Tyler

Ca rentre! il y a encore du taff... déjà trouver une fraise à chanfreiner les têtes de vis en meilleur état que celle que j'ai... quand c'est mort... c'est mort.

petite avancée de la matinée : les trois bras sont quasi prêts, reste le perçage des trois plaques de support, le taraudage des bras, et le perçage central des bras pour le pivot. tout à l'air d'aller pour le moment les trois pièces pivots sont quasi finies. (reste à voir comment je vais fixer les roulements dans leur logement, par collage cyano certainement, vu que je n'ai pas de quoi ajuster parfaitement ce type d'alésage, y'a un poil de jeu...) Et ça c'est ce qu'il se passe quand ton cône morse a décidé de se faire la malle en plein perçage de 10 à 11mm....😡

c'est prévu je pensais faire ça mais effectivement vu qu'on est sur des balanciers, même si il y a une légère erreur (et vu que je bosse à la main il y en aura) ça ne devrait pas poser de soucis. De toute façon si ça ne va pas je reverrai ma façon de faire. j'essaie au max de travailler les pièces en les maintenant ensemble par trois, pour qu'elles soient dimensionnées de la même manière, je bosse sur un marbre pour les collages, ma perceuse à colonne est reglée au petits oignons et j'ai une bonne équerre... ça devrait se passer pas trop mal le seul inconvénient : 12°C bien humide dans l'atelier... vivement le printemps...

Un fois j'ai eu à peu près la même chose mais en triple à 120°, sur une 70/420 TS optics. c'était les vis de maintien des lentilles (sur la tranche des lentille dans le barillet, pas les cales d'espacement) qui appuyaient trop. edit : j'avais pas vu le lien de Nico1038, ça confirme un truc à vérifier.

on se sent petit!

cette vis est sur roulement à bille, le bras sera totalement libre sur son axe. Oui j'ai vu ça, mais j'ai pas trouvé de rotules assez petite, du coup les appuis seront en forme de dômes, et donc proche du contact rotule (mais la surface d'appuis sur le miroir sera théoriquement un point, et non un disque.) Si je met des ressorts je perds l'aspect isostatique, j'induis des contraintes... C'est le poids du miroir qui fait que tous les points sont en contact avec celui-ci. Le but c'est qu'il n'y ai pas de jeu (les roulements seront sur un axe ajusté, et cet axe collé dans le bras du triangle structurel ).

Oui, là il passe, si j'avais fait une structure en plaque par exemple, le flux ne passerait pas. Edit : j'ai compris ta remarque. c'est pour du solaire avec miroir désalumé, donc le flux et l’échauffement qui va avec doivent être évacués au mieux en traversant le miroir. ça je sais pas faire. mais les roulements sur mon plan ne sont pas dessinés, le système est dans l'esprit de celui ci (trouvé sur le net).

