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DarkSyde

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À propos de DarkSyde

  • Date de naissance 06/01/1973

A propos

  • Résidence
    Route 40 Landes
  • Intérêts
    Sciences / Astronomie / Astrophysique / Cosmologie
  • Occupation
    Enseignant Maths/Physique/Chimie/Sciences de l'Ingénieur
  • Matériel
    Dobson Bresser N150/750
    SW L60/700 SK607
    MiniDob N76/300
    Plossl 40mm@42° + SuperPlossl 32mm@52° + FlatField 25mm@65°
    Zooms SW 8-24mm + TS 7-21mm
    Barlow 2x Orion Shorty
    Bino "Yeux de Hibou" 2x45
  • A propos de vous
    Asperger Insomniaque & Noctambule

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  1. DarkSyde

    Programme TV

    Série documentaire britannique dans laquelle il n'y a que des intervenants anglais et américains diffusée sur une chaîne publique française... Sans chauvinisme aucun, cela me pose quelques questions... Cela dit, de bien superbes images.
  2. Pour répondre sérieusement, la contraction des longueurs n'existe pas , c'est une "illusion d'optique" due à une sorte de perspective cinématique. Tu vois le train qui passe plus court mais le train n'a pas réellement raccourci. D'ailleurs par symétrie, les passagers du train te voit plus fin que tu ne l'es, et pourtant tu ne maigris pas au passage du train... En relativité générale, c'est tout autre chose. La gravité c'est de la courbure de l'espace-temps. Et là tu peux être écrasé par elle à la surface d'une naine blanche, comme dans une presse. Tu seras spaghettifié par les forces de marée en tombant dans un trou noir.
  3. Je crois que tu confonds avec le nombre de solutions d'une équation carrée x² = 25 <=> x = √25 = 5 ou x = - √25 = - 5 On le voit mieux en passant une identité remarquable x² = 25 <=> x² - 5² = 0 <=> (x - 5)(x + 5) = 0 <=> x = 5 ou x = - 5 (équation produit nul) Solutions qui sont les racines du polynôme x² - 25. Le carré d'un nombre réel est toujours positif, la racine carrée d'un nombre réel obligatoirement positif est toujours positive mais dans un carré tu peux mettre un nombre réel négatif. Faut pas tout confondre. On peut imaginer des nombres dont le carré est négatif! On les appelle d'ailleurs imaginaires! On pose i² = - 1 et on crée l'ensembles des nombres complexes de la forme z = a + i.b = a + b.i où a et b sont des réels. Là on peut parler de "racines négatives" et de "racines" de nombres négatifs. Mais c'est au programme maths expert de terminale... En maths, on utilise la plupart du temps des valeurs dites exactes ( 4/7 , √2 , - √3 , pi , e , ...) et de temps en temps des valeurs approchées pour mieux les appréhender (surtout en proba-stats). Dans la réalité, on va utiliser des nombres décimaux arrondis avec une certaine précision, incertitude en physique, tolérance en ingénierie. Je ne sais pas ce que ta prof t'a confirmé, mais surement pas ce que tu as écrit. Pour moi (prof de maths-physique-chimie) cela n'a aucun sens!!!...
