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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. 'Bruno

    Choix lunette

    Tu dis que la photo sera pour plus tard. Dans ce cas je dirais : − Achat d'un Dobson 200 mm (~500 €) pour découvrir l'observation. − Plus tard, dès que tu auras réuni le budget (~1500 €), achat d'une lunette 80 ED sur une bonne monture équatoriale. Et tu garderas le Dobson parce que tu n'abandonneras probablement pas l'observation visuelle. Si tu ne passes pas par l'étape Dobson, tu pourras réunir plus rapidement les 1500 €. Donc disons que mon plan va retarder tes débuts dans l'astrophoto. Avantage de ce que je propose : si au bout du compte la photo ne te tente pas plus que ça, tu n'auras pas dépensé une grosse somme pour une éventualité qui, finalement, ne se sera pas produite (car dépenser 1500 €, c'est plus risqué que 500 €). Mais si l'astrophoto est un objectif très important pour toi, je comprends que tu sois plus attiré par la lunette. Il faut aussi écouter ses envies, même quand elles ne sont pas rationnelles.
  2. Philou du Gard, reviens, tu vas perdre ton sujet !
  3. C'est plus que vaste : ciel profond et planétaire, autant dire observation tout court. Philou du Gard : tu as quoi, comme oculaires ?
  4. Il existe en effet des renvois coudés au coulant 50,8 mm. Attention, tous les télescopes ne conviennent pas pour ce coulant (normalement c'est OK avec les Schmidt-Cassegrain, mieux vaut quand même avoir confirmation). Pourquoi veux-tu utiliser des oculaires 50,8 mm ? Ils sont plus coûteux, il faut une bonne raison pour les choisir, par exemple pour maximiser le champ sur le ciel.
  5. Le pointage aux coordonnées se fait avec la méthode du pointage différentiel ( sauf sur une monture disposant de grands cercles de coordonnées, c'est-à-dire une vieille monture d'observatoire) : on pointe une étoile proche de la cible, on regarde les coordonnées inscrites sur les cercles, puis on se déplace du différentiel. Par exemple la galaxie d'Andromède est à 0h27m O et 5,4° N de Mirach, eh bien après avoir visé Mirach on se déplace de 0h27m sur le cercle des angles horaires (ou des ascensions droites) et de 5,4° sur le cercle des déclinaisons. Si la monture permet de bloquer le cercle des angles horaires sur la monture, on a le temps, le cercle va tourner en même temps que le ciel. Si ce blocage n'est pas prévu, il faut procéder le plus vite possible (en gros une minute si on a installé un grossissement suffisamment faible). Mais attention, cette méthode n'est pas adaptée à la grande majorité des montures faute de cercles précis.
  6. Il suffit d'appliquer une inversion miroir à l'image finale avant de la poster.
  7. Je trouve qu'on se prend un peu trop la tête avec ces histoires de matériel adapté à un type d'objet en particulier. Processor veut s'initier à l'astrophoto avec du matériel nomade, la question ne se pose donc pas vraiment. Il fera ce qu'il pourra avec le matériel en question (l'astrophoto nomade, a priori c'est de la courte focale, car en longue focale il faut une monture adaptée, donc lourde). Et les deux galaxies qu'il a citées ne sont pas des petites galaxies, donc c'est compatible.
  8. Quand j'étais jeune j'ai eu un 115/900 équatorial et je pouvais pointer partout, y compris au zénith. Du coup j'ai tendance à préférer la lunette 90/900 équatoriale. Après, tous les instrument ont leurs avantages et inconvénients.
  9. Ah oui, finalement les plus beaux objets peuvent être tentés ! C'est vrai qu'un filtre UHC est alors très utile.
  10. Qu'est-ce que vous observiez et qu'est-ce que les gens appréciaient ?
  11. Le C6 Evolution est effectivement drôlement cher, et apparemment à cause de sa monture puisqu'on le trouve nettement moins cher sur une monture plus ancienne : https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/instruments-complets-1/celestron-nexstar-evolution_detail https://www.pierro-astro.com/materiel-astronomique/instruments-complets-1/télescope-nexstar-6-slt-celestron_detail (2100 vs 1100 €, c'est étonnant !)
