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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. « Choisissez la version » OK, j'ai compris la question. Tu ne demandais pas si le porte-oculaire à crémaillère est nécessaire, mais s'il est nécessaire d'avoir ce porte-oculaire à la place du Crayford de la version standard (tout le monde ne connaît pas par cœur tous les équipements des lunettes... ) Skywatcher707 a répondu. J'ajouterai que c'est souvent pareil : il existe plein d'accessoires qui sont tous utiles mais pas souvent indispensables.
  2. C'est bizarre ce que tu demandes. Un porte-oculaire est indispensable, et il en existe de différents type (donc celui à crémaillère) qui se différencient par leur qualité de fabrication. C'est quoi, exactement, l'option ?
  3. Si tu peux te permettre le 200 mm (financièrement, mais aussi au niveau de l'encombrement et du poids), va pour le 200 mm. Si tu ne peux pas, soit tu économise encore un peu (si c'est juste un problème de coût), soit tu te contentes du 150 mm. (C'est simple, non ? ) Oui, pense au Dobson : à diamètre égal il est plus léger et moins cher.
  4. L'obstruction fait perdre un peu de lumière (c'est quasiment négligeable) et un peu de contraste (c'est moins négligeable). Mais la différence principale entre un réflecteur et un réfracteur est, je crois, le taux de transmission, en général sensiblement meilleur pour un réfracteur (du moins s'il est haut de gamme). Quantité de lumière reçue – L'objectif de la lunette 150 mm fait 177 cm² (pi fois rayon au carré). – Le miroir du télescope de 279 mm fait 613 cm². L'obstruction est de 33 %, il y a donc 67 cm² perdus, ce qui laisse 546 cm². On voit que le C11 capte trois fois plus de lumière que la lunette – en fait probablement un peu moins à cause de sa transmission un peu moins bonne. Contraste Il existe une règle empirique qui dit que le contraste d'un instrument de diamètre D et d'obstruction d est le même que celui d'un instrument non obstrué de diamètre D-d. Le C11 offrira donc le même contraste qu'une lunette de 188 mm.
  5. Sixela : merci pour les précisions ! Je n'ai pas tout compris mais il faudra que je relise... On est bien d'accord que l'horizon, c'est par définition la limite du trou noir (au-delà de l'horizon, on ne peut plus revenir en arrière) ? (Attention, dans ton second message tu réponds à MKPanpan, pas à moi.)
  6. D'après la théorie de la relativité restreinte, si on voyage à la vitesse de la lumière (c'est impossible sauf pour la lumière), c'est par rapport à tous les référentiels. Mais il me semble qu'ici c'est par rapport à un référentiel de notre univers, pas de l'intérieur du trou noir puisque celui-ci est hors de notre univers. ---------------------------- Je ne pense pas qu'on puisse raisonner ainsi. Un trou noir est associée à une courbure de l'espace-temps infinie. C'est la courbure de l'espace-temps qui piège celui qui s'aventure trop près. De plus le fait d'être ou non un trou noir ne dépend pas de la masse. ---------------------------- Un objet qui se déplace à une vitesse < c, lorsqu'il subit la gravitation d'un objet massif, accélère. Attention, accélérer est une façon de parler : ça veut dire qu'il se déplace suivant une géodésique d'un espace-temps courbé. Mais s'il voyage déjà à la vitesse c, cette accélération (ce trajet suivant une géodésique etc.) ne signifiera pas que sa vitesse va augmenter, il est déjà à la vitesse maximale possible (elle jour le rôle d'un infini, plus exactement d'une asymptote). Oui : de notre point de vue, l'objet mettra un temps infini à traverser l'horizon. (D'ailleurs, de notre point de vue, un trou noir stellaire met à temps infini à se former.) Il n'y a pas de paradoxe. La singularité n'existe pas dans notre univers, elle n'est pas encore formée, il faut un temps infini pour atteindre l'horizon et on y entre après la fin des temps, et bien sûr rien de la singularité ne vient chez nous (tout ça du point de vue de notre univers). C'est de son point de vue qu'elle grossit.