  4. Bonjour, la pupille de sortie c'est l'image de l'objectif/miroir du tube par l'oculaire, c'est donc là que se concentre toute la lumière et que l'on doit placer son œil. Il est évident que si la pupille de sortie est plus grande que celle de l'œil (de 5 à 7mm au max en vision nocturne selon la personne, son âge et le temps d'adaptation à la nuit) on perd de la lumière et cela revient à diaphragmer l'ouverture de l'instrument. Donc on fait attention à ne pas trop dépasser ces valeurs qui conditionnent le grossissement minimal. Un peu de maths et d'optique de base, avec une des formules fondamentales pour l'astronomie, celle(s) du grossissement G = Ch_A / Ch_R = D / p = F / f Ch_A champ apparent de l'oculaire en ° Ch_R champ réel sur le ciel en ° D diamètre d'ouverture du tube en mm p pupille de sortie en mm F focale du tube en mm f focale oculaire en mm Les deux dernières égalités sont des approximations géométriques mais cela suffit largement à l'astronome amateur. En pratique on calcule donc le grossissement par G = F/f Apparemment tu connais cela. En jouant avec des produits en croix on obtient de plus une relation intéressante sur la pupille D/p = F/f <=> D*f = F*p d'où p = f*D/F = f/(F/D) et f = p*(F/D) Autrement dit f et p sont reliées par le rapport d'ouverture F/D et cela conditionne la gamme d'oculaires que l'on va pouvoir utiliser efficacement à cause des pupilles de sortie adaptées, en gros de 5-6mm à 0,5mm, soit des grossissements de D/5 à 2D pour des focales de 5(F/D) à (F/D)/2. On peut sortir de cette plage pratique, mais pas trop sinon on perd trop en lumière et/ou qualité d' image, genre de D/7 à 2,5D ou 3D si qualité optique du matériel et du ciel. Avec un autre jeu de produit en croix on a aussi Ch_A*f = Ch_R*F Ce qui fait apparaître une caractéristique de l'oculaire que j'appelle pouvoir de champ Ch_A*f qui va permettre d'évaluer le champ réel potentiel sur le tube utilisé Ch_R = Ch_A*f / F Pour les grossissements mini, il peut être intéressant de chercher le plus grand champ possible et d'avoir le champ réel max théorique de son instrument. Au coulant 1.25"=31.75mm cela s'obtient avec le type d'oculaires suivants Plössl 40mm@42°=1680°.mm Super Plössl 32mm@52°=1664°.mm Flat Field 25mm@65°=1625°.mm J'ai les 3, ils ne sont pas chers mais efficaces, utilisés sur un 130/920 puis un 150/750 (comme toi). Les deux premiers sont plus adaptés au 130/920 et donnent une pupille un peu grande sur le 150/750. Le dernier est idéal avec p=5mm, on a le plus grand champ réel possible pour les objets étendus (M31, M45, double amas...) et la ballade /recherche/repérage dans le ciel étoilé. En plus cher et meilleure qualité optique il y a ES 26mm@62°=1612°.mm ES 24mm@68°=1632°.mm Je te laisse calculer le champ réel max théorique sur le 150/750. En coulant 2"=50.8mm 38mm@70° 36mm@72° 32mm@85° 30mm@82° 28mm@82° 26mm@85° 25mm@100° Même remarque que précédemment sur les pupilles de sortie, (beaucoup) plus cher qu'en 1.25", et il faut peut-être prévoir en plus un correcteur pour la coma...
  5. On dit plutôt conjonction ou rapprochement (même si il y a bien interaction gravitationnelle mais faible). 25mm + barlow x2 = oculaire équivalent à 12,5mm donc assez proche du 10mm. Tu as donc 4 grossissements différents, mais deux médians proches, avec un coefficient ~x2 entre les 3 étagements 25mm/12,5-10mm/5mm. Pour les tremblements d'image, outre la stabilité de la monture qui provoquent des vibrations globales de l'image qui devraient s'amortir mais peuvent être entretenues par le contact de l'observateur avec l'instrument (oeil/oculaire, main-corps/tube-monture, pas sur le sol...), l'atmosphère turbulente va jouer : micro-vibrations, ondulations de surface bien différentes de mouvements d'ensemble, qui induisent des changements de netteté, comme une mise au point qui fluctue, ou des déformations dans l'image.
  6. Bonsoir Je crois que tu t'y prends à l'envers. Tu orientes manuellement ton tube vers la cible, tu affines le pointage du tube vers la cible en centrant celle-ci dans l'oculaire. Tu fais la mise au point (molette du porte oculaire). Une fois que l'image est nette ET bien centrée, tu peux régler ton point rouge sur la cible. Utiliser le point rouge s'il n'est pas déjà réglé ne sert à rien si ce n'est viser à côté et donc voir le fond du ciel tout bleu (ou tout blanc...). De nuit, on peut le faire facilement sur un lampadaire ou sur l'étoile polaire si l'horizon nord est dégagé, mais aussi sur toute étoile bien brillante ou même une planète, mais le défilement dans l'oculaire est d'autant plus rapide que l'on se rapproche de l'équateur céleste. Avec l'oculaire de plus grande focale donc de plus faible grossissement, cela ne devrait quand même pas poser de gros problème. Tu pointe le tube, tu affines le pointage et la mise au point PUIS tu règles le viseur. Ensuite tu t'entraînes au visage-pointage sur les étoiles les plus brillantes, les planètes visibles et enfin les objets repérés sur une carte du ciel. De temps en temps tu vérifies l'adéquation entre le viseur et le champ dans l'oculaire et tu affines le réglage du viseur avec la procédure précédente.
