norma

Excellant choix le Mak. Jusqu'à 150, c'est très manoeuvrable. Plus gros (180 et plus), ça commence à peser.

Dob 250, cela ne devrait pas traîner ... C'était un très bon choix ! Petit, gros et tasmaloù , pourquoi pas une lunette ?

J'envisage une intervention similaire (quand j'aurai le temps). Je m'oriente vers un contre-plaqué filmé NF (surtout NF). Le poids, en ce qui me concerne, m'indiffère.

Si c'est une rondelle frein, ce n'est certainement pas du Téflon.

La doc de chaque récepteur doit indiquer le courant (en A ou mA) qu'il consomme. La somme de ces courants donne l'intensité (les Ampère) du fusible. Autre solution : brancher tout et placer un ampèremètre en série. Choisir le calibre égale ou immédiatement supérieur. Trois points particuliers : - faire la différence entre courant normal et courant de pointe (cas typique d'une monture qui consomme 0,5A en vitesse sidérale et 4A, par exemple, en vitesse max). - pour des câbles < 5m, 1,5mm2 cuivre devrait suffire. - un fusible protège les câbles, pas les récepteurs. Enfin, c'est ce qu'on m'a appris ...

Quand on souhaite des conseils en matière d'astronomie, il y a des enseignes à éviter ... Un Dobson de 200 c'est bien et peu encombrant sinon (au cas où la place manquerait vraiment) un petit mak 127, éventuellement d'occasion ?

Célestron : contactez Médas à Vichy. Cordialement.

1924 ? Tu tiens ça d'où ? C'est une fake ...

Ca ne nous rajeunit pas mais cela donne l'occasion de saluer ces messieurs qui le mérite bien ...

Tolstoï ?

Nan, sérieusement ... Il en où le tracteur ?

Je n'observe que la Lune. Je consigne les nouveautés des observations dans un livre, le manuel d'observation lunaire, qui est prévu pour ça. Si j'observe une formation non reconnue par l'UAI, j'enrichis ma base de données perso comme l'autorise l'Atlas Virtuel de la Lune ; je pourrai également utiliser le module "note" de l'AVL.

Aucun. En revanche si on précise un instrument et surtout une monture, cela change tout. Et je n'aborde pas les objectifs, le principal à mes yeux : c'est trop personnels (subjectif ?). Perso, je dispose de quelques 2" qui se morfondent au fond d'un placard. Mais beaucoup, du fait de leur choix, ne manqueront pas, à juste titre, de porter au pinacle ce format. Ce n'est pas une réponse de normand mais la question est trop brutale : quoi, avec quoi (et pourquoi) ...

Le 254 ne passera pas. Le 200/800 serait un bon choix mais la collimation reste délicate. Un Mak 180 neuf ou un C8 d'occaz, voire un C9, le feront également.

Visuel intégré ? C'est bref, c'est français et il ne s'agit pas de photo ...

Vous pourrez l'appeler comme vous voudrez, maintenant que j'y ai glissé mon oeil, je sais de quoi il s'agit et, de mon point de vue, là est l'important Si j'étais taquin, j'ajouterai : pour une fois que l'on voit autre chose qu'une tache floue ... Bon, c'est limite hors sujet.

Oui le coté immersion est bien réel, impressionnant même. Pour le reste, je me doute que le service de l'instrument doit jouer un rôle (tant du coté de l'instrument lui même que son servant). Pourquoi le téléphone ? Parce que cela m'imposerai d'en posséder un. Il me reste encore une interrogation : est-ce cela que l'on nomme VA ? Bonne soirée. Norma