  7. Je ne pense pas que la différence soit significative en photo. Le problème pourrait être son poids, mais je vois qu'elle fait 10 kg : sur une EQ6, même avec les accessoires, il me semble que c'est correct. En visuel (je possède la 150/1200 achromatique) elle est très difficile à manipuler à cause de la longueur du tube. Il faut un chercheur coudé au zénith. Si tu l'utilises seulement pour l'imagerie, il vaudra mieux pointer sans passer par l'oculaire. Tu dis que c'est surtout pour du visuel, donc pour moi la 150 mm est préférable, mais à condition de pouvoir la gérer. Il faudra être bien organisé et faire quelques essais (je me suis fait un pense-bête avec notamment la position de montage qui permet d'observer des positions pas trop scabreuses, enfin, le moins possible).
  8. Non, les deux effets vont dans le même sens. − Si je suis astronaute et si je m'approche d'un trou noir, mon temps sera ralenti pour la station de contrôle sur Terre. Il me verront évoluer au ralenti, respirer au ralenti, manger au ralenti, etc. Mes journées dureront pour eux des jours, des mois, des années (l'effet s'amplifiera à mesure que je me rapprocherai du trou noir). Les astronautes me capteront de plus en plus mal (mes signaux radio seront décalés vers le rouge et, pour eux, de moins en moins intenses). Moi, c'est le contraire : je les verrai s'agiter de plus en plus vite, leurs journées dureront, pour moi, seulement quelques heures, puis quelques minutes, quelques secondes Juste avant que je ne franchisse l'horizon du trou noir, je verrai l'univers s'accélérer de façon exponentielle. Et en même temps que je franchirai l'horizon du trou noir, je verrai la fin des temps de l'univers, puis plus rien : je ne ferai plus partie de l'univers, captif dans le trou noir (impossible de revenir en arrière) et rejeté après la fin des temps (de notre univers). − Si je suis astronaute et que je voyage à une vitesse proche de la lumière, mais uniforme (sans accélérer et en l'absence de gravitation), mon temps sera ralenti pour la station de contrôle sur Terre. La seule différence est que ce sera réciproque (et je n'assisterai pas à la fin de l'univers).
  9. Il est inutile de grossir une image planétaire au-delà d'une certaine limite, on verra la même image, avec les mêmes détails, mais en plus gros et moins contrasté. Essaie avec l'image que tu as postée : fais un zoom x3 (je l'ai fait, je préfère la version non zoomée). Sache que quasiment tous les débutants, la première fois qu'ils observent une planète, la trouve toute petite. Il faudra t'y faire... Ce qui compte, c'est les détails. Plus le télescope aura un grand diamètre et/ou une bonne qualité optique, plus il y aura de détails (potentiellement − mais la turbulence dégrade l'image).
  10. Oui : tu défocalises beaucoup, beaucoup, beaucoup trop. Si un défaut de collimation était visible sur cette image, ce ne serait pas un défaut de collimation, ce serait un déréglage complet que tu aurais facilement détecté juste en regardant dans le tube. Imagine que le porte-oculaire soit mal aligné et qu'on n'y voie que la moitié du miroir secondaire. Là on verra ce défaut. Mais on l'aurait vu plus facilement juste en regardant dans le porte-oculaire. Sixela a déjà fait la remarque, mais je préfère répéter parce que c'est une erreur classique, et que Macfly a répondu oui (en parlant de première étape, mais je trouve ça trompeur même si je crois comprendre ce qu'il veut dire), ce qui pourrait t'embrouiller. L'image postée plus haut par Gehelem est vue à très fort grossissement. En imagerie, ça ne doit faire pas plus de quelques pixels. Si le télescope est très décollimaté à la base, le défaut sera vu en défocalisant plus fort (mais quand même pas ce que tu as fait), mais je trouve plus facile, dans ce cas, de le corriger sans passer par une étoile. Par exemple si le secondaire n'est pas en face du porte-oculaire, ça se voit immédiatement et ça se corrige à la main. En fait, je trouve qu'on devrait séparer ces deux réglages : Placer correctement les éléments optiques (le secondaire en face du porte-oculaire, etc.). C'est un réglage facile et sans outil. Voir Collimater. C'est un réglage précis qu'on peut faire sur une étoile, mais seulement après avoir fait l'étape précédente.
  11. Oui, au final le paradoxe de Langevin est plus compliqué que prévu, je crois que c'est parce qu'on fait un aller et retour, donc on n'est pas dans le contexte d'un trajet à vitesse uniforme. Le dernier message de Sixela suggère bien cette complexité.