  7. Le pouvoir séparateur est lié à la diffraction de l'onde lumineuse par l'ouverture circulaire du tube. La formule pratique la plus simple est une séparation en seconde d'arc de 120/D(mm), le coefficient peut changer selon le critère utilisé sur des tâches de diffraction bien distinctes ou plus tangentes... Je n'arrive pas à retrouver le lien qui montrait bien les différents critères utilisables... En pratique je prendrais le double soit environ 240/D(mm) comme distance angulaire mini entre les composantes d'une étoile double pour les voir bien séparées. Sur le site donné par Michel, tu devrais trouver tout ce qu'il faut, c'est une référence.
  8. Bonjour judexan Les informations que tu cherches sont forcément dans ce forum ou dans un autre, notamment celui d'en face, comme on dit de part et d'autre, astrosurf. Il y a aussi beaucoup de sites astro qui en parlent pour les débutants comme pour les plus avancés techniquement. Cela dit, quel est ton instrument ou tube, et les oculaires dont tu disposes ? Pour moi la formule fondamentale c'est celle du grossissement G = F/f = D/p = A/R avec G grossissement F focale tube ou instrument en mm f focale oculaire en mm D diamètre instrument (objectif ou miroir) en mm p pupille de sortie en mm A champ apparent de l'oculaire en ° R champ réel sur le ciel en ° On calcule son grossissement avec G = F/f On peut calculer la pupille de sortie, c'est à dire l'image de l'ouverture (objectif ou miroir) où se concentre le maximum de lumière derrière l'oculaire (là où on va placer son oeil) p = D/G Le pratique maximum (donc grossissement mini) est autour de 5mm soit G=D/5, et il faut éviter de trop dépasser p=6-7mm sinon on perd trop de lumière (mais on peut essayer quand même..) à cause de la taille de la pupille d'œil complètement dilatée en vision nocturne (5mm en moyenne, 6-7mm chez les plus jeunes). Avec la formule p = D/G = D/(F/f) = f/(F/D) on voit que là pupille de sortie est liée à f évidemment mais aussi au rapport d'ouverture F/D, donc des instruments de même F/D auront la même p avec le même oculaire ou le même f, mais des grossissements différents si F différents. Ainsi on peut calculer ses focales oculaire suivant la pupille voulue f = p*F/D On démarre un jeu d'oculaires à p=5mm environ avec f=5*F/D donc G=D/5 Puis par exemple p=3mm avec f=3*F/D donc G=D/3 p=2mm f=2*F/D G=D/2 p=1mm f=F/D G=D p=0,5mm f=0,5*F/D G=D/0,5=2D p=0,4mm f0,4*F/D G=D/0,4=2,5D On peut pousser plus loin mais on a atteint ici le grossissement maximum pratique, au-delà il faut des conditions atmosphériques exceptionnellement stables et une optique de haute qualité pour avoir une bonne image. On peut ajouter des oculaires de focale intermédiaire pour des grossissements plus étagés. Avec la formule G = F/f = A/R On peut calculer le champ réel R = A/G = A/(F/f) = A*f/F On voit apparaître une grandeur caractéristique de l'oculaire que j'appelle pouvoir de champ A*f Des oculaires de même pouvoir de champ A*f donneront le même champ réel, mais des grossissements différents si f différents. Cela est intéressant pour essayer d'avoir le champ maximum avec son tube, pour les champs stellaires, les objets les plus étendus comme des amas ouverts ou certaines nébuleuses ou la Galaxie d'Andromède M31, également pour le repérage et la recherche de petits objets à grossir plus ensuite. Il faut savoir que le pouvoir de champ est limité physiquement par la géométrie de l'ouverture de l'oculaire et donc indirectement par le coulant du porte-oculaire ~1630°.mm en 1,25"=31,75mm ~2700°.mm en 2"=50,8mm Au coulant 1,25", on aura donc le champ réel max avec les oculaires suivants Plössl 40mm@42°=1680°.mm (avec du vignettage puisque l'on dépasse) Super Plössl 32mm@52°=1664°.mm (léger vignettage) c'est l'oculaire de base que je conseille pour les débutants avec un petit prix Flat Field 25mm@65°=1625°.mm (pas de vignettage) mon préféré avec un petit prix ES 24mm@68°=1632°.mm, le prix est plus élevé mais il a une très bonne réputation Voir si la pupille de sortie n'est pas trop importante et respecte les préconisations plus haut.
