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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. On recherche un livre qui explique ce que sont les nébuleuses, les amas ouverts, les rémanents de supernova, etc. et qui soit accessible au grand public... Je ne connais pas bien les livres récents, et celui-ci, je l'ai juste feuilleté, mais je crois qu'il répond à la question : https://www.glenat.com/reference/le-grand-atlas-de-lastronomie-8e-ed-9782344060384 (mais c'est peut-être quand même plus pour de futurs astronomes amateurs que juste des contemplateurs de passage, d'ailleurs il y a un atlas des constellations dans le livre).
  2. Un prix pareil me donnerait l'impression d'avoir à faire à un receleur. D'ailleurs c'est peut-être le cas quand on sait que ces gens là trouvent des combines pour ne pas payer leurs impôts. Le télescope coûte 2000 € dans un magasin français, mais le magasin paie ses impôts et participe au financement des services publics de notre pays. Ça rentre dans le budget de Gcedric57, je ne vois pas de raison de chercher à l'acheter dans des sites louches comme Amazon.
  3. Voilà un besoin bien identifié. Si tu veux progresser, tu dois savoir pointer. C'est effectivement le plus difficile à faire quand on démarre. Si tu disposes d'un chercheur optique, tu dois d'abord le régler, et avec le plus de précision possible. Si tu disposes d'un pointeur, pareil. Ensuite, il faut y aller progressivement : pointer une étoile brillante visible à l'œil nu, puis pointer des étoiles plus faibles (par exemple des étoiles doubles, c'est plus amusant et au moins on est sûr qu'on est sur la bonne), puis pointer à partir d'une carte plus ou moins détaillée. L'une des principales difficultés quand on utilise un chercheur optique, c'est d'évaluer la taille du champ et son orientation (qui n'est jamais comme on le croit). Les cartes doivent être adaptées, si tu utilises un logiciel tu dois bien l'avoir en main. Cet apprentissage n'est pas évident, il faut être méthodique et s'attendre à y passer du temps (certains y parviennent rapidement, d'autres n'y arrivent jamais, et la majorité sont entre les deux... J'ai mis deux ans avant de savoir pointer, mais aujourd'hui je n'ai peur de rien). Quel matériel peut aider ? Je dirais que si tu possèdes un chercheur optique et que tu n'arrives pas à t'en servir, tu pourrais essayer un pointeur. Si tu possèdes un chercheur optique, tu pourrais aussi acquérir des jumelles 10×50 : elles ont un grossissement et un champ similaire à la plupart des chercheurs, ce qui peut aider à se faire à un chercheur (par exemple réaliser l'étroitesse du champ, l'éclat des étoiles...), et ce n'est pas un achat perdu : ces jumelles serviront toute la vie.
  4. MKPanpan et Tyler ont bien parlé (ugh !) Cela dit il existe une formule : t'/t = racine_carrée(1 - v²/c²) Exemple 1 : un vaisseau traverse le ciel à côté de la Terre à la vitesse v = 0,8 c (c'est-à-dire 240 000 km/s). Eh bien lorsqu'on observe ce vaisseau, on voit les gens vivre au ralenti : t' / t = 0,6, ou encore t' = 0,6 t. Ça signifie que si leur trajet dure 10 ans mesuré par nos horloges, en réalité ça n'a duré que 6 ans pour eux. Quelqu'un qui est parti dans ce vaisseau à l'âge de 20 ans aura 26 ans à son retour, alors que nous avons vieilli de 10 ans. Exemple 2 : dans un accélérateur de particules, on accélère des particules à une vitesse très proche de la lumière, de sorte que t'/t peut valoir 1 millionième (par exemple). Ça signifie que si on observe une particule et que sa durée de vie est de 1 seconde (observée par nous), en réalité sa durée de vie est de 1 millionième de seconde. C'est utilisé couramment dans les accélérateurs de particules (c'est même pour ça qu'on les accélère, ces particules) pour avoir le temps d'étudier certaines particules exotiques qui se désintègrent au bout d'un temps extrêmement court.
