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Astro_007

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Tout ce qui a été posté par Astro_007

  1. Un petit moment que ce petit bijou japonais n'était pas sorti...le côté vintage c'est surtout pour la monture Vixen GP. Toujours époustouflante cette 80 f/15👍
  2. Du coup je serais présent, merci à Jean Marie 👍👍👍
  3. Eh oui! depuis maintenant un petit moment je n'observe qu'avec des RC à prisme sur mes Lunettes : - APM 2" pour la 80 ED Orion - Takahashi 1"25 pour la Vixen ED102S et la Scopetech 80 f/15. Je trouve les mêmes qualités d'image que @Lune cendrée
  4. Cc bien sûr présent 🤗 Une partie de la Tribu des Ukulélés Nantais viendra mettre un peu d'ambiance musicale, l'occasion pour moi de vous faire partager une autre passion 😉
  5. Salut Oliver, Oui j'avais vu chez Kasai cette version avec un PO plus abouti que celui proposé par Scopetech.
  6. Bonjour, Je l'ai toujours dit une Porta 2 ou une Twilight I pour un tube de 100 mm c'est trop limite. Ce n'est pas tant le poids le problème mais le porte à faux du tube. Un bon trépied peut améliorer mais ne solutionera que partiellement l'atténuation des vibrations. Règle d'or : la monture doit être disproportionnée au tube qu'elle porte (en gros elle doit supporter à minima 2X le poids du tube porté).
  7. Tant mieux. Comme quoi les revendeurs peuvent être à l'écoute. La mienne (Scopetech STL-80A MAXI) provient de chez @pancho61, bientôt 2 ans que je l'ai et elle m'étonne toujours autant ! elle excelle en lunaire et planétaire.
  8. Je confirme. J'ai eu quelques infos depuis par un contact plutôt sympa chez Vixen au Japon (un ancien): KF-3 + FPL-51 pour les objectifs Meade ED et KF-3 + FCD 1 pour les ED-S et ED-SS Vixen (qui n'ont jamais utilisé le FPL-51 sur ces modèles). A noter le choix de barillet plus simple chez Vixen (non collimatable) qui s'est montré bien plus fiable à l'usage que celui choisi par Meade. Cales à 120° chez Vixen, spacer chez Meade.
  9. Restez factuels, il n'y a aucune dispute ici, juste une discussion ferme entre passionnés. Stanislas : Le color blur n'est plus vraiment adapté pour classifier l'apochromatisme moderne. Le spectre secondaire est calculé entre les raies F et C (656nm), il ne préjuge pas de la correction entre F (486nm) et g' (~435nm).
  10. Le ton de la joke pour mettre ta Taka sur un piédestal ? 🤣 C'est bien commode... Bref, tu compares deux instruments qui ont une génération d'écart : pas les mêmes verres, pas le même traitement AR, pas le même design optique etc... Puisque tu en parles il se trouve que j'observe régulièrement avec un copain astram qui possède une FC-100 et nous pouvons donc comparer les deux instruments in situ sur les mêmes objets (planètes et Lune). Alors oui la Taka est plus aboutie que la Vixen ED102S pour les raisons évoquées plus haut mais de grossissements faibles à modérés la différence à l'oculaire est loin d'être flagrante et il n'y a pas de quoi tomber à la renverse. L'écart se fait à partir de 2D, la Taka présente moins de diffusion d'une part et d'autre part s'essouffle moins vite en contraste/piqué, écart qui n'est pas immense non plus. Je t'assure que ma vieille Vixen est loin d'être à la ramasse. La comparaison avec ta Taka devrait se faire avec une Vixen plus récente comme la ED103SII, plus cohérent. Une dernière chose : le CB n'est pas un diagramme et n'est utile que pour les Achromats.
  11. Pour en finir avec ce sujet en ce qui me concerne. Je ne crois ni aux miracles ni à la magie, l'optique en particulier. J'ai adopté le CB cité plus haut pour avoir une approche pragmatique avant d'acheter un instrument, comme beaucoup d'entre nous, je ne peux tous les essayer et encore moins les acheter. Cela m'évite d'acquérir un instrument qui me décevra et que je ne garderais pas. Le CB me donne une idée assez précise de ce à quoi m'attendre, confirmé bien évidemment en amont par des tests réels de f/5 à f/18 (Lunettes) au fil de mon expérience d'astram. Après chacun fait bien ce qu'il veut.
  12. Une bonne Achromat c'est déjà dans le raisonnable : le critère de Conrady (le rapport focal doit être cinq fois plus grand que l'ouverture exprimée en pouce). Au passage je fais peu de théorie mais beaucoup de pratique, la réalité du terrain en fait.
  13. Et alors ? Je ne dis pas le contraire. J'ai bientôt 30 ans d'observation astro avec pléthore d'instruments. Pour moi et par expérience une bonne Achromat c'est avec un f/d long...sans avoir besoin d'artifice, j'aime observer les objets avec leurs couleurs naturelles./ Alors une 150 à f/6 pour du planétaire et lunaire, en ce qui me concerne bof bof...
