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MatEX

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Tout ce qui a été posté par MatEX

  1. Oui parce que ça coûte nettement plus cher qu’un filtre IR et que c’est très exigeant à l’utilisation. Un « compromis » pourrait être le wraten 47 mais faut-il encore l’accompagner d’un IR-cut à cause d’une fuite monstrueuse. Elle est suffisamment lumineuse pour que la prise d’acquisition soit efficace et confortable. Et les résultats sur l’atmosphère nuageuse sont assez spectaculaires. Mais, l’uv reste aussi très intéressant sur Mars et Jupiter. Sur Saturne, le spectre planétaire ayant son pic plutôt vers le rouge, et la magnitude étant naturellement plus faible, l’uv devient un véritable défi dans ces conditions. Le débit d’acquisition est très lent et forcément, le facteur de dépendance au seeing est primordial…
  2. C’est pourtant essentiel pour avoir une bonne compréhension des atmosphères planétaires. L’uv renseignant sur l’opacité et la composition des bandes nuageuses de manière générale. En l’occurrence, ici, la bande sombre sub-équatoriale indique une forte absorption de la partie bleue du spectre de la lumière. Autrement dit, que les composés à la base de ses nuages restituent plus de lumière rouge que les autres bandes. À partir de là, on peut imaginer que ces composés doivent être majoritairement d’origine soufrés ou phosphorés…
  3. Re-bonjour à tous ! Suite à ma série multispectrale précédente, j'ai pris le temps de retravailler ma séquence UV saturnienne faite ce jour-là, notamment dans l'optimisation du stacking qui me semblait être le noeud du problème. La version initiale était nettement plus empâtée au niveau des anneaux et écrasée au niveau du globe. La revoici à titre comparatif. Et voici la nouvelle version plus fine à mon sens et surtout plus proche de celle qui m'a servi de référence en 2023. Dites moi celle que vous préférez. Ci-joint, un extrait de la capture vidéo qui m'a servi à produire l'image en question. Saturne UV 2024.mp4 Et l'image 2023 qui m'a servi de référence. Pour le reste, tout est ici, comme d'habitude, sur YT.
  4. Voilà qui s'annonçait mieux pour ma session d'hier. Le seeing plus coopératif m'a permis de refaire une série complète sur Saturne. Les images sont indéniablement meilleures au global. J'ai même pu tenter de l'UV mais il y'a encore un tout petit peu trop de turbu. Elle se trouve largement inférieure en qualité à celle de l'année dernière. Peut-être à retenter dans les prochaines semaines si le ciel le veut... + les satellites qui apparaissent désormais sur toutes mes images avec de bons réglages caméra... Enfin, l'uv, bof bof...
  5. Ma série solaire de la veille dans la foulée de ma nuit presque blanche sur Saturne. Avec les protus. C'est moins bien qu'un PST mais ça marche. Deux images HR approximativement au centre du Soleil histoire d'observer la différence entre le proche-uv et le vert. Et les principales régions actives tantôt en UV tantôt dans le vert. Oui, le seeing était favorable même si le l'image en live était loin d'être immobile. Par moment, le live était suffisamment net pour bien percevoir la granule.
  6. Merci. C’est une observation spectaculaire qui démontre le pouvoir très absorbant du méthane sur l’atmosphère et, par la même occasion, le fait que les anneaux sont bien situés à l’extérieur de cette atmosphère.
