Aller au contenu

Aïki

Membre association
  • Compteur de contenus

    375
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Aïki

  1. De planétaire. En CP, une nébuleuse... c'est nébuleux, donc aller chercher le dernier petit pouillème de résolution me semble moins critique qu'en planétaire. Et je suis d'accord, petit photosite dit peu d'électrons dit peu de signal sur chaque photosite, sauf à y passer la nuit. Mais c'est une question de temps de pose plus que de définition d'image. En planétaire, tout du moins sur les vedettes que sont Jupiter et Saturne en particulier, le signal ne manque pas. Donc pas besoin de pixels ventrus. Ce qui m'intrigue, c'est que d'après certains astrams, le suréchantillonnage est non seulement inutile mais conduit également à une dégradation de la définition de l'image. C'est paradoxal si on s'en tient au théorème de Shannon. A moins qu'un autre mécanisme ( j'imagine, de nature graphique) provoque une telle dégradation. En fait, comme je ne l'ai pas constaté "de visu" sur mes images, faute d'équipement adéquat, je n'ai pas d'opinion sur ce point. mais étant curieux de nature, j'aimerais bien trouver une réponse. Je vais finir par me trouver une caméra avec de petits pixels pour essayer en vrai grandeur ! Edit: je viens de trouver une explication sur le web, selon laquelle le fait de suréchantillonner peut faire se matérialiser sur plusieurs pixels de la turbulence qui serait autrement noyée dans un unique pixel en cas d'échantillonnage moyen ou de sous-échantillonnage.
  2. Sur un site U.S. Ils comparaient deux images, et celle qui était sur-échantillonnée était un peu moins piquée que celle qui ne l'était pas. Mais je ne sais pas précisément pourquoi. C'est pourquoi je ne suis affirmatif que quand j'ai testé moi-même. Et que je prends des précautions oratoires quand je ne l'ai pas fait, D'après Shannon, il faut échantillonner au moins au double de la fréquence maximale du signal, mais c'est juste un minimum à respecter pour ne pas perdre de signal. Donc effectivement on peut se demander pourquoi sur-échantillonner serait néfaste. mais la construction d'une image à base de pixels et sa perception par l’œil dépassent largement le cadre de cette unique loi physique. Donc je ne sais pas...
  3. Je ne suis pas certain que ce soit lié à l'évolution des capteurs. Je pense que ça provient plutôt de la règle que l'on adopte pour déterminer l'échantillonnage idéal. Dans le cas du Mak 180/2700, si on vise un échantillonnage égal à environ la moitié du pouvoir séparateur de l'optique , un pixel autour de 4 microns est satisfaisant. Si on préfère un échantillonnage au tiers du pouvoir séparateur, on serait plutôt autour de 2,9 microns. A 2 microns, je pense qu'on sur-échantillonne, et j'ai lu (je n'ai pas essayé) que les résultats en image sont assez médiocres. Par contre, faute de test en réel, je n'arrive pas à savoir si réduire l'échantillonnage de la moitié au tiers du pouvoir séparateur apporte un bénéfice visible en matière de définition d'image. Il me faudrait une caméra ayant des photosites autour de 2 microns, comme l'ASI 678, mais j'ai beau fouiller au fond de mes tiroirs, je n'en ai pas... Ce que j'ai essayé, en revanche, comme je l'ai exposé dans un autre fil, c'est d'imager M51 avec et sans Barlow, ce qui revenait à passer d'un sous-échantillonnage flagrant (1,34" pour un pouvoir séparateur à 1,2") à un échantillonnage à peu près convenable (0,67"). Et là, l'amélioration de l'image est indéniable .
  4. Bonjour @Ney, Et bien nous sommes dans le même cas (sauf que je ne suis pas encore débrouillé). Pour ma part, j'adore apprendre, et le fait qu'il y ait bien plus de choses à découvrir que de choses dans lesquelles j'ai déjà plongé mon nez me réjouit. Que le monde serait triste si on en savait tout ! Donc je vais continuer à creuser, et à partager ici ce que je trouverai, soit en essayant directement sur mon setup et en le faisant évoluer (ce qui permet d'avoir un peu d'assurance dans ce qu'on raconte), soit en fouinant sur internet (mais ensuite il faut trier: je ne suis pas encore tout à fait certain que la terre soit plate 😊 !) En tout cas, merci pour vos explications. J'ai beaucoup appris en vous lisant !
  5. Commentaire posté par erreur dans un autre fil, je le rapatrie donc ici. Je me glisse dans le conversation pour poser une question à Ney, qui me semble bien dominer le sujet... J'ai lu que l'échantillonnage idéal était: - soit de la moitié du pouvoir séparateur de l'optique, pour avoir deux étoiles proches chacune confortablement installée sur son propre pixel; - soit le tiers, pour garder un pixel plus ou moins libre entre les deux étoiles (et éviter les querelles de voisinage 😊 ?). Du point de vue théorique, c'est beau comme un camion, mais dans la réalité est-ce que cela va se voir sur l'image ? J'ai fait des essais sur M51 au en juin et juillet dernier, avec et sans Barlow. Là, la différence de définition saute aux yeux. Je suis passé d'un échantillonnage sans Barlow à 1,34" pour un pouvoir séparateur à 1,2", à la moitié avec Balow x2, c'est à dire 0,67". En d'autres termes, je suis passé d'une situation de sous-échantillonnage manifeste à une situation où pouvoir séparateur et échantillonnage sont cohérents. Ça se paye avec un temps d'exposition multiplié par quatre, mais les images obtenues sont effectivement bien plus fines et bien plus jolies. Là, la théorie fonctionne, ça marche comme espéré. Mais qu'en est-il de la différence entre un échantillonnage à la moitié du pouvoir séparateur, et un échantillonnage au tiers de ce même pouvoir séparateur ? Satisfaction intellectuelle mise à part, est-ce qu'on peut faire la différence entre les deux images, ou est-on dans l'... de mouches ?
  6. Commentaire posté ici par erreur et déplacé dans le fil "Matériel Astrophoto" qui va bien .
  7. Pas de chance, vraiment ! Pour ce qui me concerne, je suis arrivé à un âge où, si l'on peut dire, l'argent ne brille plus (ce qui n'est pas vrai pour tout le monde. Je me souviens en particulier d'un vieux paysan bourbonnais dont on on disait à l'époque, "qu'il voulait absolument être le plus riche du cimetière"). Et je tiens plus à ma réputation qu'à une poignée d'euros. Je n'ai jamais rien vendu ici, mais je le fais régulièrement sur LBC (encore une fois ce matin...) et je rembourserais sans poser de question si un acheteur me le demandais (pour autant qu'il ait restitué l'objet tel que je l'avais expédié). Mais c'est vrai qu'il n'y a pas de solution miracle face à la malhonnêteté. Ça n'empêche pas de tenter de mettre en place des garde-fous, même en sachant qu'ils n'auront qu'une efficacité partielle.
  8. Aïki