Salut, étant donné que je me lance dans la fabrication d'un newton solaire désaluminé (le miroir est dans son bain d'acide actuellement), qui a de très grande chances d'être en structure ouverte "truss tube" (ça cogite, ça cogite...), je me suis dit "autant faire les choses au mieux jusqu'au bout". Donc après avoir lu pas mal de choses sur les miroirs (j'ai encore appris plein de trucs ) je me suis lancé dans la conception d'un barillet qui laissera passer le max de flux lumineux (pas simple avec si peu de surface qu'offre un 150mm). j'ai fait quelques tests empiriques sur la rigidité / flexion de l'alu que j'avais et que je pouvais trouver facilement (budget oblige), sur des collages, etc... je vais utiliser le support actuel du 150/750 (ça m'évite de refaire tout le système de collimation) et revoir la structure qui soutient le miroir, après m'être amusé un peu avec plop designer, je suis parti sur 6 points de support. (au cas où un jour, je trouve un "vrai" miroir) 3 étaient suffisant mais 6... c'est mieux, et c'est plus "rigolo" à concevoir et fabriquer. Tout ça a abouti à ça : en jaune le support existant du 150/750, vert et rouge la structure à fabriquer. Pour les détails : la structure sera collée / vissée (collage epoxy, bonne tenue au cisaillement mais pas top au pelage, d'où le collé/vissé)) les bras de support miroir seront sur roulement à bille. le contact du miroir sera fait par des pastilles en plastique dur. le maintient sur la tranche sera fait à 120° avec des vis à embout plastique, au centre de gravité du miroir. Procédure de collage de l'alu : ponçage des surfaces au grain 80, bain de lessive de soude pour décaper, nettoyage à l'eau, puis rinçage eau déminéralisée (on laisse dans l'eau jusqu'au dernier moment pour éviter le retour de l'alumine), dégraissage à l'alcool IPA, puis collage à l'epoxy (araldite rouge, y'en a des meilleures pour les collages structuraux, mais c'est pas donné, faut commander, et je fais pas non plus un avion 😁). le serrage ne doit pas être excessif, sinon la résine est chassée et le collage ne tient pas. Voilà pour le début, les photos arrivent bientôt.

ce qui ne veux pas dire qu'elle est "encore d'actualité" Et présenter juste l'aspect capteur (rsb, fullwell, ...) en expliquant au debut comment on fait une photo astro (prises de vue, empilement...)? et ensuite partir sur "comment fonctionne un capteur", quels sont les choses qu'on peut gérer à la prise de vue, au traitement... et celle qui sont aléatoires, ou constantes... enfin je dis ça... je suis pas matheux

Oui j'y pense, faut que je fasse un écran de protection facilement amovible, parce que les bagues, la camera, la motorisaion du focuser... tout est noir. Maintenant que je me suis rempli la tête de "truss tube", même si ça ne chauffe pas trop avec un tube standard, j'ai bien envie de tenter l'aventure.

je ne vais faire que de l'imagerie avec, donc un ND va trop assombrir. personne n'utilise mes tubes à part moi, donc aucun risque. De toute façon je suis tellement flippé que même quand j'avais une lunt ls35, en parfait état, je n'ai jamais mis l'oeil à l'oculaire Comme dit plus haut, c'était l'occas' ce 150/750, après, plus tard rien ne m'empêche de passer sur du F6, mais le f8 va être trop long pour ma monture.

Je vise autour de 1ms voire moins pour le temps d'expo, coté pc et camera j'ai ce qu'il faut. du coup si je comprends bien ce qui est important pour l'imagerie c'est que la chaleur ne soit pas trop importante pour ne pas cramer le capteur, 3.5W ça devrait aller , non? Au pire je vais commander deux filtre ND, un 0.6 et un 0.9, et comme j'en ai un qui doit laisser passer à vue d'oeil 50% (un vieux lunaire omegon sans données inscrites) je devrais être paré.

c'est ce que je vais faire, de toute façon une fois le miroir désaluminé je ne vais pas résister à faire des essais @krotdebouk je l'ai vu passer lors de mes recherches celui là, et je suis allé sur solarchat, j'ai vu celui de banjo il y a longtemps ici (avec son optique de fou furieux ) Tout ça me conforte dans mon idée de tubes directeurs droits avec entretoises plutôt qu'une structure en "V", je n'ai pas tant de poids que ça à supporter au final. ça va grandement simplifier la fabrication oui ça j'ai cru comprendre en lisant tes interventions ici et là Je serai bien parti sur plus long, mais je suis sur eq5, et j'ai eu l'occasion de trouver ce 150 f5 dans mon budget, avec un PO demultiplié et une araignée usinée (la même que j'ai sur mon newton CP), je sais que les miroir sur ces newton ne sont en general pas mauvais (sauf pas de chance...), donc c'était l'occas de tester. et j'ai vu des images faite à F/5 plutôt spectaculaires (certes sur de plus gros diamètres), donc bon.. de toute façon ça sera mieux que ma 70/500 ou que mon 150 f4 aluminé.