  5. Il existe une unité pour mesurer une courbure, peu importe une courbure de quoi. C'est comme pour les vitesses : on les compte en m/s, que ce soit la vitesse d'un avion ou la vitesse d'un vaisseau près d'un trou noir, et ce n'est pas en fonction de quelque chose. Ou alors tu ne parles pas d'unité, mais d'autre chose. Et là encore, essaie d'être clair !
  6. Tu n'as pas lu ça : « à diamètre de télescope égal, une monture Dobson est moins chère, moins lourde, moins encombrante, plus stable, plus vite installée » ? Qu'en penses-tu ? A - Ah non, je ne l'avais pas lu. B - C'est pas vrai. C - Ce sont des avantages importants, mais pas pour moi : mon budget n'est pas limité, je suis costaud, j'ai de la place chez moi, j'ai un tabou contre la stabilité, et j'ai tout mon temps pour m'installer. D - Ce sont des avantages importants, mais je veux faire un choix passionnel, pas rationnel. Je trouve que c'est une très mauvaise idée : − Chaque fois que tu passeras l'aspirateur, il y aura un risque. S'il y a des gens qui habitent chez toi, ou même des animaux, il y aura un risque. − Il va prendre la poussière. − Ça ne va pas faciliter le transport : il faudra d'abord le démonter. Mieux vaut le démonter et le ranger dans son carton si possible. (C'est juste mon avis. En plus je suis un mauvais exemple : mon Dobson 300 mm est posé près du frigo. Mais c'est parce que je n'ai plus son carton (avant je le rangeais) et je peux le transporter en un seul morceau jusqu'au jardin. Quand le 300 mm était sur monture EQ6 ça n'était évidemment pas possible.) Sous un ciel donné, le niveau de détails visible sur les planètes ou en ciel profond dépend du diamètre et de la qualité optique, et c'est tout (c'est simple, hein !) Si tu compares des instruments avec une qualité optique comparable (donc tout le monde sauf quelques instruments très haut de gamme), c'est le diamètre qui compte. J'en parlais hier : « Je viens de regarder rapidement sur le site d'un magasin, une bonne idée pourrait être d'acheter un tube seul (1500 €) et de l'installer sur une monture basique de type EQ5 (500 €). » (Tu n'as pas vu mon message ?) Je précise : https://www.astronome.fr/telescopes/24-3207-tube-optique-celestron-c8-sc-xlt-fastar.html#/2775-type_de_queue_d_aronde-vixen https://www.astronome.fr/montures/156-4339-monture-equatoriale-perl-neq5.html#/2962-version-non_motorisee
  7. Si j'ai bien compris, quand tu dis "monture", tu veux dire "monture équatoriale". Parce qu'un Dobson est sur monture : une monture azimutale appelée "monture Dobson" (et du coup on a donné le même nom au télescope : un télescope Dobson, c'est par définition un télescope posé sur une monture Dobson). Tu sais peut-être, ou pas, qu'à diamètre de télescope égal, une monture Dobson est moins chère, moins lourde, moins encombrante, plus stable, plus vite installée. Si malgré ces avantages tu préfères la monture équatoriale, j'imagine que c'est pour le suivi, qui est en effet un avantage important (cependant il existe des montures Dobson motorisées et même avec pointage automatique, mais c'est nettement plus cher). Pourtant tu dis ne pas chercher de monture motorisée. Du coup je ne comprends pas trop. Mais après tout, on n'est pas obligé de faire des choix rationnels. Maintenant, par rapport à ta demande, je préconise moi aussi le C8, mais attention que les prix ont drôlement augmenté ces dernières années. Je viens de regarder rapidement sur le site d'un magasin, une bonne idée pourrait être d'acheter un tube seul (1500 €) et de l'installer sur une monture basique de type EQ5 (500 €).
