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Aïki

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Tout ce qui a été posté par Aïki

  1. Et par une nuit de pleine lune...Sauf si on est collectionneur de dentitions drakulesques...
  2. Il m'est arrivé par le passé de fournir une copie de pièce d'identité (ce que je ne fais plus jamais d'ailleurs) en ajoutant une mention en travers et une date pour en interdire la réutilisation. Les effacer aurait pris quelques heures de travail sous Photoshop... La meilleure politique en fin de compte, c'est de rencontrer l'acheteur ou le vendeur. Ça doit diviser la probabilité d'arnaque par 1000.
  3. Aïki

    les annonces de ouf

    Déménagement ? Accident de santé ? Pépin financier ? Aider un enfant à s'installer ? Il y a tant de raisons qui peuvent conduire à ce genre de décision...
  4. Ah, merci !!! J'en rêve, mais le prix... aïe aïe aïe !
  5. Je déterre le sujet avec la nouvelle année et avec une question: j'ai vu qu'il y a deux versions de Quark, un pour la chromosphère et l'autre pour les protubérances. Quelle est celle qui a été utilisée pour les magnifiques clichés qui figurent plus haut dans ce fil ? Bon ciel (de jour) à tous !
  6. A mon avis (mais ce n'est que mon avis, si des astrams expérimentés ont une autre vision, je serais vraiment intéressé par leurs arguments)... A mon avis donc, un Mak 180/2700 associé à un échantillonnage de 0,22 micron fonctionne au maximum de sa capacité théorique. La seule manière de gagner vraiment en performance est de migrer sur un instrument de diamètre supérieur. Ajouter une Barlow dans sa chaîne optique, c'est y insérer trois ou quatre lentilles supplémentaires, donc des réflexions multiples, un coefficient de transmission inférieur à 1 et du chromatisme. Et finalement dégrader la performance de l'ensemble tout en augmentant les temps de pose. C'est ce qui fait que ma propre Barlow ne sert que lorsque j'ai besoin d'ajuster la focale d'un instrument à la caméra que j'utilise (par exemple quand j'utilise ma lunette 102/714, donc F/D=7 avec la caméra ASI678 qui demande un F/D=10).
  7. PS: Pourrais-tu nous donner une idée du post-traitement que tu réalises ? De mon côté je me bats avec PiPP, AS!3, Registax et Pix, et ce n'est pas toujours un long fleuve tranquille...
  8. Il me semble que l'échantillonnage obtenu avec une Asi662 convient déjà très bien au Mak 180. Le pouvoir séparateur du Mak180 est de 0,66 seconde d'arc. L'échantillonnage avec les photosites de 2,9 microns de l'Asi662 est de 0,22 microns, soit 1/3 du pouvoir séparateur. Ça me paraît bien. Avec une Barlow 1,5x on tombe à 0,15 micron soit environ 1/5ème du pouvoir séparateur. Une Barlow va provoquer un suréchantillonnage, je ne sais pas si ça apportera une quelconque amélioration à la qualité des images. Tes images de Jupiter sont déjà très chouettes, surtout celle en haut à gauche. J'ai aussi un Mak180. Si le ciel se dégage, je vais essayer une série avec une asi678 (photosites de 2,0 microns), test que j'ai d'ailleurs prévu de faire depuis un certain temps, pour me faire une idée de l'effet d'un sur-échantillonnage franc. En effet, les avis semblent partagés sur ce point, et rien ne vaut des tests réels pour se forger une opinion.
  9. Ce qui est curieux, c'est que ces taches noires sont groupées par deux, ce qui paraît assez inhabituel pour des poussières. J'avais eu un effet un peu du même genre avec lors d'un essai de sigma clipping sous sharpcap l'été dernier.
  10. Il y a un outil dans la rubrique "Painting" de Pix qui s'appelle "Clone stamp" et qui permet de recouvrir une zone avec la texture / la couleur qui est immédiatement à côté. C'est ce que j'utilise pour éliminer les traces de satellite. Quand je déplace cette gomme magique le long d'une trace de satellite, elle la recouvre avec la couleur adjacente. Et donc, lorsque le fond de ciel varie le long de la traînée satellitaire, la correction appliquée varie simultanément. Ce qui était un vrai cauchemar avant que je ne découvre cet outil est devenu une routine indolore. Un peu minutieuse mais 100% efficace. Il me semble avoir vu quelque part qu'il y a un outil similaire dans Photoshop.
  11. Ah, merci pour l'explication. Je n'ai pas Photoshop, mais avec Pix ça devrait se faire facilement.
  12. Sur Jupiter, j'ai parfois le même phénomène en périphérie de la planète, un arc de cercle clair sur le fond de ciel, et un arc sombre sur la planète. Est-ce un artefact dû à AS!3 ? Quand il est présent, je ne parviens pas à m'en débarrasser.
  13. Pigé, merci ! Et si Jupiter était belle hier soir, Saturne noyée dans les couches basses ne valait pas la capture, et j'ai viré les quatre ou cinq séries tentées sans grand espoir avant que la condensation ne devienne trop gênante (mon disque sature, je suis obligé d'y aller à la hache après chaque séance pour ne garder que ce qui vaut vraiment le coup).
  14. Question de candide car je débute juste avec un Mak180 SW (mais j'ai déjà une lunette 100mm, voire deux, c'est juste le Mak qui est nouveau pour moi): - est-ce que ça vaut le coup de faire optimiser un miroir de Mak grand public, ou est-ce que la qualité globale de fabrication fait que les autres défauts de la bête rendront l'opération illusoire et la dépense inutile ? - et si ça vaut le coup, quel bénéfice en espérer (je suppose en matière de contraste par exemple), et quelqu'un a-t-il un ordre de grandeur de budget pour ce genre d'intervention ? Mon objectif, c'est de sortir un peu plus de détails sur les planètes, en particulier Jupiter et Saturne (sans aller chercher un Dob de 500mm, ce n'est pas d'actualité )
  15. De mon côté, deux setups successifs. Initialement: - Caméra de guidage (Altaïr GP-CAM 224) reliée en USB à la caméra d'imagerie (ASI294 MC Pro) , elle même reliée en USB au PC; - Monture NEQ5 (avant optimisation) reliée au PC depuis le port raquette vers un connecteur USB du PC par le câble d'interface EQMod Pierro-Astro. Puis après installation du kit courroies Astro-Gadget: - Caméra de guidage (Altaïr GP-CAM 224) reliée en USB à la caméra d'imagerie (ASI294) , elle même reliée en USB au PC; - Boitier de commande Astro-Gadget relié au PC en USB. Avec du point de vue logiciel sur le PC: Sharpcap, Carte du Ciel, EQMod, Ascom V6, PHD2.
  16. Aïki