Merci pour ton retour, mais je ne l'utiliserai qu'en imagerie, d'où ma question sur le filtre neutre mais apparemment, d'après mes lectures, il faudra faire des essais pour voir si il en faut un ou non.

Salut, j'ai lancé un post sur le sujet mais j'ai peut être mal formulé... donc je compte me lancer dans la fabrication (si ça en vaut le coup) d'un newton de type "truss tube", avec pour base un 150/750. je conserve l'avant du tube avec l'araignée et le PO, et le barillet du primaire. je laisse le terme serrurier de coté, pas envie de me faire attraper par les puristes (qui auraient raison, un serrurier, c'est un serrurier, avec ses calcul de flexion etc... et j'ai ni l'envie ni le niveau). donc je pense faire un "cadre", une structure, la plus rigide possible, avec peu de moyens (donc exit carbone et pièces usinées). Je pense partir sur une structure alu, ou contreplaqué / alu. premier problème : les tubes ronds sont très chiant à mettre en œuvre correctement, à cause des jeux des entretoises et inserts, des fixations, des perçages à centrer, bref, je préfèrerais partir sur du tube rectangle ou carré. Maintenant la grande question, c'est la structure, il y a en tellement... celle qu'on voit le plus est de type serrurier, avec les "V" et un cadre au niveau de la fixation à la monture. mais il y a aussi une forme qui m'intéresse plus particulièrement, c'est le principe des refracteur istar : Je n'ai vu ce type de structure que sur des refracteurs, il y a une raison technique? ça me parait plutôt solide et rigide. dans le même esprit en plus simple (histoire de voir où je veux en venir) ça vous parait jouable? sinon une structure simple avec trois "V", celui du bas recevrai la queue d'aronde.

Salut à tous, ça fait un bail que je n'ai pas posté, et pour cause ; des nuages tout le temps depuis mes dernier posts... la misère, rien fait de l’automne, ni de l'hiver en CP.... encore moins en solaire, nuages, pluie, vent... on est bien en bord de Saône.... Bref, c'est du passé et l'été arrive, le soleil aussi (normalement) et cette année c'est décidé : je me fabrique un newton désaluminé. mon choix s'est porté sur un 150/750 (150PDS), vu mon seeing, mon budget, mon experience dans le domaine et ma monture, c'est exactement ce qu'il me faut l'utilisation sera en lumière blanche, avec un continuum, et une barlow 2.7x APM. Donc je vais avoir quelques questions : faut-il impérativement un filtre ND3 si je ne fais que de l'imagerie? faut-il que l'araignée soit peinte en blanc? ainsi que le tube? et l'intérieur du tube, blanc aussi? Pour la ventilation du tube, quelques gros trous suffisent ou viser une conception serrurier est un gros avantage? (et si il existe des conceptions simple mais rigide, je suis preneur.) merci à vous

avait D'ailleurs ça fait tellement longtemps que mon telescope n'a pas vu le ciel que je ne sais même plus vraiment ce que j'ai comme correcteur... mais oui il était très bien, maintenant, faut voir lequel donnera le meilleur résultat sur apsc.

j'ai passé des nuits blanche sur mon nord rack il y a quelques années merci merci

moi j'ai lâché l'affaire depuis plus longtemps. c'est pour moi plus facile de fabriquer que de jouer 😁. merci m'en parle pas, j'ai voulu changer de machine à expresso... (l’ancienne menaçait d'exploser) elles ont des écrans tactile maintenant... impossible d'en trouver une normale, avec un bouton on/off qui tourne.😁du coup c'est la machine qui décide quand ma tasse est assez remplie...