  12. Ce qui me gêne dans ce résultat, c'est que ça ne ressemble pas à ce qui se passe avec les photons − Les photons issus de α Centauri mettent 4 ans à nous parvenir, par rapport à nous. − Ces mêmes photons ont fait le trajet en 0 seconde par rapportà à eux. Les astronautes sont un peu plus lents, donc ils ont mis 5 ans à faire le voyage, par rapport à nous, et une durée nettement plus courte par rapport à eux. D'ailleurs, je me souviens que C. Sagan aborde ce sujet dans Cosmos, je reviens... Ah, voilà : il imagine un vaisseau qui accélère en permanence de 1g, ce qui lui permet de s'approcher toujours un peu plus de la vitesse de la lumière (sans jamais l'atteindre). Voilà ce qu'il dit : « Un objectif pas trop lointain pour une mission stellaire serait l'étoile de Barnard, située à environ 6 al [c'est moi qui abrège : al = année-lumière]. On pourrait l'atteindre en 8 ans − durée mesurée par les horloges du bord, alors qu'il faudrait 21 ans pour atteindre le centre de la Voie Lactée, 28 pour M31. Les 21 ans pour atteindre le centre de la Galaxie équivaudraient sur Terre à 30000 ans. En principe, un voyage effectué à une vitesse qui, décimale par décimale, se rapprocherait de celle de la lumière, nous permettrait de faire le tour de l'univers connu en 56 ans, temps mesuré à bord. Mais nous ne reviendrions que pour trouver le Soleil éteint. » Ce qu'il dit est parfaitement compatible avec le fait que, du point de vue des photons, tous les trajets se font en un temps nul. Ici, chaque milliard d'année-lumière supplémentaire va se faire en un temps de plus en plus court (pour les horloges du bord) puisqu'on s'approche de plus en plus de la vitesse de la lumière. Et il dit clairement que la durée mesurée sur Terre correspond à la distance exprimée en année-lumière. Je suis donc presque sûr de ce que j'ai écrit plus haut, mais je n'arrive pas à l'expliquer. En fait, j'aurais eu tendance à dire comme toi.
  13. Oups, je voulais bien sûr parler du sujet, le paradoxe de Langevin.
  14. C'est ce que tu voulais = c'est le repérage à l'œil nu que tu voulais, ou bien c'est le repérage au télescope que tu voulais ?
  15. Le paradoxe des jumeaux est en fait plus compliqué que ça, mais passons, ce n'est pas le sujet (je dis ça pour le cas où des puristes nous lanceraient dans une autre discussion). Concernant le deuxième paragraphe, je trouve que la question est plus subtile qu'elle n'y paraît : je n'arrive pas à répondre de façon convaincante. Il y a une chose qui est certaine : les astronautes de la mission Alpha Centauri ont mis dix ans pour faire l'aller-retour de leur point de vue. En effet, la distance est de huit années-lumières et le vaisseau va un poil moins vite. Sur Terre, les durées ne sont pas les mêmes à cause de la relativité du temps, de sorte que ce que les astronautes ont vécu en dix ans, les Terriens l'ont vécu en (par exemple) trente ans. Sauf que ça ne me convainc pas : l'aller-retour pour Alpha Centauri fait 8 al (plutôt 9 en fait), pas 60 al. C'est là où à mon avis intervient la complication dont je n'ai pas voulu parler. (Le vrai paradoxe de Fermi [erratum : de Langevin], c'est que justement la théorie dit que ça ne se passe pas comme dans la description que tu as citée, et du coup c'est peut-être le sujet .) Vivement qu'un spécialiste de la relativité passe, parce que j'ai été déçu de ne pas trouver d'explication convaincante, du coup j'espère que c'était vraiment plus subtil que prévu (sans ça, ça veut dire que je deviens gaga...)
  16. Il me semble que tu parlais de repérage à l'œil nu : « J'aimerai avoir l'emplacement de l'astre par rapport a ce que vois la personne, comme si par exemple tu sort dort, tu regarde dans le ciel et en fonction de la date et de l'emplacement tu sait où se situe l'astre dans ton champs de vision » À l'œil nu, savoir que telle étoile est à 181° d'azimut et 56° de hauteur ne permettra pas de la repérer parmi les autres étoiles, car on n'a pas de boussole intégrée suffisamment précise. Si on connaît les points cardinaux, on saura juste que l'étoile est quelque part par là-bas. Les coordonnées permettent d'éditer des cartes de constellations et ce sont elles qui permettent de repérer les étoiles. Par contre, si tu parles de repérage avec un télescope muni de cercles de coordonnées, effectivement les coordonnées permettent le repérage (les cercles de coordonnées sont peu utilisés de nos jours).