  8. Tu devrais préciser ta question : que veux tu calculer exactement ? - Tu veux calculer si des éclipses sont possibles (en fonction des diamètres des planètes et du soleil) ? - Les propriétés des planètes étant connues, tu veux calculer les dates des éclipses ? Ou autre chose ? Dans le 2è cas, ça dépend du calendrier, de la position des planètes, etc. Répondre ne peut pas se faire dans un message du forum, il y a des livres qui expliquent ça. Même si tu veux te simplifier la vie en supposant que les mouvements des planètes se font comme s'il n'existait que la planète et son étoile (problème à 2 corps), les calculs ne sont pas simples. Est-ce que tu veux connaître les algorithmes ? Je connais des livres qui présentent les algorithmes de calcul de positions des planètes, mais je n'en connais pas qui calculent les dates des éclipses ou la position de l'ombre du satellite (la Lune) sur le globe en fonction de la position des planètes (en général on nous donne les paramètres des éclipses et on peut faire divers calculs à partir de ces paramètres, mais je ne sais pas comment sont calculés ces paramètres et je ne connais pas de livres qui présentent les algorithmes).
  9. 'Bruno

    Nouvelle conception du Temps

    Je précise... Si on utilise Chat GPT en lui demandant d'expliquer la théorie de la relativité, il est probable qu'il fournisse un texte exact, car il l'aura pioché dans les milliers de pages qu'il a ingérées. Bon, il faut être prudent, mais il y a des chances d'obtenir un résultat utilisable. Mais Chat GPT n'est pas intelligent (c'est très important de le comprendre), il n'invente rien : sa qualité, c'est d'avoir ingurgité (plus ou moins légalement) une somme monstrueuse de connaissances et de disposer d'un algorithme qui lui permet de faire des phrases comme "en vrai". Donc il ne peut pas inventer une nouvelle théorie. Par contre, il peut faire semblant, c'est-à-dire générer un texte qui ressemble à une publication scientifique, avec peut-être même des références vers d'autres publications (bidons). On dirait une publication scientifique, on dirait de vraies équations : c'est ça que sait faire Chat GPT si on lui demande d'inventer. Ça ressemble, mais c'est bidon. Je me souviens avoir lu une anecdote "amusante" : un avocat avait demandé à Chat GPT de lui trouver une certaine jurisprudence, Chat GPT lui a fourni un texte qui ressemblait parfaitement à une jurisprudence, avec les références, les publications, etc., du coup l'avocat l'a utilisée pour plaider. Mais elle n'existait pas, et il a même été condamné. ------------ Luigi25 : j'ai lu ton texte, je trouve qu'il y a de l'idée. Mais en fait tout ça a déjà été fait : Einstein (et Minkowski) a montré que le temps fait partie d'une truc à 4 dimensions (eh oui, pas 2 mais 4) qu'on appelle l'espace-temps. Essaie de t'intéresser aux diagrammes d'espace-temps (en cherchant ce mot-clé), ce n'est pas trop compliqué. Comme on représente dans ces diagrammes l'espace par 1 seule dimension, ça dessine un espace-temps à 2 dimensions. Dans ces diagrammes, on voit que le temps d'un observateur est différent du temps d'un autre observateur, et que l'un fait un certain angle avec l'autre. Ce que tu dis sur la limite à 90° est assez ressemblant, il me semble, de ce qu'on voit dans un diagramme d'espace-temps. Comme souvent, Wikipédia explique tout : https://fr.wikipedia.org/wiki/Diagramme_de_Minkowski . Il y a une animation où l'on voit l'axe du temps d'un observateur s'incliner peu à peu par rapport à celui d'un autre observateur à mesure que leur vitesse relative augmente, je trouve que ça ressemble à ce que tu dis sur l'angle qui devient de plus en plus élevé.
  10. Non plus. Si tu collimates en défocalisant à ce point, ce n'est pas assez précis.
  11. Coucou ! J'observe avec des listes, et en effet cette année ça n'a pas tellement avancé. Ben tant pis, mes listes sont toujours prêtes, c'est juste que ça a été reculé d'un an. Je suis sûr que 2025 sera une très bonne année, pour rétablir l'équilibre...
