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Sevun

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  1. Bonjour @danielo, "Si quelqu'un acquiert le kit complet pour un 150/750 et souhaite ensuite passer à un 200/1000 par exemple, est-ce qu'il doit tout changer excepté la crémaillère et le bras télescopique ?" Lors d'une évolution de diamètre ou de longueur focale, l'astronome remplace uniquement les modules optiques primaire et secondaire. Il conserve donc son trépied, sa monture et le plan télescopique. Ce triptique est en quelque sorte le "boitier nu" de l'appareil photo reflex. L'utilisateur conserve aussi son PO, son chercheur et autres accessoires qu'il viendra assembler sur le nouveau module. Dans la photo jointe, vous voyez les modules à remplacer : à gauche le 150 f/5 sera remplacé par le module à droite : le 200 f/5. Dans votre exemple, il peut soit décider de conserver son 150/750 en plus du kit 200/1000, soit nous retourner le kit 150/750 en échange d'une remise sur l'achat du 200/1000 (les conditions seront précisées dans les CGV).
  2. Bonjour @Astrokor, J'espère en pas me tromper en évaluant que votre question porte davantage sur la qualité finale des optiques (et j'inclus miroirs et accessoires optiques) et pas tant sur son mode de fabrication : artisanal ou industriel. Dans le doute, je vais répondre aux deux aspects 😉 1. Les miroirs qui seront initialement fournis par Sevun auront un grade équivalent à celui que l'on peut trouver dans un télescope grand public tel que ceux que j'ai évoqué plus haut. 2. Il est envisagé que nous proposions différents grade de qualité, avec des optiques de différents fabricants, artisanaux, semi-industriels et industriels. Ainsi, chacun pourra choisir en fonction de ses attentes en matière de qualité et de budget, l'optique et les accessoires de son choix. 3. Enfin, pour ceux qui sont déjà équipés en optiques, à travers le configurateur qui sera disponible sur le site, il sera possible de retirer le miroir primaire et/ou secondaire et/ou accessoires optiques afin de ne commander (et donc débourser) que le nécessaire. Merci pour vos encouragements.
  3. Nous parlons d'un dobson en général : Télescope Dobson N 254/1200 Pyrex Skyliner Classic -> tube 12Kg, poid total 32Kg Télescope Dobson N 254/1270 Messier Hexafoc -> tube 16,4Kg, rocker 11,2 Kg, poids total 27,6kg Télescope Dobson N 254/1200 Skyliner FlexTube -> tube 15 Kg, poids de la monture 16Kg Télescope Dobson Advanced X N 254/1250 -> tube 10,2Kg, monture 14,2Kg "votre scope passe de 11 à 17kg en ne changeant que les miroirs? Les 17kg incluent le trépied j’imagine?" -> 17Kg complet : trépied, monture, plan télescopique, modules primaires et secondaires avec optiques, porte oculaire, chercheur, 1 oculaire Pour répondre simplement : Le Sevunscope n'est pas un Strock 250. Le strock 250 est une conception dans l'esprit de celle de Dobson dont l'objectif initial était de le rendre le plus transportable possible, dans une valise. Le Sevunscope est au télescope, ce que l'appareil photo Réflex, est à la photographie. C'est à dire un télescope "nu" sur lequel il est possible d'installer différnts "objectifs". Le Sevunscope sera vendu avec optiques primaires et secondaires, porte oculaire, chercheur, laser de colimation, 2 oculaires, sac de transport, pour un prix que nous tentons d'atteindre entre 600 et 1200€ selon configuration optique. Les strocks sont des télescopes fabriqués par les astronomes. Les astronomes ne peuvent pas acheter un strock sur Astropshop, Optique Unterlinden ou encore la Clé des Etoiles. Le Sevunscope est un projet d'entreprise industrielle, française, incluant des infrastructures et des salariés. Le Sevuscope sera commercialisé et accessible sur notre site Internet comme chez les revendeurs que j'ai cité ci-dessus. L'aspect du Gladius est proche du Sevunscope en ce sens qu'il s'agit d'un plan ouvert (non télescopique) qui supporte miroir primaire et secondaire. J'ajoute aussi qu'à l'origine, le Gladius avait une visée industrielle. Néanmois, ce dernier n'a jamais abouti. Pour conclure, J'entends et respecte vos commentaires, réactions et observations. Je vous remercie aussi d'avoir pris le temps de les formuler. Je vous remercie aussi pour les encouragements que j'ai pu lire à travers vos réponses. Je repose en conclusion quelques sujets : Le sevunscope n'est pas un Dobson ni un strock 250, c'est un