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GeoffreyJoe

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Tout ce qui a été posté par GeoffreyJoe

  1. Oui c'est possible, le fait que j'habite entre deux centrales nucléaires a peut-être un impact également 😅 Merci pour ton retour en tout cas.
  2. Salut Alexis ! Super CROA merci du partage ! Il est probable que l'explication se joue dans "l'éblouissement" du duo par l'étoile la plus brillante, surtout si l'atmosphère était humide : elle engendrait peut-être un peu de diffusion. edit : avec ma L80, j'ai dédoublé sans trop de peine les deux composantes doubles de Epsilon Lyrae, qui sont séparées de 2,4 et 2,3 arcsec. Ce qui m'incite à croire que 2,5 arcsec c'est jouable à 60mm d'ouverture. Qu'en est-il de la courbure de champ à 4,5° ? D'origine je l'ai trouvé très pénalisant sur ma L80 jusqu'à 3,5~4°. L'adjonction d'une aplanisseur a grandement amélioré la chose. Mais si ! 😁Les deux arcs de cercle d'étoiles en vis-à-vis forment le contour d'une tour de refroidissement de centrale nucléaire. Je ne sais plus avec quel matériel j'avais observé cet amas (peut-être le Maksutov?), mais une fois vue, la ressemblance est évidente. Qu'en est-il du suivi à ce "fort" grossissement avec le pied photo ?
  3. Pas encore, je ferai un retour dès que je l'aurai et que j'aurais pu sortir avec. Sinon j'avais vu ça. C'est de la "belle pièce" mais je ne sais ce que ça donne à l'usage. https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/montures/montures-alt-azimutales/monture-alt-azimutale-az-belt-artesky_detail
  4. Petite précision, en attendant l'arrivée de l'AZ4, j'ai continué à l'utiliser sur le pied photo, mais sans sortir la dernière section des jambes, la section toute fine. Niveau stabilité c'est bien mieux ! Prochain coup, j'essaierai en plus de suspendre du poids sous la colonne centrale, elle est munie d'un crochet prévu pour.
  5. Et beh de rien, avec plaisir 😄 La montagne de Lure... parait que le spot est très très chouette, je ne m'y suis jamais rendu. Tu fais partie de la SAML ?
  6. N'est-ce pas @Lune cendrée qui utilises une AZ5 avec une 100ED ?
  7. Bonjour Joko. J'espère que ta conférence sera captée et retransmise sur la chaîne de Ciel & Espace !
  8. mais quel travail !! BRAVO et MERCI !! Je le dis et le répète : il faut que cela soit édité ! Ou au moins vendu en "impression à la demande" (je ne sais pas comment ça s'appelle, Amazon le fait, sûrement d'autres). Si ça sort en "physique" j'y mets mon billet.
  9. Bonjour, ça ne me surprend pas étant un doublet ED et pas un triplet (très chouette photo soit dit en passant). D'ailleurs, Ed Ting a sorti tout récemment une vidéo précisément sur ce sujet : correction des chromatisme sur un doublet achro VS doublet "ED" ou "semi-APO" VS Triplet APO.
  10. J'ai remis ça ce soir, rapidement après un repas un peu tardif. Atmosphère aussi calme qu'humide 😄 Mon télescope est trempé (il est resté dehors depuis hier) heureusement le tapis de sol Decathlon fait son office à merveille. Image très stable donc mais moins contrastée qu'hier, certainement à cause du surplus d'humidité. Saturne était néanmoins toujours aussi agréable à ausculter, j'y ai décelé sensiblement les mêmes choses qu'hier. Il m'a semblé que les anneaux étaient un peu plus à plat ? Mais c'est peut être (sûrement) une vue de l'esprit. G.
  11. Le Coiron culmine à 1019m, je suis à peine plus bas 😄 Donc non je ne suis pas marseillais et je n'en dirai pas plus (mais oui, nord-ouest 😄). Oui le "plateau" ardéchois ce n'est pas la même. Et encore il faut s'accorder sur lequel on parle : LE plateau au nord du département, ou plutôt la region du Tanargue qui est plutôt cévenol. Ici, les gens disent "le plateau" pour parler des deux lieux (qui n'ont rien à voir). J'ai un spot vers le Tanargue à tester, 1400m, mais 2h+ de route ... Ce sera pour le retour des beaux jours en 2025. Là le Coiron je suis à moins d'une heure de la maison 👍
  12. Hello ! Non je pense qu'il faisait 7 ou 8°C ("moins de 10°C" = "less than 10" et pas "minus 10" 😄) Merci beaucoup !
  13. Bonjour, je vais sur le plateau du Coiron. Je ne saurais être plus précis, n'ayant aucune autorisation pour "squatter" l'endroit précis sur lequel je m'installe. Hello ! C'est pour cette raison que je prévois toujours "trop" d'équipement personnel contre le froid. En dessous de 10°C annoncés, c'est sous-vêtements de ski et anorak de compète avec bonnet et gants dans la poche !