  7. Bonsoir à tous. Mon opposition saturnienne ne s'est faite qu'aujourd'hui faute à une météo automnale dans l'ouest ( comme probablement partout ailleurs en France ). Je n'ai sorti le matos que vers minuit passée pour commencer par une petite session d'un quart d'heure en visuel histoire d'appréhender les conditions. Comme par moments, ça avait un semblant de pas trop mal, j'ai enchainé avec les captures vidéos. Et là, sur le live, la vérité s'est fait bien sentir. Les moments de "netteté" se sont faits très rares. Jet-stream à 240 m/s au-dessus de chez moi. Du rouge cramoisi - noirâtre sur Ventusky... Puisque j'y étais, autant tenter ! Mais en faisant une belle croix sur mon UV annuel. Espérons une occasion favorable avant la fin du mois prochain. Bon, un résultat plutôt présentable malgré les conditions. Je laisse à vos appréciations... Je place en dernier les deux IR(s) 850 et 1000 pour attirer votre attention sur une observation que je viens seulement de valider. Les deux semblent montrer strictement les mêmes détails. Ce qui signifie que les deux filtres intègrent à la fois de la lumière continue et de l'absorption méthane de manière à peu près égale. Il n'y a donc aucun intérêt qu'à perdre en résolution en préférant l'IR1000 au 850. C'est donc un filtre que je délaisserais à l'avenir dans le cas de Saturne plus particulièrement. Aurez-vous sans doute remarqué que les satellites apparaissent avec la 662 couleur et pas du tout avec la 533 mono. C'est un problème que j'ai depuis autant de temps que j'ai acquis la 533. Je pense, malgré mes divers tests, ne pas avoir encore réussi à trouver les bons réglages d'offset sur ce capteur. Je ne comprends pas pourquoi. Au mieux, arrive-je à extraire Titan lorsque les conditions sont favorables. Mais jamais aucun autre satellite. J'ai encore à creuser de ce côté car je n'aime pas beaucoup perdre de l'information. Bon ciel à tous.
  8. Oui, effectivement et heureusement, ça m’a pas mal aidé. Faut pas que je me plaigne non plus. Mais à un moment donné, on devient exigeant. Il faudrait que tout ces logiciels soient capables de réaliser en batch non plus une simple opération mais une série d’opérations. Et là, AstroSurface le fait pas encore. Gimp, oui, mais en se basant sur des scripts ou du code python… que je ne sais pas rédiger…
  9. Tout à fait ! Et l’avantage du visuel, comme l’œil possède une dynamique beaucoup plus large qu’une caméra astro, c’est que plus de choses sont accessibles. Je pense notamment aux différents satellites de Saturne. Moi, sur mes captures, seul Titan apparaît et encore, juste sur la partie émersion, qui pousse moins dans ses retranchements la dynamique de la caméra. Merci. Oui, beaucoup de boulot. Un moment donné, c’est tellement gavant de refaire sans cesse les mêmes opérations de traitement sous plusieurs logiciels qu’on voudrait rédiger des scripts pour automatiser tout ça. Mais devant la montagne de connaissances en informatique que ça exige, on revient penaud aux anciennes méthodes…
  10. Les voilà enfin mes versions de l'occultation. Quel boulot ! Le gif a été créé via UnFreez. C'est nettement mieux que ce que sort PIPP mais encore pas du 100% parfait. J'ai eu l'occasion de tester un vaste panel de créateur gifs que ce soit via logiciel ou en ligne. Aucun ne me semble la panacée. Eventuellement m'a-t-on chaudement recommandé FFmpeg qui fonctionne par lignes de commande ( apparemment, il n'y a pas mieux pour l'instant ) mais mon incompétence en informatique m'a décidé à rebrousser chemin devant l'obstacle... Chaque image est un morceau empilée sur une durée d'environ 3 à 4,5 secondes de l'acquisition brute. Passage de toutes les images une par une par AstroSurface et Gimp sauf pour la partie émersion où elles ont été passés deux fois par AstroSurface via la méthode maintenant bien connue du ROI wavelets utilisée dans le cas des satellites de Saturne. Sur la partie émersion, j'ai donc pu aussi faire apparaître la lune Titan. Et c'était pourtant pas gagné car la buée s'était invité sur le secondaire entre-temps et j'étais obligé de jouer avec le gain pour sauver mon histo à l'acquisition. Et voici parmi les meilleures images composants les gifs.
