Il me manque encore une bonne vraie psf qui corrige la concentration dans figure d'Airy. Je lis actuellement le livre rédigé sous la direction de Christophe Pellier et je découvre et comprends plein de phénomènes d'otiques et du pourquoi et comment les corriger au traitement. La collimation est bonne et j'obtiens maintenant une "cocarde" mais avec un seul cercle comme la figure plus haut qui montre la valeur de lambda/4. Il manque un peu de concentration de lumière dans ce deuxième cercle. Le cercle n'est pas exactement parfaitement formé. Il reste un pouillième de pincement du secondaire. J'évaluerais à lambda/3,5-3,8. Au Hotech, il reste un léger décentrage du PO. Environ 1 mm. Si le secondaire est aligné, que le PO l'est aussi, alors j'en déduis que le primaire a encore un léger décentrage. Cet hiver, je démonterai le primaire pour le remonter avec un joint liège. Je regarderai s'il y a moyen d'affiner son centrage. je sais pas encore comment c'est fait mécaniquement à l'intérieur, mais il doit bien avoir un moyen. J'avais lu des rapports de réglages trouvés en ligne comme tu me l'avais conseillé et pour "compenser/réduire" le léger astigmatisme, après plusieurs essais, j'ai tourné la lame de Schmidt de 30/35°. Pour la mise au point, j'ai carrément changé de méthode : J'ai essayé la méthode de JLD reprise par JP Ogier de baisser le Gamma dans ASI CAP et c'était mieux. Mais je préfère utiliser SharpCap et j'ai découvert un nouveau bouton dans le panel d'histogramme, en bas à droite du panel : L'image en couleurs inversées/négatif. C'est un vrai révélateur de seeing! Je cherche d'abord le détails fins dans la bande équatoriale, puis dans les bandes équatoriales nord et sud, puis - quand le seeing est bon - les bandes tropicales voire, quand le seeing est excellent, dans les pôles. C'était le cas du 28/08/2022, l'image que tu as reprise : on y voit des détails jusqu'au limbe des pôles. Concernant la colorimétrie : Au traitement, je perds la colorimétrie que je vois lors des captures. Je lis sur les forums qu'il y a débat. C'est un parti pris de traitement que je ne partage pas. Oui, elle plus jaune mais si beaucoup la traite "orangé" et certains la traite "à l'américaine" en tirant vers le orange/rose, je ne trouve pas que soient les "vraies couleurs". En tout cas, pas celles perçues à l'écran ou à l'oculaire. La gamme de tons est plus café, crème et blanc avec, par endroits des bandes rosé tirant au saumon sur des détails de l abande équatoriale sud comme tu l'as traité. D'ailleurs, lorsque Jupiter scintille à l'écran, lorsque ces détails fins de couleurs apparaissent, je sais que le seeing devient bon et lorsqu'ils "tiennent", je sais qu'il est très bon, la MAP bonne, et l'ADC bien réglé. Note au sujet de l'ADC : L'ADC Pierro Astro vaut son tarif. Il m'a changé la vie par rapport à l'Omegon qui n'a jamais pu aligner les longueurs d'ondes. J'arrive à des 0 et 0,1 pixels avec l'outil de réglage de SC et à ce moment-là, l'indication directionnelle du décalage ne sert plus à rien puisqu'elle tourne autour du centre. Pour le calage de l'ADC par rapport à "l'horizontale", en fait, je fais maintenant varier la force de la correction. Cela entraine un déplacement de la planète sur le capteur. Je cale à l'œil, l'axe de déplacement sur le méridien de la planète de manière à ce que les deux axes soient confondus. Bon, ça reste à l'œil et empirique, mais ça fonctionne bien. Pour finir avec la colorimétrie, lais la bande équatoriale nord apparaît plus café et café au lait. Je rencontre le même problème au traitement : la BEN tourne au rouge ou rouge/brun. Je ne dispose plus de Photoshop (qui est quand même la Rolls!) mais je cherche une alternative, une méthode. Je vais finir par trouver. Et une dernière autocritique sur la colorimétrie : je les trouve "métalliques" alors que je la "vois" plus dans des tons naturels d'automne. Les blancs sont gris à cause du bleus, les rouges trop prégnants et le vert ne se mélange pas bien pour se répartir dans les deux autres couleurs. Mais ça vient peut-être du profil de la 462 MC, faible QE dans le bleu, vert "fort" mais débalancé par un rouge presque trop puissant. Donc, au moment de faire une balance des blancs, ben , ce déséquilibre à la capture dénature les couleurs. Trouver le bon profil de correction de la 462 MC est sûrement une bonne solution. Mais je en l'ai pas encore trouvé.