  12. OK, donc 5 minutes par personne = 45 minutes, et 1h30 si on veut réobserver une deuxième fois. La nuit va passer vite ! Voici une proposition d'organisation (si votre guide n'a pas déjà préparé quelque chose), juste pour le plaisir d'imaginer une soirée là-haut − Vénus de 21h00 à 21h45 pour s'habituer à l'engin (regarder au bon endroit, faire la mise au point, tout ça). − Albiréo de 21h45 à 22h30 pour patienter pendant que la nuit tombe. Pause. − NGC 6543 (nébuleuse de l'Œil de Chat) de 23h00 à 23h45. − NGC 7027 de 23h45 à 00h30. Pause. − NGC 7009 (nébuleuse Saturne) de 00h45 à 1h30. Pause. − Saturne de 1h30 à 02h15 puis de 02h15 à 03h00. Pause (ou troisième coup d'œil). − NGC 7662 (la Boule de Neige Bleue) de 03h15 à 04h00. − Jupiter pour le reste de la nuit. Elle sera encore visible au lever du Soleil, et d'ailleurs dans de meilleures conditions (au plus haut). Je viens de vérifier : la Tache Rouge défilera devant vous entre 3h et 7h, ça tombe très bien ! Si le ciel est stable, Saturne et Jupiter en seront les incontestables vedettes ! (Dans ce cas, sacrifier le reste...) (J'ai vérifié les brillances de surface : NGC 7026 n'est pas si brillante. Par contre il ne faut pas oublier NGC 7009 qui ressemble à Saturne et qui fait partie de l'histoire. Enfin, qui ressemble à Saturne si le ciel est noir. Mais elle devrait montrer son anneau.) --------------------- Après réflexion je pense qu'il serait judicieux d'inclure M13. Même avec la Pleine Lune, dans un gros télescope il sera très intéressant à observer, d'autant que peut-être un certain nombre d'entre vous n'ont jamais vu d'amas globulaire (mais si vous avez tous vu M13 avec un télescope moyen lors d'une nuit sans Lune, ça aura moins d'intérêt). Donc je remplace NGC 7027 (très lumineux mais très petit) par M13.
  13. Attention qu'ils seront plusieurs à observer. Du coup, insister sur Saturne et Jupiter, ça me paraît jouable. Ça dépend combien ils seront. Benjt : vous serez combien, deux ? cinq ? dix ? En tout cas, je maintiens l'idée que sur Saturne et Jupiter, il faut prendre son temps, surtout avec un gros télescope. Donc ça ne me choque pas de passer la soirée essentiellement sur ces deux planètes, quitte à faire une escapade sur Uranus ou une ou deux étoiles doubles (mais les étoiles doubles, on les voit en plaine) ou − mieux − quelques petites nébuleuses planétaires brillantes (demander NGC 6543, NGC 7026, NGC 7027 puis NGC 7662 dans cet ordre). S'ils sont quatre et passent un quart d'heure chacun sur Jupiter, puis de nouveau un quart d'heure, ça fait au total deux heures. Et si les images sont à la hauteur, il me semble qu'ils ne s'ennuieront pas durant tout ce temps. Mais il faut passer toute la nuit jusqu'à l'aube, les touristes comme le guide.
  14. Oui, et seulement le miroir primaire : c'est de ça qu'on parle depuis vendredi, pas d'un télescope complet. (Je dis pour préciser qu'on est tous d'accord : tu parles d'un télescope à 200 000 € ce qui confirme le primaire à 100 000 € dont parlait initialement Astroced69.)
  15. Dans le n°70 d'Astrosurf Magazine est décrit le télescope de 1 mètre de C2PU. L'article indique que le miroir a été poli par D. Vernet (un spécialiste) pendant 16 mois.