  14. Une limite à X150 en planétaire/lunaire avec du chromatisme quoique l'on en dise. Nous n'avons pas tous le même niveau d'exigence... Je préfère moins de diamètre avec une image propre et en préservant mon budget
  15. Très bien. Je peux présenter la chose différemment : je calcule le CB uniquement pour le visuel (valeur : 735, photo : 920 ) et pour les verres classiques en Achromat : ~1850 (∆F/F). Et quand je teste après en visuel avant même de voir je sais à quoi m'attendre et c'est sans surprise. Même si cette méthode est peu utilisée pour moi elle indique bien ce qui va se passer sur l'objet observé en lunaire/ planétaire.
  16. Quand je parle du CB c'est certainement pas pour l'observation à grand champ 😉 J'utilise le CB pour l'observation planétaire et lunaire. Je trouve que ça correspond bien à la réalité en observation visuelle.
  17. J'évite l'empilage de verre de manière générale mais oui ça marche, à condition de trouver la bonne Barlow. Je préfère un très bon rendement sans avoir à ajouter des accessoires supplémentaires. En visuel. C'est une Achromat ? Si c'est le cas ce sera puissance 4 pour la présence d'aberrations chromatiques aussi... Un colour Blur à 9.93 pour un maximum théorique de ~3.45 ça doit être sympa pour observer les arc en ciel 🌈
  18. En ce qui me concerne je ne prendrais plus jamais d'Achromat en dessous de f/15, certe c'est plus long et donc plus contraignant mais c'est vite compensé par une qualité d'image sans commune mesure avec le reste...image digne d'une ED à diamètre identique, 80 mm pour moi. Comparatif Orion 80 ED vs Scopetech 80 f/15 sur du lunaire et planétaire, et pour grossir à f/15 c'est plus confortable qu'à f/7.5... Après si c'est juste du grab & go à grand champ c'est ma 80 ED qui sort.
  19. Je ne fais que du visuel planétaire et lunaire, à X200 le suivi est parfait, en astrophoto les exigences sont autres. Pouvoir débrayer les moteurs et passer en manuel est un confort qu'offre les GP et GPDX.
  20. Oui Bresser. L'embrayage des moteurs est un pur bonheur, pas de backslash sur les deux axes. EQSTAR je ne connais pas.
  21. J'ai le kit Bresser sur ma GP, rien à redire, c'est parfait. Câbles des moteurs RA/DEC japonais par contre... d'origines. Alimentation sur batterie LiFePO.
  22. Pas sous le nom Vixen mais sous l'appellation Koyo Co . LTD. Plus précisément Koyusha Corporation. Le nom Vixen apparaît officiellement en 1969 : Vixen Optics Company .LTD Sur le site Vixen actuel, c'est de la communication simplifiée/synthétisée grand public.
  23. Pour Vixen j'ai une tout autre histoire...??? [Vixen, en tant que société à part entière, a été fondée en août 1969 et pour comprendre sa genèse, il est nécessaire de voyager plus loin dans le temps jusqu’aux dernières années 40 du siècle dernier. À l’époque, nous trouvons un petit artisan qui produisait des dispositifs optiques pour d’autres entreprises (en particulier des jumelles et des microscopes), ce qui répond au nom de Kosuke Tsuchida. Dans les 5 années qui suivirent 1949, il réussit à se démarquer par la qualité de ses produits et de son travail, En mars 1954, la Koyusha Corporation, située dans le quartier de Wakamatsucho à Shinjuku, est passée d’une entreprise artisanale à une entreprise à part entière. Depuis 1954, l’expansion a été continue et imparable, Afin d’élargir le marché, des succursales ont été ouvertes en 1957 par l’intermédiaire de tiers pour la vente directe aux États-Unis et en Europe. Les affaires marchent bien et en seulement trois ans, le Koyusha Corporation reçoit divers prix d’instituts japonais et du ministère de l’Économie et du Commerce faisant l’éloge de son fonctionnement commercial rationnel et de son organisation de vente unique. pour un prototype « typique » de petites et moyennes entreprises, ainsi qu’une prime spécifique à l’exportation. Les succès amènent l’entreprise à se développer et à Enfin, du moins en ce qui nous concerne, astronomes amateurs, en septembre 1966, la décision a été prise de commencer la production de petits télescopes et en novembre de la même année, avec un bref Annoncé dans un magazine d’astronomie de l’époque, une lunette de 60 mm est présentée. Les ventes sont inattendues et chez les passionnés Le nouveau nom a commencé à circuler, à tel point que, dès le début de l’année 1968, les gens ont commencé à réfléchir à ce à quoi devrait ressembler la nouvelle production des années 70, qui suit le design d’ouverture. Innovations, un Un nouveau design attrayant (qui deviendra un signe distinctif de la marque), une nouvelle mécanique et une certaine quantité de publicité deviennent le cheval de bataille de l’entreprise. En 1969, le nom de l’entreprise a été changé en « Vixen Optics Company LTD », et l’usine a déménagé de Wakamatsucho, Shinjuku, à Itabashi-Ku, Tokyo, avec la fondation d’une société parallèle qui a acquis, en 1970/71, le nom d’Atalas Optics. C’est un succès commercial basé sur le seul et unique Un produit de l’époque, la lunette 60/910, qui semble pourtant très appréciée des passionnés. Parmi les