ma tronche ne doit pas être beaucoup sur le net, et à chaque fois les photos sont... enfin Pour le midi de la 8 corde c'est 3 potards et trois boutons a contact momentané. Il ont étés programmés sur commande (pas par moi, j'ai eu du mal a trouver quelqu'un pour me faire le circuit de la bonne taille pour qu'il rentre dans la guitare). C'est pour déclencher des pistes des effets, des lumières sur un soft. Mais il existe des contrôleurs qui permettent beaucoup de chose (roland GK3, les systèmes Ghost), en captant la corde, la note, tu peux changer de son, envoyer des infos dans un soft, déclencher des programme change suivant la hauteur de note et certainement bien plus encore... Squarepusher utilisait beaucoup ça à une époque, avec tout un arsenal dans reaktor. (squarepusher : mon héros ) J'en ai restauré une, une guitare archtop des années 60, elle avait été bien maltraitée la pauvre (vis dans le touche, colle néoprène...), elle est repartir pour quelques décennies.

c'est sûr que l'analo c'est lourd.. A l'atelier j'ai un TC electronic classe D qui doit faire 200 grammes, branché sur mon cab 12" B&C "maison", c'est pas lourd, surtout qu'il ne bouge pas vu que je ne joue pas .

Oui c'est un gros boulot, et c'est aussi des connaissances que j'ai du acquérir (les nuances d'alu, comment les graver, avec quoi, comment les oxyder durablement..), mais ça me plait. c'est aussi des échecs, ça ne marche pas toujours comme on voudrait, ça aussi ça me plait au final. C'est justement ce coté artisanal, avec des paramètres toujours un peu aléatoires qui font que chacune de mes gravures sera unique, même en reproduisant le même visuel. La gravure CNC ne permet pas ça, c'est trop "parfait", trop reproductible, trop seriel, trop identique, trop prévisible, et trop facile . C'est comme les amplis, le numerique c'est bien, mais la lampe.... merci en tout cas et pourtant sans eux...

ceci explique cela : le headless a enormément évolué. Quand je fais une headless, je ne pense pas que design, mais avant tout ergonomie. Une steinberger, niveau ergonomie.... c'est quand même pas génial . Tiens, puisque je suis là, qu'il pleut, que ça fais des mois que je n'ai pas vu le ciel... en avant première : deux images de la Pulsar terminée. Headless et schrotscale

ben ça dépend du vernis utilisé, du pistolet, et du coup de main. Quand on vernis au pistolet il faut utiliser un vernis fait pour, avec la bonne buse, la bonne pression d'air, le bon geste, et suivre les indications du fabricant pour la viscosité et le nombre de couches et leur pose : mouillé sur mouillé, demi couche, bi couche, séchage entre couche ou non... y'a plein de choses. Si le vernis n'est pas prévu pour le pistolage, il vaux mieux un pas trop visqueux qui passera dans la buse et "s’éclatera" sur le support, pour éviter le peau d'orange. Si on dilue trop un vernis, on change sa composition, et il ne durcira plus. (sauf quelques cas comme le nitro, qui séchera toujours, en fait plus exactement il perd ses solvants tout au long de sa vie, vous savez, la "bonne odeur de neuf"). Le vernissage au pistolet, c'est un peu une science, et c'est loin d'être simple, mais c'est en forgeant.. vous connaissez la suite. Bon après ça dépend de ce qu'on recherche en terme de rendu. sinon c'est décapage mécanique (abrasif), mais ça va laisser des marques.

La meilleure méthode pour avoir des couches fines et d'épaisseur homogène, c'est le pistolet, y'a pas de secret. Pour les produits à utiliser j'imagine qu'un vernis pour métaux de qualité doit convenir, donc vernis auto (PU bi ou mono composant) ou cellulo (qui sera très fin mais fragile). Si c'était un PU bi composant, il faut chauffer, le vernis va se décoller quasi tout seul. le diluant dilue, un vernis 2K sec ne se dilue plus. souvent à base de silicone, je ne sais pas si il y a des contre indication avec les vielles optiques.