    Viseur point-rouge

    En effet. merci pour l'info.
  9. Et pendant ce temps... A l'issue d'un décennie d'investissement, ma petite commune d'ïle-de-France a bouclé à la fin du printemps dernier son plan de rénovation de l'éclairage public. Désormais, tout l'éclairage est pilotable réverbère par réverbère en allumage / extinction et en niveau d'éclairement. L'extinction nocturne a été mise en place cet été à titre expérimental, allélluia ! Qui plus est, les communes voisines ont commencé à suivre le mouvement. Rien de tel qu'une bonne hausse tarifaire pour faire bouger des élus inertes. Seulement voilà, l'esprit écolo, ou citoyen, ou économe a du mal à pénétrer les caboches administratives. J'habite non loin d'un site de L'INRAe. Renseignement pris, le "e" d'INRAe est censé signifier "environnement". Je suppose que cet ajout à l'appellation historique "INRA" est le fait d'un service communication qui n'en a pas vraiment informé la direction, ni les responsables des sites. Quoi qu'il en soit, alors que toute la commune (ou presque) est plongée dans une obscurité bienvenue, le site de l'INRAe continue d'être illuminé toute la nuit comme un terrain de foot. Comme si les responsables de cette institution se moquaient de la survie de le faune nocturne (c'est sans doute le cas) , et qu'ils ne payaient pas l'électricité. Donc pendant que de nombreuses PME confrontées à des tarifs d'électricité délirants luttent pour leur survie, que les municipalités se serrent la ceinture, que nous veillons à limiter autant que possible nos consommations, des irresponsables protégés par leur confortable statut de fonctionnaire continuent de jeter allègrement l'argent de nos impôts par la fenêtre.
  10. Bonjour, Une barlow n'est pas forcément nécessaire en astrophotographie. Je m'explique: On veut en général obtenir la meilleure définition d'image possible en exploitant au mieux les capacités de l'optique que l'on possède. Pour cela il faut que la taille des photosites de la caméra soit bien adaptée aux caractéristiques optiques de la lunette ou du télescope. En effet, si les photosites sont trop gros, on aura par exemple deux petites étoiles proches projetées sur un même photosite et l'on ne verra finalement qu'une seule étoile sur l'image.Si les photosites sont trop petits, on obtient un effet de flou qui n'est pas recherché. Pour un télescope 130/900 la taille idéale de photosite est de deux microns. C'est pile-poil la taille de photosite d'une caméra ASI678 (environ 400€ neuve). Donc avec elle, pas besoin de barlow (ni d'oculaire, comme l'explique bien @LucaR). On utilise une lentille de Barlow si l'on veut adapter son optique à une caméra dont les photosites sont trop gros. Par exemple, une camera ASI294 a des photosites de 4,6 microns. Idéalement, avec un télescope 130/900, il faudrait une barlow x2,3. Ce que l'on obtient en reculant un peu une barlow 2x par rapport à sa position théorique. L'intérêt des photosites plus gros est qu'ils peuvent accumuler plus d'électrons, donc offrent notamment une meilleure dynamique. Une barlow, c'est de l'optique en plus, donc perte de luminosité, chromatisme, poussières, réflexions, etc. C'est un pis-aller. Mieux vaut s'en passer autant que possible. Pour moi, la meilleure solution serait de chercher une caméra planétaire d'occasion avec des petits pixels (ce n'est pas la peine d'avoir exactement la valeur théorique de deux microns) et de laisser la barlow dans sa boîte. Si ça s'avère trop difficile à trouver d'occasion, chercher une caméra avec des pixels autour de quatre microns. (par exemple une ASI385 qui a des pixels de 3,75 microns et qu'on trouve en occasion de temps à autre) et utiliser la barlow x2. Ce qu'il faut comprendre, c'est qu'une fois qu'on a obtenu la bonne adéquation entre l'optique et la caméra, c'est à dire que le capteur exploite au mieux le pouvoir séparateur du télescope, augmenter la focale à coups de barlow est non seulement inutile , mais contre-productif.