accessoires de ce premier télescope figurait celui qui a rendu l’instrument plus particulier que les concurrents, et c’est un oculaire nommé « E » avec une distance focale de 20 mm qui a fourni un grossissement d’environ 46x sur le neo Vixen. La dénomination fait référence à un schéma optique appelé « Erufure », avec un diamètre de barillet de 36,4 mm à visser sur la mise au point directe du porte-oculaire, ou avec un adaptateur pour l’amener à la norme de 24,5 mm pour Utilisez-le sur les diagonales. Cet oculaire a été créé spécifiquement pour ce télescope à partir de l’expérience accumulée au cours des années précédentes par les développeurs techniques dans la production optique du Koyusha Co.. mai 1976, la véritable transformation de la Vixen, qui d’une entreprise de taille moyenne est devenue un grand fabricant et exportateur non seulement d’optiques, parmi lesquelles Newtons a également commencé à être compté, mais aussi de montures de haute qualité telles que la série Polaris s’est développée à partir de systèmes mécaniques moulés sous pression, un système utilisé pour la première fois au Japon et capable de créer un grand nombre de « pièces » en peu de temps. Pour s’adapter à sa nouvelle réalité, Vixen achète un grande parcelle de terrain dans la région de Hongo Tokorozawa où se trouvait initialement la deuxième section de l’entreprise, Atalas Optics, qui y a construit la nouvelle usine. Au cours de cette période, nous estimons que le collaboration avec l’américain Celestron depuis le premier SC Celestron avait des accessoires « made in Japan » (comme des diagonales par exemple), bien qu’officiellement cette joint-venture a commencé en 1983 avec la création du Celestron Comet Catcher qui montait des porte-oculaires à tiroir à tiroir à déplacement Vixen, et la commercialisation d’optiques Celestron sur des montures Vixen. Cependant, les premières montures Polaris sont apparues plus tôt, dans le 1976, sur les catalogues à l’appui du beau Newton 100/1000 à miroir parabolique (dont l’un fait l’objet d’une reconstruction hi-tech sur ce site - voir rubrique « projets »). Au cours de cette période, les oculaires dans les catalogues sont également Nous commençons à voir les premières machines orthoscopiques au format 24,5 produites par Vixen, reconnaissables non seulement à leur bonne construction, mais aussi à l’incomparable V encerclé. Une curiosité peut-être peu connue concerne le motif de ces oculaires pour lesquels Vixen n’a pas utilisé le motif Or. De l’abbé mais que l’ou. Plossl (pas le Plossl symétrique normal que nous connaissons aujourd’hui, mais formé de deux doublets oculaires asymétriques qui offrent des images du plus haut niveau exemptes d’aberrations) sont toujours considérés comme des oculaires de référence orthoscopiques et qui, dans les années suivantes, ont également été proposés avec un barillet 31,8 millimètres. En 1981, il y a un article du professeur Shigeru (Scigheru), professeur astronome à l’Université de Tokyo et ancien membre de l’Observatoire astronomique national de Tokyo. Pour l’occasion, le Les instruments sont installés et photographiés sur la nouvelle monture « New Polaris », équipée d’une lunette polaire, et sur son évolution pour des charges plus élevées. es modèles présentés dans le catalogue de 1981 sont nombreux, mais parmi eux Nous tenons à souligner un instrument en particulier car il représentera, pendant au moins trente ans, un « classique instantané » au charme intemporel : le Vixen 102/1000M « Early Version ». Ceci Une lunette de 4 pouces, le summum de la production de Vixen, elle est née avec la cellule de lentille collimable (qui a ensuite disparu dans les versions ultérieures) et était disponible en 1000, 1300 et 1500 focales millimètres (nommés P102/1300 et P102/1500L : le « P » signifiant « Pulsar »). Très beaux sont les anneaux newtoniens visibles qui apparaissent dans l’image de l’objectif Vixen 102M, un caractéristique du projet de l’époque. Une autre nouveauté, peu connue mais très importante dans le développement de nouvelles conceptions optiques, était représentée par la présence d’une petite lunette de 70 mm. Équipé d’une lentille triplet à espacement d’air et défini comme « semi-apochromatique ». Le Vixen était connu sous le nom de SA70/600S, mais nous savons qu’il était également commercialisé sous le nom de TASCO 14V. Un spécimen rare est passé en revue sur ce site dans la section dédiée à tests instrumentaux. La richesse de l’offre Vixen comprenait également un Newton est définitivement structuré et est destiné à une haute résolution planétaire. Avec une ouverture de 15 cm. et un rapport focal de F8.6 le RP150/1300L et sa monture SATURN robuste (donné à titre indicatif pour une charge de travail maximale proche de 30 kg) sur colonne représentait certainement le fleuron de l’entreprise en 1981. L’économie matérielle ne faisait pas partie de la concept de l’époque et le poids total de l’instrument complet dépassait 53 kilogrammes]. La suite plus complète ICI
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