télescope modulaire. Sa fonction est de pouvoir évoluer en diamètre et longueur focale tout en conservant son matériel. Selon configuration, en l'état actuel de nos développement, il pèse entre 11 et 17Kg, avec optique et accessoires et selon configuration. Le télescope sera commercialisé intégralement équipé cependant, nous proposerons aussi un configurateur afin que chacun puisse acquérir que le nécessaire s'il possède déjà des accessoires ou optiques qu'il souhaite conserver. Son poids et son encombrement le rend plus facilement transportable. Il sera fourni avec la bagagerie adaptée. Le prix annoncé inclu les optiques. Notre objectif de prix se situe de 600 à 1200€ selon configuration. Le sevunscope est intégré au sein d'un projet d'entreprise et sera commercialisé à travers les revendeurs spécialisés dans l'astronomie. En espérant avoir répondu à vos questions et approter toutes les précisions nécessaires pour la bonne compréhension du sujet. Bon ciel !
  4. Bonjour @adamckiewicz Merci pour votre retour et vos questions. Concernant le poids et l'encombrement : Le choix du trépied pour le Sevunscope est dicté par la volonté de gagner en mobilité et en légèreté. Un rocker de dobson 250/1250 a un poids combiné de 24Kg (12Kg pour le tube et 12Kg pour le rocker). Notre Sevunscope, dans la même configuration, pèse 17Kg. (11Kg en version 150/750). Cette réduction du poids le rends plus facilement transportable, que ce soit pour l'installer un dans son jardin que dans un sac à dos pour échapper à la pollution lumineuse. Pour les astrams d'un certain âge (et ils sont nombreux à nous lire), c'est aussi une charge moins lourde à manipuler. J'ajoute aussi que nous proposerons une monture équatoriale qui s'installera sur le trépied, en lieu et place de la monture azimutale et que là encore, le choix du trépied est plus pertinent. En termes de coût : je comprends vos préoccupations concernant le coût, le poids et l'encombrement pour une capacité peut-être non exploitée. Cependant, nous venons de voir que : le poids est réduit par rapport à un rocker pour un instrument à l'optique équivalente (-7Kg) l'encombrement est optimisé (replié 61cm*24cm*24cm) et qu'il rentre dans un sac de transport Quant à la variation du cout entre un trépied apte à supporter 5Kg et un trépied apte à supporter 13Kg, industriellement elle est faible. Par conséquent, le trépied sera proposée à un prix tout à fait abordable et juste. Le petit "plus" : la réduction des frais de port d'un envoie de 17Kg au lieu de 24Kg. Sur la polyvalence : Le Sevunscope est conçu simplifier les usages et la progression matérielle en ne changeant que le nécessaire. À l'instar d'un appareil photo reflex avec lequel on change d'objectif selon le besoin, avec le Sevunscope on peut passer d'une observation planétaire (avec un 150f8) à une observation de champ profond (avec un 250f5) sans changer tout l'équipement. Notre but est que le cout d'achat des modules soit plus intéressant que le cout d'achat d'un télescope entier. Ainsi, cela permettra d'améliorer le rapport qualité/prix/ouverture que les astronomes recherchent. En ce qui concerne la vidéo : Comme nous l'avons expliqué en détail dans la vidéo, nous présentons un démonstrateur, un prototype qui utilise des matériaux non définitifs, principalement pour des raisons de coûts et de rapidité de développement. Dans le présent cas, il est majoritairement composé de nylon. Le Sevunscope final sera évidemment construit avec les matériaux nécessaires pour garantir une parfaite stabilité. J'espère avoir éclairci certains points. Bien à vous
  5. Merci pour votre retour détaillé et vos observations. Nous apprécions sincèrement le temps que vous avez pris pour analyser notre initiative et partager vos pensées. Il est tout à fait compréhensible que tout le monde ne voie pas l'intérêt du concept immédiatement. Notre objectif est de répondre aux besoins spécifiques de certains utilisateurs sur l'évolution matérielle et la transportabilité, même si cela peut ne pas correspondre aux besoins de tous. Concernant vos préoccupations sur la dispersion des énergies et la qualité de notre produit par rapport à la concurrence, nous prenons cela à cœur. L'objectif n'est pas de créer un "couteau-suisse", mais de fournir un instrument de qualité et efficace. Encore une fois, merci pour vos commentaires. Ils nous aident à réfléchir et à nous améliorer continuellement.