  16. OK, donc voici probablement votre programme : − Vénus au coucher du Soleil (~ 21h), juste pour le fin croissant. − Saturne après minuit. Elle devrait être placée au mieux vers 2-3 h. Jeter un œil sur Neptune pour voir son disque minuscule et Triton. − Et ensuite Jupiter. Elle sera placée au mieux à l'aube. Jeter un œil sur Uranus pour voir son disque minuscule et ses trois principaux satellites. Prenez votre temps pour examiner les images à l'oculaire ! Les détails des planètes (en l'occurrence Saturne et Jupiter) ne se révèlent pas à première vue mais lors de « trous de turbulence », de courts instants où l'image se stabilise et où, soudainement, de nombreux détails apparaissent. Observer une planète avec un gros télescope à travers l'atmosphère (le télescope amplifie les défauts de l'atmosphère), c'est comme regarder un truc au fond d'une piscine, l'image ondule voire bouillonne. Mais de temps en temps les mouvements de l'eau cessent : c'est le bon moment et il faut être présent !
  17. J'allais le dire : pour Saturne, c'est très bien. Et ensuite il y aura Neptune, puis Jupiter en fin de nuit et enfin Uranus. À travers un gros télescope, il y a de quoi faire des observations qu'on ne peut pas faire avec du matériel courant à la maison, là ça vaut le coup (à condition que le ciel soit stable). (Et dès le coucher du Soleil il faudra pointer Vénus car elle sera dans sa configuration la plus spectaculaire : très proche de la Terre et en tout fin croissant. Mais ça, on peut l'observer avec notre petit matériel à la maison.) Bref ce sera intéressant si vous avez pouvez utiliser les télescopes de l'observatoire. On est bien d'accord que « accéder aux télescopes » signifie « pouvoir regarder dans les télescopes » ? Qui les manipulera, le guide ?
  18. Le télescope Fullum de 1 mètre coûte 165 000 $, donc ça confirme l'ordre de grandeur d'un miroir de 1 mètre à 100 000 €. Comme je le disais plus haut, à ce niveau de diamètre il y a probablement d'autres difficultés qui justifient un prix plus grand. Vous en avez d'ailleurs détaillées quelques-unes.
  19. Est-ce que tu auras accès au télescope de l'observatoire ? Si oui, ça peut être intéressant s'il est de diamètre conséquent et si, de plus, le ciel est stable : il y aura des planètes à observer en août prochain, notamment Saturne, puis Jupiter en fin de nuit (et aussi Uranus et Neptune).
  20. Ce que je disais sous-entendait de garder le 30 mm à grand champ : il aurait mieux valu mettre un 10-12 mm à grand champ à la place du 20 mm à grand champ. Ça aurait donné trois grossissements qui me semblent mieux répartis : ×40, ×100 (ou ×120), ×200 (ou ×240).
  21. J'ai eu un Dobson 200/1200 pendant quelques années et j'ai utilisé différents 200 mm pendant quinze ans. En fonction de cette expérience, je dirais : − Fort grossissement = oculaire de 5 mm (×240), éventuellement un bon 4 mm si le ciel est souvent stable (×300). − Très faible grossissement = un des oculaires que tu cites, à condition d'avoir accès à un ciel parfaitement noir. J'ai vu à l'œuvre un Nagler 31 mm sur un Kepler 200/1200 (pas le mien) et c'était très intéressant ! Mais savoir que l'oculaire coûtait plus cher que le télescope, ça fait bizarre... Cet oculaire déséquilibrait complètement le télescope, il faut y ajouter des contrepoids qu'on pose sur l'arrière du tube. Pour l'oculaire à grand champ, qui va probablement être coûteux, je pense qu'il vaudrait mieux que tu essaies (lors de rassemblements d'astrams) car il peut y avoir de la coma (d'un côté F/D = 6, ce n'est pas trop petit, mais d'un autre côté vu vas avoir 2° de champ...) ou de la courbure de champ. Et ça vient tu télescope, pas des oculaires.
