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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. C'est aussi mon impression.
  2. Ça me fait un peu penser à ma situation. En 2011 j'ai dû déménager et, pour diverses raisons, c'était dans un petit appartement au troisième étage. J'avais un Dobson 495 mm mais je ne pouvais plus l'utiliser (heureusement j'avais aussi le petit 300/1200). J'ai réfusé de le revendre parce que je savais qu'un jour je re-déménagerai dans un endroit favorable. Le revendre puis en racheter un nouveau, c'est de l'argent perdu, surtout que c'était l'achat d'une vie. Tant pis, il dormira en attendant... En 2020 j'ai déménagé dans un endroit favorable. Et c'est seulement cette année que j'ai fait réaluminer le miroir. J'ai pu ressortir le 495 mm cet été, c'est reparti ! Il m'a manqué... Je te souhaite la même chose, en espérant que tu attendes moins d'années que moi !
  3. Si on parle juste d'observation visuelle, la plupart des télescopes sont polyvalents. Parfois j'ai l'impression qu'on se pose trop de questions. On peut débuter avec bonheur avec un petit Newton, une petite lunette, un Maksutov, un Dobson, etc. Plutôt que de se creuser la tête à chercher *le mieux*, je trouve plus judicieux d'acheter quelque chose et d'observer avec. Ce qui compte c'est d'observer, et après on verra... ----- Valou34 : tous les accessoires sont utiles, aucun n'est indispensable. Là c'est une facilité pour la mise au point. Ce n'est pas indispensable, mais si tu trouves un modèle équipé avec cet accessoire, c'est utile.
  4. Voilà un test très intéressant car ces trois instruments, en théorie, devraient avoir le même potentiel (même si on n'est pas surpris que la 80 ED soit meilleure). Si j'ai bien compris, le Newton s'en sort très bien tant qu'on ne grossit pas trop fort, mais sur les très forts grossissements il est en retrait. Au final, tous grossissements confondus, il montre moins de choses sur Jupiter ou bien autant ? Du coup tu revends tout et tu achètes une 100 ED !
  5. Non, non. Ce télescope est tout à fait polyvalent, tout autant que la lunette 80 ED, et le F/D n'a rien à voir. Ce serait en effet intéressant de comparer les vues à l'oculaire (ciel profond et planètes) de l'un et l'autre.
  6. Puisque le texte ne t'intéresse pas tant que ça, tu peux trouver la liste des objets de J'observe le ciel profond (excellente liste, homogène et exhaustive, ce qui est très rare) sur le site de l'auteur : http://60mm.free.fr/fr/objects_list.php?liste=JobserveLeCielProfond&book=1
  7. En fait, le meilleur livre qui répond à la question n'est plus édité : c'est J'observe le ciel profond, de J.-R. Gilis. Il y avait d'autres livres en français, comme Splendeurs du ciel profond, édité seulement numériquement. Mais je crois qu'aujourd'hui il n'existe plus de guide d'observation en français. Les livres d'O. Gadal sont juste des listes avec des photos. Par contre il existe de très bons guides en anglais. Je connais le livre de S. French et je le trouve très bien, c'est peut-être ce qui se fait de mieux pour un observateur visuel moyennement équipé.
  8. Oui, c'était le lien indiqué par MichelB. Je ne possède pas ce livre, mais je note : Contenu 145 galaxies 60 amas ouverts 31 amas globulaires 60 nébuleuses diffuses 80 nébuleuses planétaires Les nébuleuses y sont sur-représentées, ce qui suggère que le livre s'adresse autant aux observateurs visuels qu'aux astrophotographes. Attention de bien faire le tri. (Inversement les amas d'étoiles y sont sous-représentés, dommage !) En tout cas c'est une bonne idée de se documenter à l'aide de livres ! ----------- Entièrement d'accord ! Mais c'est peut-être trop ambitieux par rapport aux besoins de Soulearth ?