  6. Bonjour Fabien, Merci infiniment de votre intervention et précision. Je prends bonne note et vous prie de m'excuser pour le défaut d'analyse. Bien cordialement.
  7. Hello @DonutMan De façon liminaire, en qualité de simple particuliers que nous sommes, nous pouvons utiliser des laser de classe 1, 1M, 2 ou 2M. Plus en détail, la législation française interdit l'utilisation de lasers de classe supérieure à 2 en dehors d'une liste d'usages spécifiques autorisés, fixés par décret. Le décret n° 2012-1303 du 26 novembre 2012, a défini la liste des usages professionnels autorisés pour les appareils à laser sortant de classe supérieure à 2 : fabrication et maintenance des appareils à laser traitement des matériaux stockage et transmission des données médical, esthétique scientifique défense, sécurité aéronautique, spatial et aviation civile instrumentation, mesurage et capteurs spectacle et affichage. Par conséquent, notre pratique de l'astronomie ne rentre pas dans la liste défini par décret. Bien à vous.
  8. @PEV77 Totalement en phase. Attendu que l'activité n'est pas "réglementé" (comme dans le sport par exemple), recenser le nombre d'astronomes amateur revient à estimer le nombre de chanteur sous la douche 🙂 Et croyez moi, je suis meilleur astronome que chanteur !
  9. Bonjour à tous, Je rejoins @hpsptsur l'analyse. A titre d'exemple, @Denis Udrea vous pouvez consulter la page du projet Rduinoscope : https://hackaday.io/project/21024-rduinoscope-boiana La personne derrière le projet a décidé de produire une solution open source de motorisation de monture en utilisant des moteurs pas à pas. Je l'utilise dans mon projet et ça fonctionne très bien. Aussi, il y existe une très bonne documentation (et outil de calcul de dimensionnement) qui traite à la fois des moteurs pas à pas et des moteurs CC avec encodeurs ici : https://www.ngc7000.com/motorisation-telescope.htm Quant à ta question : Quelqu'un aurait-il la gentillesse de me conseiller sur le type de moteur à utiliser (et éventuellement l'interface de commande) Je rejoins @jp42. Enfin, côté driver, il en existe plusieurs et la qualité d'encodage peut être variable. Je vous conseille de bien vous renseigner sur les différents drivers possibles et les benchmarks afférents. Bien à vous et bonne chance pour votre projet.
