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Dernière visite
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Jours gagnés
4
A propos
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Résidence
Maine-et-Loire (49)
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Intérêts
Solaire, planétaire, CP, visuel, astrophoto et… vélo…
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Matériel
SW150/750PDS HEQ-5 SynScan GoTo - Jumelles Meopta 8x56 - Caméras ZWO ASI IMX 662 MC + 178 MM + 533 MM - APNs Canon EOS 90D - Canon EOS 1300D - Sony HX60 - Canon i190
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MatEX's Achievements
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Sympa cette petite Saturne.
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Sympa, la juju.
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Jupiter du 17 novembre C8 ASI462 + animation
MatEX a répondu à un sujet de cezanne dans Astrophotographie
Belle animation et très belle image fixe, Manuel. Absolument aucun si tu captures avec une caméra. Si c’est pour transformer le.ser en AVI, c’est non seulement inutile mais tu peux aussi risquer une perte légère à cause de la compression. PIPP n’est utile que pour générer une animation gif d’images par exemple ou bien transformer le fichier .ser en un autre type de fichier soit pour la compression et le stockage soit pour une intégration ou une lecture dans un logiciel de visualisation autre que AS! ou de montage vidéo. La seule utilité du passage dans PIPP avant AS!, c’est lorsque la capture brute se fait autrement qu’avec une caméra astro. Typiquement, un apn reflex, compact, smartphone, etc… le fichier sortant en mp4, avi compressé ou consort. AS! ne prenant en charge que du .ser ou du avi, il faudra faire la conversion du fichier. Il s’agit même d’un impératif. Sinon, la préférence naturelle d’AS! va pour le .ser. Donc aucune utilité à la conversion… -
Jupiter, 15 novembre au soir, dans un ciel agrémenté de nuages poussés par le vent d'est et sous un seeing pas terrible. Le but était de faire de la dérotation de flux vidéo pour voir ce que ça donne. Sur 2 captures couleurs et une méthane de 15 mins chacune, je n'ai réussi à en déroter qu'une. Ici, un comparatif entre une image issue d'une capture équivalente à 3 minutes et la même avec dérotation de flux vidéo sur 15 minutes... Enfin, du bleu...
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Wow ! Rien à voir avec ton post précédent. Beau progrès. Tu peux encore augmenter sans que l’image ne bronche dans la très grande majorité des cas ( sauf quand le seeing est pourri mais de toute façon, quand le seeing est pourri, on ne shoote pas ). CF le commentaire de Caius. 8bits en imagerie planétaire dans tout les cas de figure. Le 16 bits n’est intéressant que pour aller chercher les protus en imagerie solaire. C’est presque tout… Pas du tout. C’est juste le stack qui n’a pas été parfait pour le satellite tout simplement parce que ton seeing devait pas être super de base. 120s est même trop court tout court. Je m’explique. L’écueil principal quand tu fais une capture sur Jupiter, c’est la rotation planétaire. Jupiter tourne extrêmement vite sur elle-même. Lorsque tu analyses une capture de seulement 60 secondes, tu te rends compte que la rotation devient déjà évidente même avec un C8. Alors maintenant, tu vas me dire : dans ce cas pourquoi ne pas limiter sa capture à 60s voir moins puisqu’il y’a déjà un risque de flou-filé rotationnel à ce stade ? Eh bien, pour 2 raisons. La première, c’est que AutoStakkert!4 est un outil de stack magique ! Il procède en un alignement multipoints des images et donc, est capable de recaler de manière locale toutes tes images et ainsi générer une petite dérotation partielle. La limite se situe, pour un C8 autour 3 à 4 mins. Au-delà, la dérotation commence à être un tantinet moins efficace et tu en ressens l’impact dans la résolution finale. Essaie une capture de 180 ou 200 s, tu verras par toi-même ! La deuxième raison, c’est qu’on cherche à augmenter le rapport S/N ( signal sur bruit ) au maximum possible pour obtenir une belle image. Pour ce faire, même procédé qu’en imagerie CP. On va cumuler un max d’images brutes. Tu comprends maintenant qu’avec une capture de 200s, tu récoltes naturellement plus de frames qu’avec une capture de 120s. Avec un stack au même pourcentage, tu stackes donc plus d’images unitaires et ton bruit de fond tend à diminuer. Bien sûr, il y’a encore l’étape suivante, Winjupos, pour déroter sur des temps de capture encore plus long si on cherche un rapport S/N toujours plus optimal. Mais déjà, AS!4 ( AS! 3 aussi évidemment ) est plus fort qu’on a tendance à le penser. À méditer !