  17. Bonjour Maé ! Ça me fait plaisir de voir que notre jeunesse s'intéresse à l'univers et se pose plein de questions (et sait les rédiger : ton texte est agréable à lire) ! J'espère que ton souhait d'en faire ton métier se réalisera. Pour ça, n'hésite pas à lire le plus grand nombre de livres d'astronomie (astrophysique ou cosmologie notamment) que tu pourras. Je vais réagir à ton texte. Ce sera souvent sous forme de questions, pour t'encourager à clarifier tout ce qui est vague. Qu'est-ce que tu appelles l'univers ? Tous les objets de l'univers sont ronds, donc l'univers devrait être rond --> attention, l'univers n'est pas un objet de l'univers. De plus il n'y a pas de loi disant que tout objet de l'univers est forcément rond. Les galaxies ne le sont pas toujours, les filaments d'amas de galaxies encore moins. La forme ronde des planètes et des étoiles a une explication (en lien avec leur rotation et les lois de la gravitation). Cette explication s'applique-t-elle sur tous les objets voire sur l'univers ? Les étoiles sont rondes, ce sont des éléments des galaxies qui sont souvent plates. Cette éventualité faisait partie de la théorie de l'expansion de l'univers jusqu'à ce qu'on découvre que l'expansion est accélérée. Les faits l'emportent sur les raisonnements, il faut abandonner l'idée d'une future contraction puis fin de l'univers. (Après, ça, dépend ce qu'on appelle fin de l'univers. Quand la matière aura disparu, sera-ce sa fin ? Il me semble que non puisque l'espace, lui, continuera de s'étendre.) Es-tu croyant ? Pourquoi faudrait-il qu'il y ait une utilité ? Pour la première question, s'agit-il d'un pourquoi métaphysique ou d'un pourquoi astrophysique ? Dans le second cas, la réponse existe : on écrit les équations de la relativité générale appliquées à un gaz d'amas de galaxies de pression interne nulle et de densité constante, et trois types de solutions existent : un univers en contraction, un univers statique (impossible dans les faits car instable) et un univers en expansion. Là c'est vraiment pas clair ! C'est quoi, pour toi, l'univers ? Je pense que tu n'emploies pas les bons termes. L'univers, normalement, contient la coquille. Comment la coquille peut-elle être vide à l'intérieur si l'univers grandit à l'intérieur ? J'ai envie de répondre : la coquille contient l'univers, sauf que c'est l'univers qui contient la coquille. S'il y a quelque chose autour de la coquille, ce quelque chose fait partie de l'univers. Du coup il est à l'intérieur de la coquille puisque l'univers est à l'intérieur. Bon, on voit bien que ça manque de clarification... Dans ta théorie ou dans la théorie de l'expansion utilisée aujourd'hui par les astrophysicien ? Dans le second cas, on n'en sait rien cas, mais c'est une hypothèse très probable (un univers infini aurait une courbure nulle, et justement on n'arrive pas à mesurer la courbure, ce qui prouve qu'il est soit immensément vaste, soit infini). Il est impossible d'explorer l'univers au-delà de 13,8 milliards d'années-lumières, parce que la lumière des astres qui en proviennent n'a pas encore eu le temps de nous parvenir. L'univers qu'on peut observer s'appelle l'univers observable, c'est le seul qu'on puisse explorer. Ce n'est pas une impossibilité technique mais une impossibilité naturelle liée à la vitesse finie de la lumière. Eh bien ce qui est extraordinaire, et récent, c'est qu'on est capable d'explorer tout l'univers observable ! Par échantillons, hein, pas dans son ensemble (c'est trop vaste). Mais on est maintenant capable d'observer des galaxies situées à presque 13,8 milliards d'al.
  18. Connaître les coordonnées d'une étoile ne permet pas de la repérer. Ça permet d'éditer des cartes, et ce sont les cartes qui permettent de repérer les étoiles.