  11. C’est pas faux mais en même temps, ça dépend où tu l’achètes. Directement chez Chroma Technologie, c’est pas plus cher qu’un Baader k-line ou qu’un Antlia Cak. Moi, je l’ai eu chez un revendeur français. Là, c’est 200€ de plus. Ça pique. Mais à la base, je m’en servais pour l’imagerie planétaire. Avec une bande passante de 80 nm, j’avais très peur de la dispersion intrabande. En solaire, au lieu d’utiliser un adc pour la contrer, on resserre la bande passante. Et c’est d’autant plus important que l’on va chercher les courtes longueurs d’onde. Depuis 2 ans que je l’avais dans ma valise, je n’avais jamais osé le sortir pour du solaire HR. Une erreur comme vous avez pu le constater. Parce que finalement, la dispersion intrabande même en UV, n’est pas si terrible que ça quand on a un 150 et que l’élévation du Soleil est favorable.
  12. Soleil du 27, d'abord en full-disc. Notez le gigantesque nuage plasmique en suspension loin au-dessus du limbe, pour une fois visible en h-alpha comme en calcium. Enfin de la haute résolution qui commence à tabasser en proche-uv ! L'UV bande large me laisse bien plus de marge que les filtres bande-étroite avec l'astrosolar densité 3.8. Sur les mêmes régions actives, voici ce que j'obtiens avec les narrowbands Antlia Cak et Baader k-line. Clairement, ces filtres n'ont jamais été adapté à ma config... Tout à coup, la granulation en OIII paraît bien fade face à de bonnes UV... Une région isolé avec 3 filtres proche-UV et 1 filtre vert pour comparer tout ça... Au final, il m'aura fallu deux années pour comprendre ça... C'est du gâchis mais ça y est, à compter d'auourd'hui, je peux enfin espérer sortir de vraies bonnes UV !!!
  13. Mais c’est beau, bravo ! Si aussi. Le serveur est lent, le trafic plus intense qu’autrefois. Le forum commence à prendre de l’âge. Parfois ( souvent… ), il tombe en panne en plus.
  14. Vous allez vous éclatez avec, les amis. Soleil de la veille juste avant le passage des perturbations attendues ce we. Avec les protus. Puis, en proche-uv. ...avec une notation pour la seule protubérance qui ressorte conjointement sur les deux images composites. Dur, dur les protus en calcium... De la haute résolution en calcium sur la plus grosse région active du moment. Remarquez la tache en forme de 🖤. Et la même en OIII.
  15. Hello JPB ! Belle série. Pour ma part, je possède l’Astronomik qui est , soit dit en passant, excellent. Je n’ai malheureusement pas de point de comparaison avec d’autres marques mais je suppose qu’elles s’ équivalent plus ou moins. Pour un OIII en 12 nm de chez Astronomik, il faut compter ~130€.
  16. Hello ! De retour des Antilles, je n'ai pas perdu mon temps et ressorti le matos aussitôt. La configuration du Soleil de ce lundi avec 2 grosses régions actives. Quelques aurores ont été aperçues la nuit suivante très basses sur l'horizon nord. Quelques protus sur le limbe mais c'est plutôt anémique. En haute résolution, les résultats sont mitigés. Seul l'OIII passe suffisamment bien pour être utile.
  17. Tu vas gagner 16 x en transmission de flux par rapport à l’OD5.0 et, mécaniquement, autant en cadence d’acquisition.
  18. Problème : ces deux filtres ont une bande passante large. Ils ne corrigeront donc pas suffisamment bien la dispersion atmosphérique. En planétaire, on utilise un adc pour parer à ce problème. En solaire, comme on a théoriquement beaucoup de flux entrant, on peut restreindre la bande passante suffisamment pour ne plus être impacté par la dispersion. Ça va aussi réduire la luminosité, forcément, mais avec un OD 3.8, on est à peu près tranquille si le filtre utilisé n’est pas inférieur à 10 nm. La dispersion, elle, commence à se faire sentir dès 25 nm de BP. On le constate sur des images prises par bon seeing mais qui n’arrivent jamais à être parfaitement net au global même si on la granulation est parfaitement lisible. Le continuum avec un OD 3.8 sur le C8, ça devrait envoyer du pâté. C’est certainement la bonne solution.