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Très belle image.
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Dur remise en route après plus d'un an d'arrêt...
MatEX a répondu à un sujet de Gouvy78 dans Astrophotographie
C’est la raison pour laquelle je ne pose plus d’AP sur les satellites depuis longtemps. J’avais les mêmes problèmes de stack que toi. Même sans, le stack fonctionne très bien sur les satellites la plupart du temps. -
Raaah !!! Y reste encore une poussière sur le capteur ! Sinon, l’image est presque parfaite.
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Sympa ! Pour les réglages, d’accord avec Caius. Au niveau du shutter, faut même pas hésiter à monter à 15-20 ms, voire plus si le seeing est bon. Par contre, tes logs me surprennent. Comment peux-tu avoir un histogramme à presque 80% avec une cadence d’image voisine du millisecondes et en même temps un gain aussi bas ? Le gain max de la T7c, c’est combien à peu près ?
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Superbe.
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Planète Anomalie jovienne, calotte uranienne, neptune en IR... et début de mea culpa...
MatEX a répondu à un sujet de MatEX dans Astrophotographie
Merci. Quand on fait un comparatif avec les images de l’année dernière, on se rend compte de deux choses : l’une, la taille de la GTR a encore diminué. Ça, ça n’est pas une surprise. Mais de deux, on s’aperçoit également qu’elle a aussi perdu son point central sombre. Ça, c’est quelque chose de nouveau. Qui ne date que de cette année… Là-dessus, je m’abstiens de toute conclusion. -
Bonjour à tous. Un miracle s'est produit chez moi ! Après plus de 15 jours sans discontinuer sous une épaisse chape de plomb, le ciel se dévoila complètement dans la soirée du 11 novembre. Enfin, l'armistice a été signé entre l'astram et le ciel. J'ai même réussi à obtenir en contrepartie de négociation un seeing pas trop mauvais. L'occasion d'aller rendre ma visite annuelle des géantes glacées. Et de tenter une première pour moi avec Neptune : faire passer le filtre R+IR 642. Pour la petite anecdote, Neptune formait cette nuit-là un espèce de triangle aplati avec 2 autres étoiles, toutes deux assez nettement moins brillantes que Neptune à l'oculaire ( oui parce que les deux petiotes comme le reste d'ailleurs, j'y vais toujours au pointage visuel ). Après avoir fait une acquisition couleur sans soucis, j'ai changé caméra et filtre pour embrayer sur l'IR. Sauf que pendant ce temps, le tube avait légèrement bougé et que la cible s'était barré. En repointant de nouveau, j'ai donc resélectionné la plus brillante du fameux trio. Je me suis vite rendu compte que ce n'était plus Neptune. Elle était même devenu la moins lumineuse du groupe. J'ai ainsi pu faire le constat de la forte absorption du méthane dans l'atmosphère de Neptune à mes dépens. Bref passons aux images. Bien évidemment sans prétention pour mon diamètre... Notez la présence de Triton que je tenais à faire ressortir pour l'orientation de l'image. Le pôle nord de Neptune est en haut. Puis, ce fut au tour d'Uranus d'y passer. On sent déjà qu'il y'a un potentiel légèrement plus important que pour Neptune à 150 mm. On distingue la clarté de la calotte polaire nord qui se tourne de plus en plus vers nous. C'est chouette de pouvoir observer cette formation sur une planète si lointaine avec un diamètre si modeste. En couleur, l'accompagnant, j'ai également pu faire ressortir les 3 plus lumineuses lunes d'Uranus : de haut en bas, Obéron, Ariel et Titania. Enfin, Jupiter. En couleur comme en R+IR, j'ai trouvé un aspect étrange à ma GTR. Au début, je me suis demandé si c'était un défaut d'empilement ou l'impact d'un mauvais seeing local à la capture mais ça me paraissait étonnant. En comparant avec les images de l'Alpo Japan, je constate la même anomalie de