  10. Bonjour à tous, (Je réponds un peu tardivement par rapport au sujet initial) @chrismlt Je sens chez vous une certaine appétence pour les statistiques. Peut-être seriez vous intéressé d'en savoir d'avantage ? A ce titre, L'AFA avait réalisé deux inventaires concernant "Les lieux de pratique d’astronomie en France inventaire des structures d’animation". La seconde édition n'est plus toute jeune (2e version - Septembre 2006) cependant, elle donne une photographie de qui étaient les astronomes à cette époque, leurs nombres en fonction de leur profil d'astronome et leurs lieux d'observation. C'est donc une étude qualitative et quantitative qui pourrait vous intéresser. Dans le doute, je vous partage le lien vers la page Internet, le rapport se trouve tout en bas : https://www.afastronomie.fr/inventaire-astro-2015 Bonne lecture
  11. Bonjour, Tout d'abord, merci pour vos questions @yannick78 et @astrocg Je vais essayer de répondre de façon simple mais exhaustive. Concernant les aspects techniques, mes réponses portent uniquement sur le développement réalisé sur le prototype. Nous sommes toujours en cours d'évolution quant au premier de série. (A ce titre, vos questions, vos remarques, vos besoins sont très importants pour nous). @yannick78 Concernant le maintien et le réglage des optiques, nous sommes restés assez conservateurs avec l'état de l'art. Le miroir secondaire est collé, la collimation se fait sur 1 axe et 3 vis de réglages. Côté primaire, 3 vis titrantes. Pour le futur, soit le miroir secondaire sera fixé par des griffes, soit il sera collé et la pièce support devra être facilement interchangeable (réflexion en cours). Concernant l'outillage, en l'état actuel il faut un tournevis pour la collimation du primaire et du secondaire. Notre objectif est que la collimation se fasse sans outil. Nous sommes en cours de développement sur ce sujet. Concernant le barillet, le serrage qui est réalisé est un serrage de maintien dont le serrage se fait à la main (donc sans outils). Autrement dit, la pièce ne se vis pas en force. Pour ce qui est des points de contact entre deux matériaux différents (pour votre question "plastique/verre") les résultats que nous avons sur le prototype sont très satisfaisants. Néanmoins, nous avons prévu de faire mesurer et tester ces facteurs par un laboratoire de mesure indépendant. Concernant le Strock, merci pour la correction 😉 Pour vous répondre @astrocg, nous pensons que le Sevunscope représente un intérêt pour tous. Autant un novice qu'un astronome amateur ou averti. Le Sevunscope est un télescope à miroir avec la souplesse de pouvoir installer le miroir de son choix entre 6 et 12 pouces (150mm-304mm). Mais cela reste avant tout un télescope de type Newton. Aussi, nous savons que les astronomes que nous sommes possèdent (ou ont possédés) 2, 3, 4 télescopes. Nous savons aussi que généralement, nous changeons d'appareil pour un diamètre d'ouverture plus important ou pour avoir un télescope GoTo. Parfois les deux en même temps ! L'un des avantages du Sevunscope, de par sa modularité, est de pouvoir changer d'optique (avoir plus grand) sans changer d'équipement. D'une part, cela simplifie la démarche : on évite de multiplier les télescopes d'une part, et d'autre part cela permet de faire une économie : quand je change uniquement les pièces optiques, cela implique que je ne débourse pas pour le tube en lui-même. Aussi, un astronome qui serait acquéreur d'un Sevunscope, peu importe son diamètre, n'a aucune obligation de changer plus tard de miroir 🙂 Cependant, s'il le souhaite, ce sera facilement possible. J'ajoute deux choses avant de vous laisser : Si vous le souhaitez, je serai heureux de pousser la discussion plus loin en privé. N'hésitez pas à m'envoyer un message en privé, je reste à votre totale disposition. Enfin, en juin, juillet, aout et septembre nous allons nous déplacer en France à la rencontre de clubs ou de sociétés astronomiques afin de faire essayer le télescope. Par exemple, nous serons en juin à Belfort aux journées de la SF2A du 7 au 10 juin. Nous communiquerons d'autres dates prochainement, donc si vous souhaitez venir essayer par vous-mêmes le télescope, ce sera avec plaisir. Ce sera encore l'occasion de continuer de répondre à vos questions et de noter vos commentaires, toujours pertinents ! Encore merci pour vos commentaires et questions. Astronomicalement. Paul
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