  14. Salut ! Tout à fait oui un 150mm. Ah chic !! Tu nous racontes... ? 😇
  15. ... serait-ce l'équation du bonheur ? 🤔 L’automne est une saison parfois très mitigée en Ardèche. En général assez venteux et humides, les mois d’octobre et novembre peuvent parfois nous réserver de bonnes surprises à nous, observateurs des objets célestes. Cette année, la météo nous a accordé un automne jusqu’ici assez tiède, avec un nombre correct de soirées exploitables pour de l’observation astronomique. Qui dit température correcte, dit absence de neige ou glace sur les reliefs. Une bonne nouvelle : cela signifie que mon site de crête favori, sis à ~1000m d’altitude, est encore accessible ! Plutôt que de fêter Halloween, nous nous dirigeons donc, moi avec mon 300 et mon ami et son dobson 250, vers mon site fétiche. L’idée : baptiser nos dobsons sous des cieux bien sombres, et pour une fois ne rester qu’entre nous ! Pas de partage ou d’initiations, de présentation du matériel et des objets classiques à des néophytes venus découvrir notre passion. Non, en ce 31 octobre, nous décidons d’être égoïstes et de profiter – pour une fois – de nos observations sans interruption extérieure. Entendons-nous bien, le partage dans l’astronomie est un des aspects que j’aime le plus, mais j’ai besoin aussi, de temps à autres, de me retrouver en paix avec mon télescope, sans contrainte et pouvoir passer un quart d’heure à chercher une cible complètement pâlichonne. Et d’ailleurs, c’est précisément comme ça que j’ai commencé la soirée ! Je vous fais grâce de la demie heure de Tetris pour caser un 300 et un 250 tubes pleins ainsi que tout notre matériel dans ma bagnole, ainsi que des 45 minutes de route qui ont suivi pour accéder au site. Nous sommes en place vers 21h20, il n’y a pas de vent, il fait frais (moins de 10°C) et le ciel au-dessus de nos têtes est… spectaculaire ! En sortant de la voiture, sans aucune accoutumance à l’obscurité, la Voie Lactée nous saute déjà aux yeux d’un horizon à l’autre, ou presque ! L’horizon sud, sur une bonne vingtaine de degrés de hauteur, est visiblement chargé d’humidité et très clair : nous avons bien fait de prendre un peu d’altitude 😊 Je disais donc que j’avais commencé la soirée par passer un quart d’heure à chercher une cible : galérer serait le terme plus approprié. L’amas globulaire M72 et l’amas ouvert M73 m’échappaient inlassablement… Que ce soit en partant d’Albali dans le Verseau ou Deneb Algedi dans le Capricorne, je ne parvenais pas à localiser le duo. Pourtant, la description faite de M73 dans mon Delachaux & Niestlé est alléchante : « amas ouvert insignifiant »… ! De quoi piquer notre curiosité 😄. Me voyant m’échiner en vain, mon ami décide de les chercher de son côté également et il les trouve en cinq minutes chrono et me le pointe au laser… En fait, j’avais mal préparé mon pointage et cherchais à 3 ou 4 degrés à côté… Il faut dire que la journée avait été particulièrement longue et éprouvante, je n’étais clairement pas au maximum de ma forme (oui, je me cherche des excuses). Toujours est-il que le petit amas globulaire M72 reste peu résolu en son centre, avec seulement le pourtour qui propose des étoiles ponctuelles de magnitude assez grande. M73 quant à lui m’a semblé à la hauteur de sa réputation 😅 Il m’est apparu comme un petit triangle d’étoiles, sorte de M103 du pauvre. Je n’ai franchement pas grand-chose de plus à en dire. Ma cible suivante était la petite nébuleuse planétaire NGC 7009 dite nébuleuse de Saturne. « Petite » est effectivement l’adjectif qui me semble le mieux lui convenir ! Le cheminement est simple : prolonger la ligne Albulan 1 – Aqr7 de deux longueurs vers l’Est. Je repère le champ au 28mm mais ne vois rien. Je passe le filtre OIII et rien ne me saute aux yeux… Je passe le 18mm + filtre OIII et là oui, je vois qu’il y a une source de lumière non ponctuelle dans le champ ! Ce n’est qu’avec le 11mm que la petite nébuleuse planétaire commence à s’apprécier : elle évoque effectivement la géante aux anneaux avec ses anneaux circumnébulaires. La belle reste néanmoins toute petite et mériterait de grossir très fort l’image j’imagine. Pendant ce temps, mon ami pointe quant à lui l’amas globulaire M15 avec son 250 et je l’entends s’extasier depuis plusieurs minutes. Je vais donc le voir et découvre un amas globulaire spectaculaire, de taille très généreuse qui occupe une très large portion du