  9. Tu parles du quel ? Il y a un des deux livres qui est illustré par des dessins et l'autres par des photos.
  10. Attention, peu importe que le jardin ne soit pas éclairé, ce qui compte c'est le ciel : est-il éclairé ? Dans la région lilloise, il est forcément très éclairé. C'est ça la pollution lumineuse. Sinon, j'aime bien la proposition de Jeap.
  11. Je crois qu'il s'agit plutôt de : 2,1 + 5 x log diametre Cette formule est très approximative et je déconseille de l'utiliser. La bonne formule est : m(lim) = m(œil nu) + 5 x log (D/6) où D est le diamètre du télescope en millimètres. C'est en supposant que la magnitude à l'œil nu est de 6,0 qu'on trouve le coefficient 2,1.
  12. La pupille de sortie, c'est D/G. Avec un 114/900, un grossissement de 228 fois donne bien une pupille de sortie de 0,5 mm. C'est un 114/900, c'est de l'entrée de gamme mais ce n'est pas si mauvais. J'en ai eu un, j'avais de bonnes images lunaires à 150 fois (6 mm), mais j'aimais bien aussi utiliser un grossissement de 90 fois (20 mm + Barlow). Je dirais qu'on doit pouvoir grossir 1 fois le diamètre. (C'est avec un 114/1000 catadioptrique qu'il ne faut pas compter dépasser les 50 fois). En tout cas, plutôt que se poser des questions, il faut observer !
  13. Bonjour ! Réponse : non, puisque les oculaires sont interchangeables.
  14. La magnitude limite d'un télescope, c'est la magnitude de l'étoile la plus faible que ce télescope permet de voir. Cette définition étant rappelée, je pense que ça répond à la question. Cette notion concerne l'observation visuelle, pas la photo. Donc elle est valable aussi sur des télescopes professionnels à condition que l'observation visuelle soit possible, ce qui n'est pas le cas pour les télescopes pros modernes.
  15. Bonjour ! Mon opinion : J'ai peur qu'il fasse double emploi avec le 18 mm car le champ sur le ciel ne sera guère plus grand (1°35' vs 1°14'). Dans cette gamme, c'est le 34 mm que je choisirais (quitte à attendre un peu s'il coûte plus cher) : ce sera à la fois le plus faible grossissement possible et presque celui qui donne le plus grand champ sur le ciel (ici 1°55' : là ça ne fait plus double emploi). Il faudra juste vérifier qu'un tel champ est utilisable (coma ? vignettage ?) mais je suis assez optimiste car j'ai connu quelqu'un qui utilisait un Nagler 31 mm sur un 200/1200 (2°07' de champ !) et c'était pour ainsi dire son oculaire favori. Après, Nagler, c'est la gamme au-dessus... Mouais. Guère plus de champ sur le ciel que le précédent (mais plus, c'est vrai : 1°44'), et un champ apparent un petit peu plus petit. Pourquoi pas si c'est une question de budget. Pour moi aucun intérêt. Cet oculaire donnera 1°20' de champ sur le ciel : il fera vraiment double emploi avec le 18 mm. Sachant que ce 18 mm à 82° a des chances de devenir ton oculaire préféré, tu risques de ne plus pouvoir revenir à un champ apparent de 50°. En tout cas, moi, depuis que j'ai découvert l'observation à grand champ apparent, je ne peux pas. Et là ce sera pour avoir le même champ sur le ciel, mais avec moins de résolution et un fond lumineux, pas possib' ! ----- Il s'agit juste de mon avis (mais j'ai donné des raisons). Tu remarques que je m'attache plus au champ sur le ciel qu'au grossissement. C'est parce que, pour moi, une longue focale sert plus à avoir un grand champ sur le ciel qu'un faible grossissement. Mais c'est sûrement un peu subjectif...