  12. Il y a pas mal d'années, j'avais rédigé ça sur l'observation de M31 : https://www.webastro.net/noctua/observation/keskifovoir/keskifovoir-sur-m31-la-galaxie-dandromède-r12/ Ça montre qu'il y a quand mêmes des choses à voir dessus, même si sa mauvaise réputation n'est pas injustifiée.
  13. Ben oui, d'où ma réponse (« Un renvoi coudé risque de trop reculer le capteur, et le point focal risque de ne pas pouvoir aller si loin en arrière. ») Mais Caius dit que la plage de mise au point est gigantesque, ce qui suggère que ce risque n'existe pas. De plus tu dis que la "meilleure mise au point" est obtenue alors qu'il y a de la course dans les deux sens (tu dois signaler ce genre de détail d'entrée, pour ne pas perdre du temps avec des hypothèses inadaptées), donc le problème n'est pas une incapacité à atteindre le point focal. Visiblement, Saturne est floue, soit parce que ça turbule (elle était haute dans le ciel ?), soit parce que le télescope est mal collimaté. (En fait au début je croyais que l'image de l'étoile était celle obtenu lors de la "meilleure mise au point", et on était loin ! Mais non, tu l'as appelée figure de diffraction par erreur, comme l'a signalé Gehelem.)
  14. C'est le contraire. Mon hypothèse, c'est que tu es trop en arrière par rapport aux positions possibles du point focal. Un renvoi coudé sert en observation visuelle, parce que l'oculaire doit être situé derrière le point focal, souvent assez loin derrière. En imagerie, le capteur doit être situé pile sur le point focal. Un renvoi coudé risque de trop reculer le capteur, et le point focal risque de ne pas pouvoir aller si loin en arrière.
  15. Bonjour ! Si tu utilises un renvoi coudé pour l'imagerie, il faut probablement le retirer (il ajoute de la distance, le point focal risque de ne pas être atteignable).
  16. Le champ sur le ciel est A×f / F (A = champ apparent, f = focale de l'oculaire, F = focale du télescope), sachant que le produit A×f ne peut pas dépasser 2700 au coulant 50,8 mm (d'où un champ sur le ciel maximum théorique de 2700/1200 = 2°15'). Pour avoir le plus grand champ sur le ciel possible, il faut que A×f soit égal à 2700. Avec un oculaire de 40 mm, on aurait le plus grand champ sur le ciel possible sur le ciel avec A = 2700/40 = 67,5°. C'est pas mal mais on peut faire mieux. Avec un oculaire de 32 mm on aurait A = 2700/32 = 84°. Voilà ! Ce sont des calculs théoriques, mais ils montrent que, pour avoir le champ sur le ciel maximum, il est plus judicieux de choisir une focale pas trop grande afin de maximiser le champ apparent (qui donne une vision panoramique). (Et puis la pupille de sortie sera plus raisonnable et le fond du ciel un poil moins lumineux.)
  17. Est-ce que tu n'aurais pas tendance à toujours visser du même côté ? Si c'est pour le réglage du secondaire, chaque fois qu'on visse une vis, il faut dévisser les deux autres, sinon tout va être trop serré et ce ne sera plus réglable... (Je dis ça parce que ça m'est arrivé.)
  18. La poussière n'a aucune incidence sur la netteté des images, et quasiment aucune incidence tout court. Ne te disperses pas... D'après ce que tu dis, c'est d'abord un problème de réglage. Le point rouge est peut-être là où il est, mais il reste à vérifier sur une étoile (la Polaire).