  22. Comme dit plus haut, les télescopes sont les mêmes, ce sont les accessoires qui changent. Sky-Watcher 200/1200 : https://laclefdesetoiles.com/dobson/2367-dobson-sky-watcher-skyliner-classic-200-2031200.html Il est livré avec deux oculaires 25 et 9 mm classiques, et il y a un chercheur droit. C'est la base, c'est parfaitement opérationnel même s'il manque un plus fort grossissement (acheter plus tard un oculaire de 5 ou 6 mm par exemple). Kepler 200/1200 : https://www.telescopes-et-accessoires.fr/dobson-kepler-gso-203-1200-c2x30248706 Il est livré avec deux oculaires 30 mm et 9 mm. Le 30 mm est un oculaire à grand champ (70°). Le chercheur est coudé (redressé ? j'espère !). La mise au point est démultipliée (1/10). Il y a un ventilateur. Ce sont des accessoires plutôt haut de gamme qui justifient le prix. Mais, s'ils sont utiles, ils ne sont pas indispensables. Stelvision 200/1200 : https://www.stelvision.com/astro/boutique/telescope-stelescope-200/ Quand on regarde la photo en détail, c'est le même que le Kepler mais il est un petit mieux équipé : deux oculaires à grand champ de 30 mm et 20 mm avec un porte-oculaire démultiplié, un chercheur droit, un œilleton de collimation, un ventilateur et même une Barlow ×2 au coulant 31,75 mm donc qui ne pourra servir qu'avec le 20 mm. Ces accessoires sont intéressants, mais à la place du 20 mm, trop proche du 30 mm, il aurait mieux valu mettre un 10 ou 12 mm afin d'avoir un fort grossissement. Bon, tu préfères dépenser moins pour un matériel basique, ou dépenser un petit plus pour avoir des accessoires utiles mais non indispensables ? Les deux options se valent, le choix est subjectif. (Je préfère le matériel basique quitte à ajouter des accessoires plus tard. Par exemple, pour des raisons subjectives, je n'aime pas utiliser de Barlow, j'ai donc besoin de trois oculaires. Mais je comprends que d'autres personnes puissent apprécier le meilleur équipement du Kepler ou du Stelvision, pour guère plus cher après tout.) Puisque ces trois offres sont toutes aussi intéressantes, je préconise d'acheter celui qui est proposé dans le magasin le plus proche, si tu peux t'y rendre. Voilà, c'est un bon critère, non ?
  23. Je vais vous raconter une anecdote... (Je vais être long, la conclusion est tout en bas.) La première fois que j'ai observé le ciel, j'avais quatorze ans, c'était l'été, et chaque soir il y avait une « étoile » très brillante qui se couchait. Cette étoile est restée pour moi un mystère durant un peu plus de trois ans (jusqu'à ce que j'apprenne à calculer les positions des planètes sur un petit ordinateur en Basic). Après avoir découvert la Lune, j'ai pointé ma lunette 60/700 sur cette étoile, pensant qu'il pourrait s'agit de Vénus (d'après mes lectures). J'ai toujours pris des notes, allons les chercher... − 1ère observation : « J'aperçois à gauche du Bouvier, près de l'horizon, une étoile très brillante. Une planète ? Ça n'y ressemble pas. » (pas plus de détail...) − 2ème observation : « L'étoile brillante qui se couche serait-elle Antarès ? À ×117 on voit un tout petit diamètre. Vénus ? Oui mais on a est dans la région d'Antarès. Pendant quelques instants, j'ai vu au ×117 : [un croquis avec trois satellites galiléens alignés, je ne les ai visiblement pas reconnus]. » − « Vu ensuite l'étoile brillante près de l'horizon Est. Elle est rougeâtre et il n'y a pas de satellites. Antarès ? Mais elle me semble trop brillante. » (J'ai confondu Est et Ouest.) − « Observé l'étoile brillante à l'horizon Est. En rentrant, je constate que j'ai oublié d'enlever le filtre Moon. » (Pareil : c'est Ouest, pas Est.) − « Je veux savoir une bonne fois pour toutes si, à l'horizon Est, il s'agit d'Antarès ou de Vénus (ou Jupiter). Je ne vois pas de diamètre avec le ×40. Je passe au ×117 