  9. Salut! Comme j'aime bien bidouiller sur Simbad, voila une petite requête TAP ADQL: -- Crochet d'Alcyone select main_id, oid, ra, dec , distance(point('icrs',56.871152303749994,24.105135651944444), point('icrs',ra,dec)) , plx_value as prlx, otype, sp_type , B, V, R from basic join allfluxes on oidref=oid where main_id in ('eta tau', '24 tau', 'HD 23608', 'V647 tau') order by V résultat: main_id | oid | ra | dec | DISTANCE | prlx |otype|sp_type| B | V | R -------------|------|------------------|------------------|--------------------|-------|-----|-------|----|----|---- "* eta Tau" |676410|56.871152303749994|24.105135651944444|0.0 |8.09 |"Be*"|"B7III"|2.78|2.87|2.84 "* 24 Tau" |674246|56.83766095514 |24.116267823319998|0.03253335396375781 |7.1999 |"*" |"A0V" |6.3 |6.28| "V* V647 Tau"|674245|56.83060774949 |24.13911536624 |0.05023864335619822 |7.2693 |"dS*"|"A7Vs" |8.51|8.26| "HD 23608" |674244|56.8190683792576 |24.1283073627782 |0.052884481656334706|10.6432|"SB*"|"F3V" |9.15|8.72|
  10. Pour les grossissements faibles, donc grande pupille de sortie, autant en profiter pour avoir le champ réel max donc oculaire au plus grand angle possible (champ apparent) mais on est limité ici par le coulant 31,75mm=1.25". Corrigez moi si je trompe. Les solutions possibles pour F/8 seraient les suivantes, à budget quasi croissant. G=D/5, pupille 5mm Plossl 40mm@42° Vignettage visible, vue "étriquée", j'en ai un, mon premier oculaire de champ max sur un 130/920 que j'ai beaucoup utilisé avec bonheur malgré le petit champ apparent. G=D/4, pupille 4mm Super Plossl 32mm@52° Léger vignettage, vue plus large, je préconise pour les débutants et les budgets serrés, cela devrait être l'oculaire de base fourni avec les tubes d'initiation, F/D>5 G=D/3, pupille 3mm Flat Field 25mm@65° Pas de vignettage, vue plus immersive, j'en ai un aussi, mon préféré que je compare très souvent avec le 32mm sur le même instrument (même champ réel) ou en parallèle sur deux tubes, plus cher je le recommande si le budget est moins serré. Super ED, XCEL-LX, MEADE 5000HD-60 25mm@60° Je ne connais pas, un poil moins de champ que le précédent ES 24mm@68° (ou 26mm@62°) Je n'ai jamais essayé, mais il semble avoir une très bonne réputation, le prix est plus conséquent. Les 4 dernières propositions me semblent les meilleures pour l'usage sur les champs stellaires et objets étendus, en observation/balade/repérage, ici 1,8° dans le ciel. Si vous en voyez d'autres... Au sujet des filtres, on peut effectivement s'en passer. J'utilise quand même des filtres CPL et Moon, pour la Lune et Jupiter de temps en temps, ça repose l'œil si on ne veut pas d'éclairage à côté de soi, peut-être que ça "renforcerait" le contraste... J'ai aussi le kit de base en colorés, bleu-vert-jaune-orange-rouge, acquis pas cher en occase. Marrant pour teinter la Lune ou les planètes, ça donne une vision un peu extra-terrestre. L'utilité ne semble pas des plus probantes... Je dois tester le bleu (léger 82A) sur certains amas avec nébuleuses en réflexion et galaxies pour voir si ça pourrait "ameliorer" le contraste et la perception de "détails" dans les nebulosités... Cela ne semble pas être un investissement indispensable, ne pas dépenser trop d'argent là-dedans, sauf peut-être lunaire ou polarisant (CPL ou variable). Il y aussi les filtres pour nébuleuses planétaires ou en émission (CLS-UHC-OIII), projet à l'étude, mais je ne sais pas si c'est utile avec ton diamètre...