Je rentre de Valdrôme où se présentait l'opportunité d'essayer un Evescope 2, encore merci à son propriétaire. Au delà du débat sur la sémantique, le point qui m'interpelait principalement concernait "l'immersion" comparable au visuel courant. Qui n'essaie pas ne peut qu'ergoter (vu de ma fenêtre). Après quelques tentatives infructueuses, j'ai demandé au manipulateur de pointer des sites simples et connus : M57 et M27. Soyons clair, c'est la première fois que je vois la première en couleur et pour la seconde, le coté trognon de pomme (franc et propre) est venu au bout de quelques secondes, situation que je n'ai vécue (rarement) qu'avec de gros diamètres artisanaux. Je confirme le coté raisonnablement "instantané", c'est affaire de dizaines de secondes. Je tempère mon propos par le coté "baveux" des étoiles, trop lumineuses et loin du "point". J'ai ensuite demandé à l'heureux propriétaire de pointer M17 : splendide et en couleur en une trentaine de secondes ! Autant dire que pour l'observateur suivant, c'est de l'instantané vrai. Quelques critiques cependant : - l'outil informatique : gros progrès potentiels. - l'aspect mécanique : idem. - l'interface réclamant impérativement un téléphone : rien que ça et j'abandonne l'idée d'acquérir cet instrument. En conclusion, je suis persuadé que cette technologie n'en est qu'à l'aube de son existence. Mes remerciements vont également à viking asgard qui entretient cette discussion. Cordialement.

Oui, la Lune reste une intarissable source de satisfactions, de questionnements : cela fait maintenant 7 ans que je débute ! Un peu de publicité aussi (c'est pour la bonne cause) : http://heully.eklablog.com/ Il y a aussi l'incontournable AVL, je viens d'acquérir la version 8 (mais vous connaissez certainement), les cartes LAC, le ...

Ah, mon égo déborde : je n'entre plus dans mes chaussures. Vais changer de chevilles Sans rire, je partage également le très pertinent point de vue de Yann. J'ai acquis ce mak pour ma fille qui m'a bien remis à ma place : "Papa, je ne souhaite pas apprendre le ciel que tu ne connais toujours pas malgré ton âge, m'embêter avec le transport, Chercher plutôt que trouver, suivre sur deux axes (parait que c'est facile : gros mensonge pour un débutant), bref terminer comme toi (enfin une gentillesse ). Je vous laisse deviner la suite. Un ou deux mois après, elle "organisait" sa première soirée sous les étoiles (avec le programme de son papa). Ses copines furent enchantées ! Un club : mille fois oui mais attention à bien le choisir ...

L'instrument cité donne toutes satisfactions au débutant qui ne souhaite pas s'embêter. La prise en main ne réclame qu'une petite heure. En revanche, s'agissant d'un instrument non rustique, je l'achèterai chez un spécialiste comme la maison de l'astronomie à Paris, Médas à Vichy ...

Le suivi : c'est la limite des Dobson quand on débute. Souvent, cela se traduit par un grand champ (onéreux). 6 ou 7 mm me semblent une limite pour cet instrument. Plus court, la maîtrise du suivi est impérative. La marque : un ES se revendra toujours. Le jour où notre ami décidera d'acquérir de bons oculaires (TV pour les moins onéreux), il ne perdra pas trop. Quand on débute les ES sont très bien. Ce n'est bien sûr que mon point de vue.

Comprends pas, tout y est, manque rien, une vierge quoi Au-delà, j'aime beaucoup, bravo l'artiste.

Je dispose d'un PST âgé (vers 2005). Il fut réparé une première fois quelques années après son acquisition (sous garantie) : c'était un défaut bien connu. Cela fait maintenant une bonne demi-douzaine d'années que je ne pratique que le lunaire mais j'ai ressortis le PST pour une initiation. Toujours efficace, il est maintenant plus sombre (une affaire de BF, je soupçonne). Remarque plus générale : - tous les filtres à bande étroite ont une durée d'usage limitée. Cordialement. Norma

Un manuel : http://heully.eklablog.com/ La Lune, c'est toujours facile mais seulement dans un premier temps. Ensuite, pour comprendre, il faut pas mal d'années. Et c'est tellement beau