  19. Les dimensions des objets ne sont pas toujours des nombres objectivement bien définis. Par exemple les nébuleuses sont juste les portions visibles de nuages de gaz bien plus grands. C'est vrai pour les nébuleuses diffuses, comme M42, et planétaires, comme M57 : seule la partie ionisée « compte », mais la nébuleuse réelle est bien plus grande. Toutes ces nébuleuses comportent des extensions faiblement visibles, notamment les nébuleuses planétaires. M57 fait 86×63" selon les catalogues, mais on indique aussi des extensions sur 150". Sauf que les photos à très long temps de pose révèlent des extensions encore plus faibles et encore plus étendues. Dans le catalogue RC3 (Third Reference Catalogue of Galaxies), qui est un peu le modèle des catalogues modernes, les dimensions a et b des galaxies sont données à partir de l'ellipsoïde qui modélise le comportement photométrique de la galaxie jusqu'à l'isophote B25 (magnitude B 25 par seconde d'arc). B25, c'est un ciel très noir, celui des observatoires. En pratique, en observation visuelle les galaxies paraissent deux fois plus petites. Mais D. Malin, avec de très très longs temps de pose, a montré que les galaxies s'étendent souvent beaucoup plus loin. Revenons à M2. Dans les catalogues d'amas globulaires, on donne plusieurs diamètres. J'en ai trouvé au moins quatre. Voici les valeurs pour M2 : − diamètre photographique = 11,7' − diamètre total = 42,9' − diamètre "half mass" (où se concentre la moitié de la masse, je suppose) = 0,93' − diamètre de la région centrale (j'ai oublié sa définition) = 0,68' Et bien sûr le NGC, basé sur des observations visuelles, donne un autre diamètre (16', valeur qui a été reprise dans Wikipédia ). Les sites que tu cites doivent indiquer de quel catalogue ils tirent leurs données (sinon ce n'est pas sérieux). On peut alors savoir quelle définition est utilisée.
  20. Qu'est-ce que tu appelles la vitesse d'écoulement du temps ? Normalement ça n'a pas de sens puisque la vitesse est une variation en fonction du temps, or rien ne varie par rapport à lui même, le temps est constant par rapport au temps. Ou alors ce serait une variation en fonction d'autre chose ?
  21. Ça dépend de son diamètre. Mais plus le diamètre est grand, plus on verra de choses. N'empêche, pour un diamètre donné, le Dobson n'est pas le plus imposant (le même télescope sur une monture équatoriale l'est nettement plus). Ton dilemme n'est pas lié au type de télescope, mais au diamètre. C'est un compromis à faire.
  22. 'Bruno

    EVSCOPE 2

    Eh oui, il ne faut pas oublier qu'on peut toujours augmenter le temps de pose (tant que ce n'est pas trop long) pour améliorer les résultats, du moins au niveau de la lumière captée.
  23. Bonjour ! La difficulté de ta demande, c'est que tu veux tout faire : un instrument transportable, mais qui fait la photo, et avec du diamètre. C'est incompatible : transportable, c'est avec un diamètre pas trop gros ; la photo réclame une monture robuste, donc soit on fait de la photo avec un instrument léger, soit ce n'est pas facile à transporter. L'idée du 200 mm sur EQ6 est bonne, mais ça dépasse ton budget et ce n'est pas du tout un petit instrument léger. Et si tu faisais comme beaucoup d'entre nous : un télescope pour le visuel, un pour la photo ? Voici une idée possible : Tu commences avec un Dobson 200 mm. En visuel, tu as les 200 mm, et c'est bien plus facile à transporter que sur monture EQ6 (et à manipuler : pas d'installation, pas de réglages...) Si tu ajoutes un petit tabouret (qui restera dans le coffre), tu pourras observer assise. Ça coûte 500 € de base, donc ça laisse une petite cagnotte pour le prochain instrument. Tu surveille les annonces (sur ce site par exemple), ou tu économises encore un peu plus, et plus tard, tu achètes une lunette 80 ED sur monture équatoriale motorisée (la lunette neuve fait 500 €, il faut lui trouver une monture motorisée, par exemple une EQ5). C'est un excellent instrument pour la photo du ciel profond. Le petit diamètre est un handicap en observation visuelle, mais pas tellement en photo, car le manque de lumière peut se compenser par plus de poses (l'instrument étant léger, il risque de servir plus souvent, donc de faire plus de poses). Je connaissais quelqu'un qui faisait de la photo avec un 200 sur EQ6 et une 80 ED, eh bien ses photos à la 80 ED étaient presque aussi intéressantes, et c'est elle qui sortait le plus souvent. Dans quelques années (5 ans ? 10 ans ?), tu maîtriseras l'astrophoto avec 80 ED, et alors éventuellement tu pourras passer à un instrument plus ambitieux (mais déménage avant... )
  24. Ah, le traître, il a remonté un sujet vieux de cinq ans !
  25. Pourtant il est indiqué "en stock".
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