champ. « Wow ! » inévitable. Il est au grossissement maximum de 265x et l’image reste parfaitement contrastée et nette, un vrai régal ! Nous passons de longues minutes à l’observer et échanger autour de sa ressemblance avec M13. Nous en arrivons à la conclusion que M13 chez nous, en plaine, est semblable à l’oculaire à M15 ici. D’ailleurs, pour corroborer l’idée, le lendemain, depuis chez lui en vallée du Rhône, il a repointé M15 et le résultat était, d’après lui, sans commune mesure : ce n’était simplement pas du tout le même objet ! Comme quoi, le meilleur accessoire astro, c’est du Sans Plomb 😆 Je retourne à mon tromblon et pars à la recherche d’une autre nébuleuse planétaire, en plein centre du triangle Dehneb – Diphda – Shemali de la baleine : NGC 246. La belle est trouvée facilement et montre une belle structure en forme de bulle filamentaire toute en nuances, avec le filtre OIII bien sûr. La naine blanche centrale est bien visible avec sa magnitude 11,8 ce qui rend selon moi le spectacle encore plus intéressant. En rédigeant ces lignes, j’apprends que l’étoile centrale HIP3678 est un système multiple, et que ses deux composantes principales sont séparables avec un télescope amateur à fort grossissement. Je me le note pour la prochaine fois 😊 La nuit avance inexorablement, et à 23h nous constatons que l’horizon sud s’est bien amélioré : en fait, un paquet de villes et villages ont coupé l’éclairage public en bas ! La différence aux faibles hauteurs est flagrante. La voûte au-dessus de nous reste splendide, et striée assez régulièrement d’étoiles filantes. Ça tombe bien, mon programme m’amène à pointer à 20° de hauteur, sous Diphda la pointe du triangle de la baleine, poursuivant ma descente jalonnée par deux trios d’étoiles remarquables, pour découvrir celle qui restera mon coup de cœur de la soirée : NGC 253, la galaxie du Sculpteur. Quelle beauté ! Quel délice ! Cette observation seule justifie l’achat et les emmerdes d’un 300 tubes plein. La galaxie vue de ¾ est immense et m’évoque immédiatement une sorte de « méga » M82. De forme oblongue cigaroïde, les différences de densités et obscurcissements sont parfaitement visibles à 50x ou 80x. Les contrastes sont saisissants et le spectacle me transporte. Cet « univers-île », distant de 11,4 millions d’années-lumière, en montre tellement et semble à la fois proche et inaccessible. Nous y passons un long moment et avant de continuer mon programme, je cherche rapidement – et en vain – NGC 288 (amas globulaire) et NGC 247 (galaxie de Burbridge) censés être tout proches mais ne m'y attarde pas faute de résultat immédiat : je n'avais pas préparé et j'ai encore des objectifs pour ce soir ! Toujours dans la baleine, direction le cou de l’animal cette fois pour partir à la découverte d’une autre galaxie : M77, toute à côté de Al Kaff al Jidhmah. Trois fois plus éloignée que la précédente : le spectacle en est un peu à l’opposé : peu étendue et ne montrant au final que peu de choses. Elle arbore quand même des contours nébuleux et d’une forme évoquant une fleur plus qu’un cercle régulier. Cette observation porte à 78/110 mon tableau de chasse du catalogue de Messier 😄 D’ailleurs, je m’étonne que ce bon Charles ait inclut une galaxie comme M77 et pas celle du Sculpteur, bien plus remarquable (dans tous les sens du terme). Mon compère a entre-temps pointé M33, célèbre galaxie du triangle qui montre un centre bien lumineux et de belles amorces de bras spiraux, vision incomparable par rapport à notre ciel de plaine quotidien. Je la pointe également au 300, et les bras spiraux sont bien plus évidents et contrastés ! Le spectacle est saisissant et la comparaison entre les deux télescopes, de diamètres pourtant proches, est sans appel à l’avantage du 300 sur ce type de cibles. Nous regardons l’heure et il est déjà plus tard que l’heure de retour que j’avais annoncé à ma femme 😶 Hors de question de remballer tout de suite, bien que fatigués nous sommes grisés par ces superbes observations et puis, c’est un long weekend qui s’annonce, il sera toujours temps de récupérer plus tard. Direction la Grande nébuleuse d’Orion que mon ami ne connaissait pas, ayant débuté récemment. Je me rappellerai longtemps cette scène. Tandis qu’il me dit qu’il va pointer Jupiter avant de rentrer, je lui dit : « Attends, prends mon filtre OIII, ton oculaire de plus grand champ et pointe l’étoile centrale du trio