mais l'étoile est maintenant trop basse. » − « Vu cette étoile qui est peut-être une planète. Il ne fait pas encore nuit. Ce n'est pas Antarès : elle est plus brillante que toutes les étoiles. Je ne vois pas de satellites autour, j'en conclus que c'est Vénus. On ne voit pas de phase, mais c'est possible si elle est "pleine". » En fait c'était Jupiter, il n'y aucun doute aujourd'hui. Pourquoi je ne l'ai pas reconnu : Le plus important : je n'avais jamais vu de planètes. Même si mes yeux ont vu un petit disque, mon cerveau ne l'a pas vu. J'ai vu une fois les satellites, ça m'a quand même intrigué puisque j'ai fait un croquis, mais je n'ai pas fait le rapprochement (en plus je ne les ai pas revus). J'ai vu aussi le petit disque, mais une seule fois, ensuite je n'en ai plus tenu compte, en fait je pense que je n'ai pas cherché à vérifier s'il y avait un petit disque : j'ai regardé trop vite. Je n'ai pas observé cet astre dans de bonnes conditions. Le coup du filtre Moon était une bêtise (je débutais, je regardais surtout la Lune, et j'étais persuadé que puisqu'il y a un filtre pour la Lune, il fallait l'utiliser, sauf que j'avais tendance à oublier de l'enlever). Mais aussi j'ai observé cet astre lorsqu'il était très bas, et à la fin il se couchait au crépuscule donc en plus il ne faisait pas nuit noire : voilà pourquoi je n'ai pas vu les satellites (à part au début, quand l'astre était visible devant un ciel plus sombre). Si j'avais été dans un club, tout se serait éclairci dès la première soirée : c'est Jupiter, mets le ×117 et retire le filtre Moon, et basta ! Conclusion : quand on débute, on ne sait pas quels sont les inconvénients d'observer bas et devant un ciel encore clair, et il est tout à fait possible qu'on ne reconnaisse pas une planète la première fois parce qu'on ne sait pas à quoi ressemble une planète. En particulier beaucoup de débutants ne savent pas qu'une planète, à l'oculaire, c'est tout petit (c'est plus tard, avec l'expérience, qu'ils réaliseront que ce n'est pas si petit que ça).
  24. Est-ce qu'il aura un site d'observation ? Est-ce qu'il sera en ville ou en rase campagne ? Est-ce qu'il se déplacera en voiture jusqu'au site d'observation ? Ce sont des questions très importantes car l'observation astronomique est contraignante , en particulier on perd énormément à observer en ville, il faut autant que possible se déplacer à la campagne (sauf si on y habite). Il faut donc tenir compte de certains critères pratiques comme l'encombrement du matériel. Est-ce que tu as réfléchi à ces questions avant de sélectionner ces deux télescopes de Newton sur monture équatoriale ? Si oui, le Sky-Watcher 130 mm est une possibilité pour démarrer dans l'observation astronomique, c'est un modèle qui a fait ses preuves. Si j'ai bien compris ce que sous-entendu Stafffy, le 150 mm aurait une monture insuffisante, ce qui peut rendre l'utilisation pénible.
  25. Ce que je comprends : quand la mise au point n'est pas faite, tu vois le disque blanc avec l'ombre de l'araignée. − Quand tu réduis ce disque blanc, tu finis par voir un point blanc --> bingo ! C'est ça qu'il faut obtenir. Vénus est toute petite actuellement, et sans véritable phase (elle est à 85%), c'est pourquoi avec un faible grossissement (et peu d'expérience) tu croiras voir juste un point blanc. − Quand tu avances et recules le porte-oculaire, tu revois le disque blanc avec l'ombre de l'araignée -−> pas bon, ce n'est pas au point. Quand Vénus est toute petite et te semble être juste un point blanc, examine-là attentivement. Tu es sûr de voir juste un point, pas un minuscule disque blanc (le disque de Vénus) ? Si c'est vraiment un point, augmente le grossissement. Et Jupiter, c'était aussi un point blanc ?
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