  16. Il y a plus de dix ans j'avais un Antares Speers-WALER 18 mm (82°), qui était au coulant 31,75 mm.
  17. Ah, je ne savais pas que le 18 mm était au coulant 50,8 mm (pour des raisons géométriques il aurait pu être au coulant 31,75 mm). Du coup ça peut valoir le coup, en effet, de chercher une focale encore plus longue si tu aimes le grand champ. Pour capter le maximum de lumière, il faut le plus grand diamètre de télescope possible. C'est à l'entrée de l'entonnoir que ça se joue, pas à la sortie. Le coulant n'a rien à voir. Un plus grand coulant sert à avoir une plus grande focale pour un champ apparent donné, ou un plus grand champ apparent pour une focale donnée. Toutes choses étant égales par ailleurs, oui, mais c'est quand même plutôt négligeable. Mais ça dépend aussi des traitements des lentilles. 5 lentilles avec un traitement à 98 %, ça retransmet 90 % de la lumière ; 7 lentilles avec un traitement à 99 %, ça retransmet 93 % de la lumière. En fait on se rend compte que, en général, les oculaires haut de gamme transmettent mieux que les oculaires bas de gamme. Ça fait partie des qualités qui expliquent leur prix. Je pense qu'il ne faut pas trop chercher midi à quatorze heures : les oculaires haut de gammes sont bons, les oculaires très haut de gamme sont très bons, et les oculaires de gamme moyenne sont... moyens. Prends ce que tu trouves selon ton budget.
  18. Le 18 mm (82°) n'est pas loin du plus grand champ possible au coulant 31,75 mm (1°13' contre 1°22'). Ce serait moi, je ne chercherais pas d'oculaires au coulant 50,8 mm (ça augmente le prix des filtres, ça complique les manipulations) mais plutôt une focale moyenne. Entre le 6 et le 18 mm, il manque un 10 mm qui sera utile sur la majorité des objets du ciel profond).
  19. Tu es sûr ? Je n'ai pas vu mentionné que le prix concernait les sept, mais j'ai peut-être regardé un peu vite.
  20. OK, donc le 15 mm et le 6 mm ne remplaceraient pas les oculaires d'origine, ils les complèteraient. Dans ce cas, je trouve les focales bien choisies. Ensuite, il y a une multitude de possibilités selon ton budget. Les oculaires Celestron X-Cel LX sont moins chers dans les magasins d'astronomie : https://www.astronome.fr/produit-oculaires-celestron-x-cel-lx-Prix-0-euro-id-2372.html
  21. Quels sont les oculaires livrés avec le télescope ?
  22. Pour utiliser un chercheur droit, on vise une étoile comme on le ferait avec des jumelles, sauf qu'il y a tout un télescope attaché derrière... Une technique qui marche bien est d'ouvrir les deux yeux : il faut faire coïncider l'étoile vue dans le ciel avec l'étoile vue au chercheur. Une fois l'étoile centrée au chercheur, on prend l'atlas et on l'oriente comme l'image du chercheur (il faut donc commencer par reconnaître les étoiles vues au chercheur). On peut alors faire du cheminement étoile par étoile. Avec l'habitude, ce n'est pas compliqué, à condition d'être méthodique, en particulier de bien reconnaître comment l'image est orientée (elle ne l'est jamais comme prévu...) Les pointeurs (Telrad, point rouge, etc.) permettent de viser une région du ciel à l'œil nu, ce qui peut être rapide à condition de viser un objet brillant. Il faut voir suffisamment d'étoiles à l'œil nu, donc c'est bien adapté lorsqu'on dispose d'un ciel bien transparent. Si on a les deux, on commence par viser le champ au pointeur, puis on regarde dans le chercheur à quoi ça ressemble et on peaufine. Beaucoup de gens, je crois, apprécient d'avoir les deux.
  23. Les coordonnées équatoriales sont fixes. Mais bon, fixes ou non, ce n'est pas un problème puisque la manipulation des cercles se fait en une minute en étant large. Une fois le télescope orienté vers l'astre, on n'a plus besoin des coordonnées.
  24. Zut, tu as répondu avant que je change mon message. Je l'ai changé parce que je me suis souvenu que Julien utilise déjà un 130 mm équatorial, du coup il a peut-être déjà utilisé le pointage aux coordonnées.
  25. Est-ce que tu fais du pointage aux coordonnées avec le 130 mm ? Ce serait intéressant car à peu près plus personne n'utilise cette technique aujourd'hui.
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