là, tu vas voir c’est sympa… 😊 » Oui j’ai dit « c’est sympa », l’air un peu détaché. Je ne voulais pas qu’il s’attende à quoi que ce soit et voir sa réaction. « Ah ? bon ok… Waaaaaaaa mais c’est quoi ça ?!! » « Je te présente la grande nébuleuse d’Orion, amuses toi bien ! » Et nous nous sommes bien amusés à détailler ses volutes de gaz ionisé avec le filtre, OIII, le filtre UHC, les deux télescopes à tous les grossissements disponibles. Y aurait-il assez d’une vie d’astronome amateur pour venir à bout de cette seule pouponnière d’étoiles ? Pour ma part, c’est un plaisir à chaque fois renouvelé et c’est invariablement avec des yeux d’enfants que je redécouvre cette splendeur. Nous finissons enfin par pointer tous les deux Jupiter et je constate avec bonheur que l’image à 320x, mon grossissement maximal, est sublime : très contrastée, gavée de fins détails et très stable. Un délice pour les yeux de détailler ses bandes et zones de couleurs variées, les tempêtes qui émaillent le globe un peu partout aux frontières des différentes bandes. L’œil se perd un peu en détails et je ne suis rappelé à l’ordre que par le suivi un peu chaotique avec un dobson aux mouvements azimutaux rétifs : il faudra que je vois pour identifier et régler ce problème. Les premiers bâillements arrivent, signe qu’il est temps de se mettre à ranger et repartir, c’est qu’on a un bout de route ! A la descente, nous nous retrouvons dans une véritable purée de pois ! Nous avons définitivement bien fait de prendre de l’altitude 😊 3h du matin sont dépassées depuis un petit moment, il s’agit d’aller dormir un peu car demain soir, c’est soirée club… ! Merci de m’avoir lu. G.
  16. Le rêve..... Pour dire : deux ans et demi avec un Maksutov et je n'ai utilisé que mon pare-buée-tapis-de-sol, je n'ai jamais acheté de résistance chauffante 😄 Mais on a le vent par contre, la majorité des journées claires sont venteuses.
  17. Bonsoir tout le monde, je viens de me faire 45min sur Saturne. Atmosphère très humide (très rare ici), ma table en fer sur la terrasse était détrempée, le tube du Maksutov pas autant mais bien humide également. Malgré ça l'atmosphère était assez coopérative : plutôt transparente 80% du temps et stable 50% du temps à très stable (20%), avec des mouvements amples de l'image, assez peu pénalisants. Premier point : je suis tout à fait formel sur la visibilité de la division de Cassini ☺️Devinée assez facilement à 160x, vue immédiatement à 270x. Sinon, la planète était très belle, avec un hémisphère sud plus sombre/grisâtre, une belle bande sombre à 1/3 de l'hémisphère nord et les 2/3 restants légèrement plus foncés que la partie centrale. Les anneaux, plus foncés également, montraient des stries dans leur partie la plus large, et la division de Cassini donc, et projetaient leur ombre très fine et d'un noir d'encre au-dessus d'eux sur la planète. Cette dernière projetait en retour son ombre à elle sur la base des anneaux du côté opposé au soleil. Niveau satellites, j'ai pu voir facilement Titan et Téthys, Japet est venu compléter le tableau en vision décalée, les trois lunes étant disposées du même côté de la planète, du côté de l'ombre projetée sur les anneaux, en disposition "d'arc de cercle". Malheureusement l'observation s'est terminée, non pas à cause de la buée (ce que je craignais) mais à cause d'une occultation non anticipée par le toit du voisin 😁
  18. GeoffreyJoe

    NGC 470 au T350

    Salut @T350 ! Superbe illustration de ces effets de marée. Merci et bravo.
  19. Observée de nouveau hier soir, au C9. Baisse de luminosité drastique depuis lundi ! C'est que ça sent la fin...
  20. C'est ce que je privilégie aussi. Coupures max 50€. Sinon paypal.
  21. Hello ! Non pas encore. Il me manque une bague Nikon F > coulant 2". Ou une caméra astro quelconque 😄 Oui ! Ça viendra... !
  22. C'est le TSFLAT2, celui que j'ai acheté pour ma 80 APO. Cf mon retour dans le sujet "set up visuel à base de 80ED" dans la rubrique matériel général.
  23. Très réaliste ! À garder de côté pour montrer aux néophytes qui ne savent souvent pas à quoi s'attendre.
  24. Pas bête comme suggestion. Le C6 fera probablement mieux que les deux instruments cités, que ce soit en planétaire ou ciel profond.
  25. Oui j'avais les trois dans l'oculaire : IC4665, Cebalrai et la comète 👍 J'espère qu'on en verra des photos souvenir !
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