    Encore une du 17

    Joliiiiie ! L'ADC était vraiment nécessaire ? Car Mars est très haute en ce moment, non ?
  17. Aïki

    Help couleur Jupiter

    A titre de comparaison, voici une image de Jupiter ayant suivi exactement le même traitement (Sharpcap, Pipp, AS!3, Registax) mais cette fois issue d'une lunette FC100 800mm F/8 Takahashi datant d'une trentaine d'années: L'image n'a subi aucune modification colorimétrique; La différence de teinte serait-elle due à la présence d'une lentille fluorite dans le doublet de la Takahashi ?
  18. Aïki

    Help couleur Jupiter

    J'avais déjà essayé. Résultat pas vraiment terrible:
  19. Bonjour à Tous et Toutes, (J'ai une sainte horreur de l'écriture prétendument inclusive...) Cela fait quelques jours que j'essaye avec plus ou moins de succès d'imager Jupiter, et j'ai un souci de couleur. Je vous explique: - quand j'utilise ma lunette TS-Optics 102/714 j'obtiens une image dans les beiges. Un coup de calibration des couleurs sous Pix et elle tourne au bleuté. - quand j'ai essayé une antique Taka 100mm F/8.0 en prêt, j'ai obtenu directement des images bleutées. - et ces derniers jours avec un Mak 180/2700 SW, je me retrouve avec ce qui suit. J'ai imagé avec une ASI 385MC sous Sharpcap. Environ 3000 poses de 3ms, dont Pipp a conservé 1200, puis AS!3 seulement 75% soit 900 poses. L'image .png résultante a juste subi un traitement par ondelettes sous RegiStax, sans rien toucher d'autre, pour trouver un peu de netteté. Et je me retrouve avec une crème brûlée !!! Que dois-je faire maintenant ? Tous mes essais de traitement des couleurs se sont révélés désastreux. Si vous avez des idées...
  20. Appelez-les, ils sont sympas et compétents.
  21. Bon, et bien tant que nous sommes dans les avis divergents: Quand j'ai démarré l'astronomie il y a juste un an, je ne me suis pas posé tant de questions. Ma vieille lunette 80ED semi-apo sur trépied photo pour l'ornithologie était hors course. J'ai donc acheté une lunette TS-Optics 102/714 d'occasion (car les commentaires sur ce modèle sur le site de Pierro-Astro sont élogieux) et une monture NEQ5 également d'occasion (car pas trop chère) et j'ai commencé à observer. Quand Jupiter est partie se cacher chez les voisins, je suis passé sur Orion. J'ai tenté quelques photos avec mon Canon 7DII sans grand succès. J'ai acheté une caméra planétaire parce que le prix était abordable, sans comprendre vraiment ce qui la différenciait d'une caméra Ciel profond. J'ai vite réalisé que son capteur était trop petit pour le CP. Cet été, je me suis lancé dans l'autoguidage. Ça ne marchait pas trop bien, ce qui m'a amené à démonter complètement ma NEQ5 , pour la nettoyer et la régler, puis à l'équiper d'un kit Astro-Gadget. Finalement j'avance par essais et erreurs, et j'apprends énormément chemin faisant. Je touche du doigt ce que je peux et ne peux pas faire avec un matériel donné. Et quand il ne répond plus à mon besoin du moment, je le revends pour racheter autre chose d'occasion. Par exemple, je vais bientôt mettre en vente quelques oculaires que je n'utilise plus, et ma lunette que je pense remplacer par une japonaise. Bilan: la lunette, c'est simple à utiliser. La NEQ5 optimisée, super, mais il faut revenir périodiquement sur les réglages de jeu (très facile). La caméra planétaire: comme son nom l'indique, c'est bien en planétaire... mais pas en grand champ ! Tout ça est évident pour moi désormais, parce que je l'ai expérimenté, mais ça ne l'était absolument pas avant.