  21. Bonsoir, tout d'abord, merci pour votre aide qui m'a pété précieuse et m'a permit de comprendre beaucoup de choses rarement abordées. Après de nombreux essais, réglages, essais, réglages, j'ai fini par acheté un pieds à coulisse digital et à centrer mon secondaire. Deux diamètres à 90° en mesurant un rayon entre le plan d'appui intérieur du logement du miroir (surface de référence) et l'extérieur du tube. Reste une erreur de centrage de 0.30 mm et 0.33 mm au diamètre, soit une concentricité à 0.15 et 0.165 mm au rayon. Il va beaucoup mieux depuis!!! Deux images du 24/08/2022 et du 28/08/2022 :
  22. Bonjour à toutes et tous, Possédant un C8 sur Nexstar depuis presque un an et demi, je fais surtout de l'astrophoto planétaire. J'ai eu envie de plus gros et dans la seconde quinzaine d'août 2020, j'ai fait l'acquisition d'un C11 XLT sur AVX neuf. J'ai vraiment galéré avec. Mais quand je dis vraiment galéré, c'est vraiment. Sur du détail lunaire, par exemple, là où c'était devenu une routine avec le C8 (de jour ou de nuit, d'ailleurs), je n'ai jamais sorti une image "propre". Pour les autres planètes, là où c'était simple avec le C8, avec le C11, ça a toujours été compliqué. Je suis passé par plein d'étapes et d'investigations. J'ai toujours eu des problèmes de mise au point voire de mise au point instable (et on verra l'hypothèse du pourquoi plus loin). J'ai monté un Crayford Badder Steel Track dessus. C'est plus fin, mais ça vient pas de là. Ayant molette + crayford, j'ai pu m'en rendre compte. Je vous passe sur les MAP sur Io de Jupiter, la collimation, etc. Dans le traitement des images, quand je regarde les tutos de Sauveur ou d'Astronote ou de Dylan O'Donnel ou de Jean-Luc Dauvergne, je vois bien que 2 ondelettes + 2-3 trucs et bam, l'image est là! Comme le C8, je dirai (compte-tenue du seeing, de mon savoir-faire qui n'est pas comparable au leur, bien évidemment). J'ai donc fini par me poser la question de la qualité optique de mon tube... Je suis tombé sur la vidéo de JLD sur l'astigmatisme des Dall Kirkam, SCT, etc. Puis sur un document de la société d'astronomie nantaise qui décrit très bien avec des images et une "échelle de valeurs". Echelle de valeurs dont je me suis servi pour "comprendre". Voir image jointe. Puis je suis tombé sur ce cours du département de physique de l'université d'Alberta qui traite notamment de l'aberration sphérique. Et quand je regarde le passage qui décrit comment se comporte le signal lumineux au point (supposé) de focale, alors je comprends parfaitement mon problème de "regrouper les pixels" (Sharpen dans Astrosurface) par 5,6 ou AVANT de pouvoir utiliser une ondelette et de récupérer du détail. Ca, c'est pour l'étalement en largeur du point focal (ou du regroupement de toutes les composantes du signal lumineux au point focal). Et sur la profondeur, ça me fait penser à cette "amplification" de la turbulence de l'atmosphère qui rend une MAP très fine quasi impossible ou complétement instable. Et quand je fais un star test du C11 sur une étoile artificielle Pierro Astro 9 picos que j'utilise depuis plus d'un an avec le C8 (qui lui, me donne des images correspondant au manuel de l'utilisateur de Celestron, compte de la turbulence de l'air ambiant, etc), le C11 me donne ça : D'où ma question : Est-ce que j'ai un C11 à Lambda sur 2 dans le vert? Tous les avis de spécialistes sont le bienvenu. Mon revendeur (quel qu'il soit, c'est pas le débat) me propose de retourner le C11 et de me rembourser, mais ce que je voudrais, c'est juste un C11 à lambda sur 10 à 550 nm. Mais bon il parait que "Celestron ne garantie pas de surface de ses miroirs". Ah...ok... D'avance, merci. Philippe Pardon, j'ai oublié le lien du cours de physique sur l'aberration de sphéricité : https://www.youtube.com/watch?v=8R29jGaSdkE&list=PLSrKSt8xhLVrRO5MF6hksLfu2UeZrIiYu&index=28
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