  19. Hello et merci les copains ! Merci Seb. En fait, je suis un criminel. Depuis tout ce temps que je pratique l’astro et notamment l’imagerie planétaire, il y’a deux indispensables que j’ai toujours renié jusqu’à présent : l’adc et la dérotation. C’est uniquement une question de flemme, donc mauvaise excuse. Les tutos de Jean-Luc font de surcroît parties de mes playlists enregistrés depuis tout aussi longtemps. Un jour peut-être, quand le courage viendra… Concernant les temps de capture, et c’est une bonne question, mais que s’est-il passé mon Matthieu ? Il y’a encore 2 ans, je suivais moi-même scrupuleusement ces temps de référence indiqués, notamment 90 s pour Jupi et plutôt 120 pour Saturne. Époque révolue après plusieurs discussions approfondies avec Jean-Luc justement, et Christophe Pellier, au bistrot d’en face. Je ne le savais pas forcément mais en fait, AS! et son stacking multipoints d’une efficacité redoutable est aussi capable de déroter dans une certaine mesure. C’est ainsi que Jean-Luc ose depuis quelques temps maintenant pousser ses durées d’acquisition entre 150 et 200 sec avec son Mewlon 300. Il n’en fallait pas plus pour renforcer ma flemme de ne pas me plonger dans les méandres de WJ et faire mes propres tests. Eh bien, c’est effectivement concluant. Aucune différence entre 90 s et 200 s. Là où j’y gagne, c’est que je stacke mécaniquement plus d’images, donc le bruit diminue mais sans affecter la résolution. J’avoue ne pas encore savoir où sont précisément mes limites avec mon 150. Il me semble avoir essayé du 240 s sur Jupiter et ça n’était pas passé. On commençait tout juste à sentir le flou rotationnel et donc les limites d’AS!4. Je tenterai peut-être un entre-deux quand elle sera proche de l’opposition…
  20. Grosse session astro aujourd'hui ! Faut dire que je serai mis "à la diète" pendant 15 jours. Je vais en effet aller vérifier d'ici 2 jours si le Soleil antillais est meilleur qu'ici... mais sans mon matériel... Du mieux sur Jupiter. Elle s'élève tout doucement le matin. Ma première Mars pour cette nouvelle saison. C'est encore riquiqui... Bon, le clou du spectacle, et ce pourquoi j'ai mis le réveil à sonner à 4h du mat', le transit de Rhéa, deuxième plus grosse lune de Saturne, devant sa planète géante. Une matinée qui peut-être qualifiée de réussie grâce à un ciel clément, avec pour une fois, une transparence stable. Et si on animait ce merveilleux spectacle, si rare sur Saturne ? Dans le bleu. Dans le proche infrarouge. Et en couleurs ! Bon week-end à chacun ! J'espère vous ramener des nuits claires dans mes bagages à mon retour. Matthieu, l'explorateur du ciel.
  21. JPB, tes images sont très bonnes. Un seul conseil cependant, essaies de faire passer un autre filtre qu'un IR-pass. Un continuum par exemple te donnerait des résultats largement au-dessus. Olivierfred42, tu es au taquet sur la granule. Comme quoi on s'en tire pas mal globalement pour un été pourri. Ma session à moi fut raccourci par les nuages. En me pressant un peu, j'ai pu faire le principal de mon job coutumier. On voit une belle protu en H-alpha large. En cak, ça se discute mais j'ai toujours du mal avec ce filtre. Du calcium HR qui passe dans la douleur... OIII, le compagnon qui ne vous fait jamais faux bond. Merci aux likers ! Bon week-end à chacun ! Je vous retrouves dans un peu plus de 15 jours en espérant avoir assez de place dans mes valises pour vous ramener le Soleil antillais que je vais retrouver dans deux jours. Matthieu, l'explorateur du ciel.