  22. Il faut comprendre que l'on joue au niveau du pixel, et qu'on fait des suppositions assez théoriques. Je m'explique: l'idée en simplifiant est de dire, si j'ai deux étoiles très proches, aux limites de ce que peut faire l'optique, essayons de faire en sorte qu'elles aboutissent sur deux pixels voisins, ou mieux, sur deux pixels séparés par un troisième. Mais dans la réalité, que les pixels soient un poil plus grand ou un poil plus petit, ça ne fera aucune différence pour autant que les ordres de grandeur soient respectés. Et de toute façon, à ce niveau, la perturbation atmosphérique va le plus souvent être d'un niveau supérieur au pouvoir séparateur de l'optique. Le calcul qu'on fait ne sera efficace qu'en cas de ciel parfait. Donc il ne faut pas considérer les valeurs obtenues à la virgule près, mais plutôt en tant qu'ordre de grandeur. L'important n'est pas de choisir entre 3,438 et 5,157, mais d'être quelque part entre 3 et 5. Il faut surtout éviter d'être grossièrement sur ou sous-échantillonné, ce qui produirait une perte notable de qualité d'image. Dans la vraie vie, si on considère que le Mak 180 a un pouvoir séparateur de 0,66 seconde d'arc, et qu'on veut un échantillonnage au tiers ou à la moitié, soit 0,22 ou 0,33 seconde d'arc, il suffit de jeter un coup d’œil à meteoblue qui annonçait des seeing systématiquement au-dessus d'une seconde d'arc ces jours-ci, et jusqu'à 2,5 secondes il y a quelques jours, pour réaliser les limites de la démarche. En pratique, on calcule les bornes supérieure et inférieure de la taille de pixel, et on cherche une caméra qui satisfait ce critère. Ensuite il y a tout le reste: le full-well, le prix, la taille du capteur, etc. On peut aussi jouer sur la focale à coup de Barlow pour adapter l'optique à la caméra dont on dispose et/ou aux conditions météo.
  23. Les boulets, oui, je m'en souviens, mais mes parents évitaient car ça chauffait pas terrible. Maintenant ils sont à la télé, les boulets !
  24. J'espère bien ! Je me demande quand même s'ils n'ont pas un train de retard. La protection physique des installations, c'est important, certes, mais aujourd'hui il n'est plus nécessaire de s'introduire dans un bâtiment avec un manteau couleur muraille et le masque de Zorro pour espionner. La menace a migré vers les réseaux et les bases de données. Je ne vois pas pourquoi l'INRAe a besoin d'une protection physique d'un tel niveau, sauf si l'on y poursuit des programmes qui n'ont rien à voir avec l'agriculture, l'alimentation et l'environnement.
  25. On dirait deux Papis en train de papoter sur leur banc au coucher du soleil 😊 Tant qu'on est dans les souvenirs: - l'appel du vitrier dans la rue: 'Viiiii...trier !" - le militant du parti radical qui sortait en titubant de réunion à 11H du soir, rond comme une queue de pelle, en beuglant "Vive le Parti radical... et la République !!!" - le magasin d'électro-ménager à l'angle de la place des Terreaux, où l'on regardait "La flèche brisée" à travers la vitrine car on n'avait pas la télé à la maison. Et parfois sur la canapé à l'intérieur quand un vendeur sympa nous voyait nous peler de froid dans la rue. - Les poissons rouges dans le bassin du Palais Saint-Pierre; - le cinéma place des Terreaux, où je suis entré une fois (et une seule) sans savoir que c'était un repère d'homos en mal d'aventures. J'ai compris en sortant le regard bizarre dont m'avait gratifié la caissière à mon arrivée. Plus tard, j'ai habité Caluire, un appartement avec une vue magnifique sur la vallée de la Saône et les Monts du Lyonnais. Le pire brouillard de ma vie, c'est un mois d'août à quelques kilomètres de Bort-les-Orgues. Je suis sorti de la route sans m'en rendre compte et me suis retrouvé au milieu d'un champ. J'en ai été quitte pour un demi-tour boueux et j'ai poursuivi ma route à la vitesse d'un piéton.
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