  11. Bonsoir, Je déterre ce sujet pour offrir une petite explication technique sur le choix d'une caméra . Un Mak180 a un pouvoir séparateur théorique égal approximativement à 120/180 soit environ 0,67 seconde d'arc (exploitable quand le seeing le permet, naturellement, c'est à dire jamais chez moi, hélas) Il y a un consensus pour dire que l'échantillonnage idéal se trouve aux environs de la moitié du pouvoir séparateur. Autrement dit, deux étoiles juste séparées par l'optique de l'instrument auront des chances de se trouver sur deux pixels adjacents. C'est assez théorique mais c'est une base de raisonnement qui en vaut une autre. Donc dans le cas d'un Mak180, il faut viser un échantillonnage autour de 0,33 secondes d'arc. L'échantillonnage se calcule avec la formule 206 x Taille du photosite / Focale. D'où on peut tirer simplement la taille idéale pour les photosites. Avec 2000 de focale, on trouve 3,2 microns. Une caméra avec un capteur Sony IMX662 (photosites de 2,9 microns) serait bien. Avec 2700 de focale, on trouve 4,35 microns. Les photosites de l'ASI224 sont en théorie un peu trop petits (3,75 microns) . Vous êtes donc déjà un peu sur-échantillonné. Je crains donc qu'il n'y ait pas grand chose à gagner en définition en augmentant la focale Avec 4000 de focale, on trouve 6,4 microns . Une caméra avec un capteur Sony IMX482 ferait l'affaire. Avec 5400 de focale, on trouve 8,65 microns. On en serait assez proche avec un capteur Sony IMX294 en binning 2x2. Ou avec un capteur IMX432. Le grand intérêt d'avoir de gros photosites, c'est de pouvoir accumuler beaucoup d'électrons, et d'obtenir à la fois une sensibilité élevée et un dynamique importante. Autant c'est important en ciel profond, autant ça ne me paraît pas un critère pour du planétaire, sauf cas particulier. Ce qu'il faut retenir, c'est que la performance de toute lunette ou télescope est bornée par son ouverture. Il peut être utile sur un instrument à courte focale (comme ma lunette 102/714) d'augmenter ladite focale jusqu'à obtenir ce fameux rapport de 2 entre pouvoir séparateur et échantillonnage, et bénéficier ainsi d'une définition optimale, mais il est inutile d'aller au-delà. A ce stade, pour obtenir une meilleure définition, la seule solution est d'opter pour un instrument de plus grand diamètre.
  12. C'est vrai, mais les mauvaises langues prétendent qu'ensuite on perd un peu du point de vue fonctionnel...
  13. Moi je garde un souvenir mitigé des séances de desdus car j'étais infoutu de rendre un dessin propre. Ça m'agaçait d'autant plus que je suis plutôt soucieux d'esthétique et de qualité, mais bon, le rotring, ce n'était pas mon truc. Par contre, tout en dessinant, on faisait des projets de braquage avec mon voisin de table. C'était intellectuellement stimulant, et ça ne vous étonnera pas, nous ne sommes jamais passé à l'acte ! Ou tout du moins, on ne s'est jamais fait prendre. Comment pensez-vous que j'ai financé ma collection de TOA-150 ?
  14. Certes 😅 !
  15. En effet, ce serait vache pour les nouveaux, car il faut bien commencer un jour. Bon, restent le nombre de messages publiés et la date d'inscription comme critères possibles. (Ça me rappelle mes débuts en dessin industriel, où le prof nous avait montré des exemples de systèmes mécaniques proposés par des élèves mais impossibles à monter ou démonter, histoire de nous inciter à utiliser un peu nos neurones avant de commencer à tracer un projet). Pour ma part, j'ai toujours été satisfait des objets achetés au grenier. Le seul (tout petit) bémol a été avec la monture, qui avait besoin d'un sérieux réglage de jeu de déclinaison. Mais bon, je ne m'en suis aperçu que des mois plus tard, j'ai appris à le faire et depuis tout va bien. Donc de ce côté là, tout baigne.
  16. Je pense que même une cotisation à un euro dissuaderait les arnaqueurs. Payer une somme si minime soit-elle est une prise de risque que ne prendrait pas la majorité de ces escrocs, car elle pourrait aider à remonter jusqu'à eux. Et si en plus cette option fait rentre un peu de picaillon pour l'asso, qui s'en plaindra ?