  19. En fait j'ai l'impression que tu as envie de te faire plaisir en achetant un nouveau télescope. Au début je croyais que c'était pour avoir des images planétaires plus détaillées, à présent tu parles d'accélérer le pointage, ce qui n'a rien à voir avec l'achat d'un nouveau tube optique. (Pour améliorer le pointage, la question n'est pas Maksutov vs Cassegrain, mais goto vs pushto.) Oui, si tu as le budget, tu pourrais acheter un nouveau télescope sur monture équatoriale goto. Si tu peux te le permettre, je te recommande d'examiner la possibilité d'une lunette ED de 120 mm (pas plus, après le tube devient trop long, limite ingérable). Il y a de nombreux témoignages indiquant qu'une lunette de ce type est complémentaire d'un plus gros télescope : sortie plus rapidement, vite à température, avec une excellente optique, elle donne de très belles images planétaires (mais petites) sans avoir à faire de réglage. C'est juste une idée si tu cherches un « instrument-plaisir » (mais ça coûte cher !).
  20. C'est une lunette (lentille à l'avant, oculaire à l'arrière), forcément que l'image est inversée.
  21. Parce que tu as un télescope de 400 mm. À moins que l'optique soit mauvaise, il donnera de meilleures images planétaires qu'un télescope de plus petit diamètre. Après, si tu as du mal à le régler, il est tout à fait possible qu'un télescope (ou une lunette) plus petit(e), d'excellente qualité, te donne de meilleures images planétaires, mais dans ce cas je pense qu'il faudrait que tu essaies.
  22. Note bien que pour conclure que c'était bon, il ne faut pas se contenter de vérifier que le retour du laser est OK, il faut ensuite inspecter l'image d'une étoile au plus fort grossissement disponible, par exemple la Polaire. Je trouve que les étoiles doubles serrées sont un bon test car on a l'échelle (donnée par l'écartement des deux composantes), on peut donc évaluer si l'étoile est trop grossière ou pas. Par exemple, en été, Pi Aquilae est facile à pointer, et c'est une étoile double suffisamment serrée pour servir de test assez sévère (aussi bien de test de collimation que de test de turbulence, d'ailleurs). Elle me sert de temps en temps avec le 300 mm ou avec le 495 mm, du moins quand il me semble que ça ne turbule pas trop.
  23. Je l'ai dit dans mon message. Ou alors tu demandes avec quel outil (un mètre pliant) ? Ah ben voilà, le F/D est de 4,5. Donc si le miroir fait 400 mm, la distance focale est de 4,5 x 400 = 1800 mm, un standard. Il ne faut pas voir les planètes en plus gros. Le 4,5 mm donne un grossissement de pile 400 fois (sa focale est égale au F/D, donc le grossissement est égal au diamètre). À la limite tu pourrais acquérir un grossissement intermédiaire, avec un oculaire d'environ 6 mm. Il faut que tu observes quand la turbulence est faible. Attends que la planète soit au plus haut dans le ciel, ne commence pas à observer trop tôt (mise en température), fignole la collimation en l'évaluant sur une étoile (la Polaire) et en étant très pointilleux, et attends que les conditions météo soient favorables (par exemple il arrive que le ciel soit très stable sous un ciel brumeux). Pour savoir si les conditions sont favorables, j'ai indiqué une méthode dans mon premier message.
  24. Non. Regarde ce schéma : La distance focale est la distance entre le miroir primaire et le foyer (en suivant les rayons lumineux, hein, pas à vol d'oiseau). Pour avoir une idée de la focale, pointe la Lune (en ce moment elle est presque pleine, ça tombe bien). Ensuite tu enlèves l'oculaire. Tu prends un bout de papier, tu le mets derrière le porte-oculaire (vide) et tu essaie de rendre la Lune la plus petite possible (et alors la plus lumineuse) sur le bout de papier. La position du papier, c'est celle du foyer.
  25. Quand tu décides d'observer les planètes, fais la vérification suivante : tu pointes la Polaire (elle ne bouge pas) à fort grossissement et tu la défocalises à fond. On voit le miroir primaire éclairé par l'étoile, et l'ombre du miroir secondaire. Essaie d'évaluer si cette image est bouillonnante, ou frémissante, ou si elle ondule légèrement, ou si elle est figée. Ça te donnera une idée de la turbulence au moment de l'observation, surtout si tu fais ça régulièrement.
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