l'aplatissement de la GTR. Donc ce n'est pas moi. Cela dit, sur les images de gros diamètres, la GTR présente plutôt un aspect "normal". Il reste donc une grande partie de mystère mais je soupçonne la possibilité d'une perte de masse. On distingue un nuage diffus sur son bord sud. On dirait que quelque chose s'est scindé de la GTR et se dilue en rotation vers l'extérieur. Je m'avance peut-être... L'IR, quant à lui, m'aura permis de tester ma théorie de résolution de rebond de limbe. Bon... pas très concluante... Je crois me souvenir que lors de mes petites expériences de l'année passée, j'avais dû shooter dans des conditions loin d'être top. Ca pourrait expliquer mes images parfaites à bande étroites à cause d'un effet de lissage du seeing. Ou bien, 12 nm est encore trop large. L'année passée, j'étais plutôt à 2 nm dans le bleu et 3 dans le rouge. Je vérifierai cette dernière hypothèse dans les semaines à venir. Après, au pire, il y'a quand même une légère atténuation, hein... Quel plaisir de faire de l'UV avec l'APM x2.7 ! Rien à voir avec les powermates qui me bouffait un signal fou... Sur ce, bonne chasse aux géantes à tous les planéteux qui, par hasard, passerait par ici...
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Planète Saturne - C8 - Player One Neptune-664c / QHY5III715c - 22/10/2024
MatEX a répondu à un sujet de sebseacteam dans Astrophotographie
Bien joué, Seb. Un plus pour la 2. -
ma petite collection de comètes datant de 1996
MatEX a répondu à un sujet de FranckiM06 dans Astrophotographie
Joli travail, Franck. Laquelle t’as le plus marqué personnellement ? -
Bonsoir et merci Ney. Bon, on repassera plus tard pour la »très grande » expérience. Ma petite expérience me suffit. Expérience qui est d’ailleurs basée essentiellement sur un diamètre de 150 mm. J’ai ‘débuté la pratique’ au début de l’adolescence avec une lunette en plastique de 50 mm qualité supermarché que m’avait offert ma mère. Je ne la sortais très franchement qu’occasionnellement, plus attirée par l’astro théorique que pratique à ce moment là et, il faut le dire, un peu déçu par la qualité des observations que pouvait m’offrir cet instrument. C’est à 19 ans, une fois mes premières économies stabilisées que je me suis offert mon premier télescope. C’est là que véritablement la pratique à démarré de manière sérieuse. Pour autant, avec ce 150/1400 ( vous vous en doutez, à lentille de barlow intégrée ), jamais je n’aurais pu obtenir les images que j’obtiens aujourd’hui. Je l’ai gardé 5 ans même si j’avais compris dès le départ la valeur optique réelle de cet instrument. 5 belles années riches en observations visuelles et en découverte du ciel. Ensuite, j’ai eu entre les mains un 200/1000 pendant environ une année. Le poids et le volume du tube doublé par rapport à un 150 pour un gain observationnel que je juge ‘minime’, couplée à une neq-5 trop frêle pour le supporter efficacement en astrophoto m’ont fait revenir sur un 150/750 sans aucun regret. Je suis totalement tombé amoureux du diamètre 150 mm. Même si je suis particulièrement actif en imagerie planétaire et solaire, je tiens à garder le lien avec l’observation visuelle dans tout les domaines. Ou presque,… @norma m’en excusera certainement, mais la Lune est pratiquement mon seul sujet de désintérêt. J’aime quand ça bouge, quand c’est actif et quand on ne sait pas ce qu’on va découvrir quand on se lance dans une observation. Ce que je ne retrouve pas pour l.astre géologiquement mort qu’est la lune. Alors oui, il y’a beaucoup de jeux d’ombres et de lumière sur la lune. Quand il n’y a bien que la lune à voir, il m’arrive d’aller y faire un tour en visuel. Mais les formations géologiques restent stables à l’échelle d’une vie humaine et il n’y a aucune atmosphère où un quelconque intérêt météo pourrait se retrouver. Comme on dit, chacun ses goûts et ses couleurs.