Ok! Merci beaucoup pour cette réponse !!
j'avais déjà décortiqué les formules et à peu près compris leur utilisation (je pense).( Par ailleurs, Il existe d'autres formulations du SNR qui aboutissent au même résultat, heureusement 😉 , documents SAF AAVSO )
Mais cela ne répond que partiellement, hélas, à ma question.: Pourquoi le SNR de l'empilage est beaucoup moins bon qu'espéré, je parle du SNR issu de la photométrie SIRIL de l'image empilée ( j'ai vérifié avec VPHOT de l'AAVSO c'est pareil )
Après pas mal de réflexions je me suis dit que le SNR tel qu'il est calculé n'est pas du tout adapté à une image issue d'un empilage. Par contre, pour avoir le bon chiffre il faut multiplier le SNR d'un image non empilée et le multiplier par racine(n). Pour avoir un chiffre plus juste il faudrait d'ailleurs avoir une approche statistique (genre faire la moyenne des SNR de chaque image etc).
Dans la formule la notion d'empilage n'apparait pas, c'est le signal, en fait le nombre de photons reçus , uniquement et le bruit associé qui sont utilisés . Ils varient en fonction du temps de pose notamment mais l'empilage ne fait pas vraiment bouger l'intensité du signal ( il ne diminue que le bruit, ce qui est l'effet recherché ! ). Je ne vois que cela comme explication.
Pour finir , à l'AAVSO, pour l'estimation de l'erreur d'une magnitude d'une étoile à partir de plusieurs images consécutives, l'erreur est donnée par l'écart type des magnitudes de l'ensemble des images. Le 1.08/SNR n'est calculé et utilisé que dans le cas d'une photo individuelle. (voir « AAVSO Guide to Photometric Uncertainty » Carolyn Hurless ). Ce qui semble confirmer mon hypothèse (?)