  17. J'achète et je vends assez régulièrement sur divers sites, que ce soit sur WA pour l'astronomie, sur LBC pour faire de la place dans mes placards, sur Ebay, etc. J'ai été déjà confronté à quelques arnaqueurs, mais n'y ai jamais laissé des plumes car ces individus ne sont pas toujours très futés. Je me souviens entre autres d'un crétin d'Italien qui avait piraté le compte Ebay d'un vendeur de lingerie féminine et tentait d'y vendre un téléobjectif Canon 500mm ! Pas vraiment crédible ! Je me suis fait insulter quand je lui ai mis le nez dans sa m..de mais ne suis bien évidemment pas tombé dans le panneau. Dans un style différent, l'été dernier, un type trop confiant qui m'a fourni des faux documents, assez beaux à première vue mais qui ne résistaient pas à un examen un peu attentif. Attention aussi à un genre de tentative que je n'avais jamais vu avant cette année, l'arnaque personnalisée. Vous discutez sur un forum de vos hésitations entre le machin de marque "ceci", qui vous tente mais un peu au-dessus de vos moyens, ou celui de marque "cela", moins cher mais moins performant, etc. Et miracle, le surlendemain l'engin de vos rêves apparaît bien à propos dans les petites annonces, quasi neuf, photos à l'appui, dans son emballage d'origine avec tous ses accessoires, vendu en urgence à moitié prix du neuf. Méfiance ! Sinon, pour les annonces WA, il me semble que la moins mauvaise solution serait de réserver la publication d'annonces aux seuls membres ayant un historique suffisant (achats ou ventes , messages publiés...) mais d'en laisser la consultation ouverte à tous. J'ajoute que je trouverais légitime que la publication d'annonces soit également réservée aux membres de l'association, d'autant plus que la cotisation annuelle est tout à fait modique. Faire fonctionner un site implique des coûts, notamment d'hébergement, et il me paraîtrait tout à fait normal que ceux qui en bénéficient pour leurs transactions y contribuent, même modestement. Quand on tente de vendre un matériel pour 100€, 1000€ ou 2000€ ou plus, mettre dix balles une fois par an pour supporter le service ne me paraît pas choquant.
  18. Bonjour, Lorsque j'ai (re)débuté l'astronomie l'an dernier, j'ai acheté une bonne partie de mon nouveau setup au grenier (la lunette, la monture, des oculaires, la roue à filtres, des filtres...) alors que je n'avais encore rien publié. Et c'est logiquement avec mes premiers essais que sont venues les premières interrogations et mes premiers messages. Si le grenier m'avait été fermé à cette époque, je ne serais sans doute pas aussi présent sur Webastro aujourd'hui. On pourrait penser à un système de parrainage, mais ça n'aurait pas fonctionné pour moi car je n'avais aucun contact dans le monde astram à l'époque. La solution optimale n'est pas évidente...
  19. Ça dépend du terrain et du climat, non ? Il y a des caves qui sont inondées dès que la nappe phréatique remonte un tant soit peu, et d'autre qui n'ont pas vu une goutte d'eau sur plusieurs siècles. La cave de l'appartement de mon enfance, pourtant situé entre Rhône et Saône à 300m des quais, était sèche comme un coup de trique. Celle de la maison que mes parents ont acheté pour leurs vieux jours dans l'Allier sentait le champignon 365 jours par an.
  20. L'air chaud peut emmagasiner plus d'eau que l'air froid. La condensation ne se produit pas quand de l'air froid se réchauffe car dans ce cas il gagne de la capacité à absorber plus d'humidité qu'il n'en stockait déjà, mais lorsque de l'air (chaud ou froid, la notion est relative) plus ou moins saturé en vapeur d'eau entre en contact avec une paroi plus froide que lui. Ce qui se passe en réalité, c'est que l'air chaud et potentiellement humide de la journée, prisonnier de l'abri de jardin, se refroidit la nuit. Sa capacité à stocker de l'eau à l'état de vapeur diminue et il dépose donc son excédent d'humidité sur les parois froides. Une solution partielle consiste donc à assurer une ventilation suffisante pour que l'air chaud diurne ne reste pas piégé dans la cabine et y dépose son humidité la nuit. Mais ça ne règle pas le problème d'un air nocturne saturé en humidité, ce qui est fréquent une bonne partie de l'année sur une bonne partie du territoire. L'idée du sac étanche sous vide est certainement efficace, mais sa mise en oeuvre quotidienne me paraît plutôt contraignante. Sinon, installer l'abri de jardin sur un site à 3500 mètres d'altitude au sud du 45ème parallèle garantirait un air sec et un ciel bien noir, mais je concède que ce n'est pas forcément une mince affaire...
  21. Aïki

