Comment la détection de l’agrandissement de l’horizon d’un trou noir est-elle compatible de l’impossibilité pour un observateur externe de capter un évènement sur l’horizon ? et pourquoi pour la modification d’un horizon lors de la fusion de trou noirs ?
Comment par principe expliquer que l’on puisse détecter des trous noirs de taille variables donc ayant variés dans le temps à partir d’un horizon qui correspond à celle d’un effondrement stellaire, sachant que vu d’un observateur à grande distance d’un horizon, un gaz tombant en chute libre mettrait en un temps infini pour atteindre l’horizon (plus l’observateur tente de percevoir des points qui se rapprochent de l’horizon, plus la longueur d’onde qu’il reçoit est grande par le différentiel de courbure et donc plus l’information reçue par l’observateur par unité de temps est faible, d’où l’apparence d’un ralentissement) et donc inversement la croissance de l’horizon mettrait un temps infini pour être perçu de l’extérieur.
Le problème se pose t-il différemment pour la modification d'un horizon lors de la fusion de deux trous poirs ?