  22. Et non ! Pas forcément. La collimation dans le rouge est plus facile à faire car la turbulence est généralement plus atténuée que dans les longueurs d’onde plus courte. Seulement, elle est aussi plus tolérante sur la précision. La diffraction liée au disque d’Airy d’une étoile augmente ou diminue avec la longueur d’onde. C’est l’uv qui apporte le maximum de résolution théorique mais qui, mécaniquement, est aussi le plus exigeant sur la collimation. Un instrument bien collimaté en uv sera donc un certain juge de paix pour la collimation jusqu’à l’infrarouge. Le filtre continuum est un filtre… vert. Ce n’est pas un trichrome. C’est un filtre à bande étroite. Mais un filtre « vert » car situé à 540 nm sur le spectre visible. « Continuum » parce que le filtre n’isole aucune raie spectrale spécifique. Quand on regarde un spectre solaire, Il s’agit de lumière continu. Tout simplement. L’OIII est incontestablement le meilleur achat que j’ai pu faire pour l’imagerie solaire. Il est très souvent au-dessus du vert continuum en terme de résolution d’image ( quand le seeing est au bas mot correct ) Pour l’uv, mon expérience est qu’il est compliqué à utiliser. Et c’est bien pour une question de seeing. Car en théorie et dans le meilleur des mondes, il devrait être largement au-dessus de l’OIII en terme de résolution. Mais sous nos cieux de plaine, ça reste coton. J’en ai 2. Un 3 et un 8 nm. Les deux s’équivalent en terme de transmission car si le 3 nm est un simple stack, le 8 en est un double. Pas top d’empiler 2 morceaux de verre en imagerie UV. Autant le 3 nm est génial pour faire du full disc, autant en HR, il est à la peine. La bande passante est trop étroite pour être 100% exploitable avec un astrosolar 3.8. À la rigueur, un miroir désaluminé permettrait-il de faire tomber les paramètres d’expo de la caméra pour figer convenablement le seeing. Mais, ceci n’étant pas encore mon souhait, je pense prendre le problème en sens inverse et plutôt chercher un filtre plus large ( au moins 10 nm ) en simple stack avec une bonne transmission dans les specs ( au moins 90-95% ).
  23. Excellentes images, Tyler ! Ta collimation est au moins bonne dans le rouge. Si ton ciel est bon, et en ce moment, en milieu de matinée avec un soleil haut dans le ciel, tu auras sûrement de belles occasions, tentes le vert voir le bleu. Tout dépend de savoir si tu comptes l’utiliser en planétaire ou pas. J’aurais un cassegrain, je trouverais dommage de ne pas l’exploiter en planétaire. Mais ça, c’est toi qui voit.
  24. Soleil du jour ! Seeing très moyen et bancs de cirrocumulus pour situer le contexte... En hydrogène alpha avec les 'tites protus ! ❤️‍🔥 Ma série sur les deux régions actives ciblées. Et bien sûr, pour finir, les animations qui vont avec ! 🌞
  25. Ciel stable ce matin pour pointer sur Saturne mais fallait-il jongler avec les cirrocumulus sous l'autre pression exercée par l'aurore montante. Avec une belle surprise, le transit de la lune Thétys devant les anneaux. On est vraiment à la limite de résolution du scope. Ca tire les yeux pour la distinguer... Peut-être également une formation cyclonique pointée ici en bleu et en Luminance, confirmée par des images partagées sur les réseaux instantanés prises à moins d'une heure d'intervale avec un 250. Enfin et je suis probablement le premier à la shooter aussi tôt dans la saison 2024, Jupiter, excessivement basse sur l'horizon. L'absence d'adc ne peut plus se cacher dans ces conditions.
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