    Viseur point-rouge

    Merci pour l'info, elle répond à mon interrogation sur l'intérêt du point rouge en astronomie amateur. En fait, je ne commande plus jamais directement en Chine (et pourtant c'est un pays que je connais un peu pour y avoir bossé dans une douzaine de provinces différentes), et ce depuis que je me suis fait pirater ma CB par un site chinois. Depuis, je suis passé à un autre mode de paiement, et je privilégie les acteurs locaux fiables et réactifs, comme Pierro-Astro par exemple, quitte à payer plus cher.
  22. Aïki

    Viseur point-rouge

    Le mien est un EOTech holographique . Qualité mili, mais compatible rail Picatinny, donc pas vraiment adapté à un usage astro. Je regarde le point rouge TS qui a l'air pas mal et qui est livré avec un support standard mini-Vixen. Ça me ferait gagner à peu près 350 grammes et m'éviterait de me contorsionner pour choper Arcturus, Altaïr ou une autre de leurs copines suivant la saison.
  23. Bonsoir à tous et toutes, Je suis en train de considérer l'achat d'un viseur point rouge. En effet, je galère souvent pour aligner ma lunette sur la première étoile (les suivantes, c'est facile) car elle ne se pointe pas toujours spontanément dans le champ de mon chercheur. L'autre raison est qu'à force d'ajouter des trucs et des machins, je me rapproche de la limite de poids de la monture en astrophoto, et que ça ne me dérangerait pas de gagner quelques centaines de grammes. J'ai l'expérience de ce type de viseur pour l'utiliser de temps à autre sur armes. Avantage: une prise de visée rapide les deux yeux ouverts. Inconvénient: la précision est limitée par le diamètre du point rouge. Donc intérêt fonction du contexte. Et notamment pas top en tir de précision (mais ce n'est manifestement pas fait pour ça). Qu'en est-il en astronomie ? Est-ce une bonne solution pour dégrossir l'alignement, c'est à dire en ce qui me concerne amener rapidement la cible sur l'écran du PC ? Pour ensuite affiner avec la raquette ou la fenêtre EQmod. Merci d'avance pour vos avis.
  24. Si j'ai bien compris, l'EQStarpro intègre le WiFi dans le boîtier de contrôle, alors que l'EQStar demande un module externe,
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.