  11. J'ai un Kellner 9mm et un Super 10mm, fournis avec les tubes. Ils semblent corrects mais je les utilise peu car je préfère mes oculaires zooms (8-24 et 7-21) qui me permettent de moduler le grossissement et de pousser plus loin. Avec le 130/920, j'ai pu aller à 2xD sur Saturne en barlowtant le zoom 7-21 par une Orion Shorty x2. L'image était correcte sans avoir un piqué extraordinaire (map pas facile, collim perfectible, turbulence...). J'ai cru deviner la Division de Cassini dans les moments de calme.
  12. Pour le 32mm, j'ai acheté le Omegon https://www.astroshop.de/fr/oculaires/omegon-oculaire-super-ploessl-32-mm-1-25-/p,47420 J'en suis content et il n'est pas cher ! Je l'utilise très souvent car je suis fan des grands amas ouverts: Pléiades, Double Amas de Persée, la Chouette... Les champs stellaires de la Voie Lactée sont spectaculaires. Notre voisine la Galaxie d'Andromède avec ses deux satellites sont sympas: une grosse tâche floue accompagnée de deux petites à 2,5 millions d'années lumière... Pour la balade et le repérage des petites tâches floues (amas globulaires et nébuleuses planétaires), je le trouve idéal pour se situer et se familiariser avec le ciel. Pour les courtes focales, je n'aime pas les petits trous où il faut coller son oeil avec peu de recul comme ton 10mm ou le 6,3mm que tu présentes, mais c'est une affaire de goût toute personnelle... Je recherche un 5mm plutôt du type HR Planetary ou Flat Field. Ça sera sûrement mon prochain "achat", Noël approche ! Avant d'acquérir un Dobson 150/750, je me suis fait la main et l'oeil en empruntant un 130/920 basique. Même focale que le tien mais un peu plus de diamètre, on peut déjà voir beaucoup de choses fabuleuses. Nombreux sont ceux qui ont débuté ou sont passé par un 114/900. Tu devrais pouvoir profiter de ton télescope pendant un bon moment avant de vouloir plus gros si tu accroches à l'astronomie et si tu vises des cibles faciles et progressivement acquérir de l'expérience et tenter des objets de plus en plus difficiles. Quelques liens utiles pour explorer le ciel http://60mm.free.fr/fr/l60_deep_sky.php http://www.petit-atlas-du-ciel-profond.com/ http://www.astrosurf.com/bsalque/ https://www.arnaudom.fr/wordpress/ciel-profond/
  13. Bonjour, comme l'a dit Bruno, un 6mm me parait judicieux pour le planétaire et les petits objets du ciel profond. Pourquoi pas y ajouter un super plossl 32mm@52° pour bénéficier du champ réel max de 1,8° avec ta focale de 900mm, pour les objets étendus et la balade/recherche dans le ciel étoilé. Après tu pourras voir pour un grossissement intermédiaire avec ~15mm et/ou un fort grossissement à 4mm (2xD). Astrocordialement
  14. Bonsoir Vous n'avez pas pu accrocher le filetage en essayant de visser par en dessous, la pesanteur le maintiendrait sorti... Pour le démontage frontal, je ne peux pas te répondre. Courage !
  15. Bonsoir, si je peux émettre un avis. Le flextube 200/1200 me paraît idéal : le moins cher, le moins encombrant (peut il être sanglé sur un siège tout monté mais rentré ?), avec 2 oculaires (20 ou 25 et 10mm) parfaits pour débuter. Je lui ajouterais un oculaire de champ max: Super Plössl 32mm@52° ou Flatfield 25mm@65° (pas chers !) . Puis plus tard de la courte focale pour grossir plus en planétaire et petits objets du ciel profond (~6mm). C'est une très bonne base pour débuter et se perfectionner. Le tube plein SW 254/1200 a l'air pas mal aussi avec quelques bons accessoires optiques, mais plus cher et plus encombrant. Les deux autres ne semblent pas fournis avec le minimum syndical en oculaire donc vont revenir plus chers que les premiers... Ils ont tous l'air en bon état. Si tu pars sur de l'occasion, va sur place pour contrôler l'état des miroirs (rayures, crasse...), celui des oculaires fournis, l'absence de pièces mécaniques (caches, vis et autres...) et le bon fonctionnement du porte oculaire et des mouvements en azimut et hauteur, ainsi que le glissement de la cage secondaire pour un flextube. Si tout semble en ordre, tu peux envisager de faire affaire. Voilà, c'était mes petits conseils. Bonne réflexion 😆 Astrocordialement
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