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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. Une erreur courante lorsqu'on débute, c'est de croire que pour voir plus de détails il faut grossir. C'est faux ! On verra les mêmes détails, mais en plus gros. C'est comme lorsqu'on zoome sur une photo : à force de zoomer on verra les pixels, pas des détails supplémentaires. Pire : grossir diminue les contrastes. L'image est plus fade, plus terne. Il y a donc un juste milieu à trouver entre une image lumineuse et contrastée, mais minuscule, et une image plus terne mais plus grosse. C'est en partie subjectif et c'est l'expérience qui nous dicte ce grossissement de juste milieu. Moi, par exemple, je préfère une image petite, contrastée et colorée, mais je sais que d'autres personnes ont besoin d'avoir une image plus grosse pour voir les détails (les mêmes, hein !) avec plus de confort. L'oculaire que tu comptes acheter (si ce n'est déjà fait) fournit un grossissement raisonnable, mais il faudra peut-être plusieurs soirées avant qu'il apporte vraiment quelque chose (souvent, la turbulence atmosphérique limite le grossissement maximal). Ne te décourage pas si tu as l'impression que Saturne est pire avec lui (et attends qu'elle soit la plus haute possible !)
  2. La moulinette fait de son mieux : ce3k a dit qu'il veut faire un peu de photo aussi. C'est pour ça qu'elle ne propose pas de Dobson.
  3. Bonjour ! Ça n'apporterait pas plus de lumière puisque la quantité de lumière dépend du diamètre du télescope. Ça apporterait plus de champ à condition que l'élément 24,5 mm ne diaphragme pas ce champ. J'explique sur un exemple. Au coulant 24,5 mm, un oculaire de 30 mm ne peut pas avoir plus de 40° de champ apparent. Si tu possèdes un oculaire 31,75 mm ayant 52° de champ apparent, avec ce montage tu seras en fait limité à 40° parce que la partie du renvoi coudé qui fait 24,5 mm le limite à 40°. En gros, il faut considérer que l'oculaire 31,75 mm sur sa bague 31,75/24,5 est un oculaire au coulant 24,5 mm. C'est sur de plus courtes focale que ça permettra d'utiliser un oculaire 31,75 mm sans perte de champ apparent.
  4. Tu confirmes que le pointage automatique a re-fonctionné sur le ciel profond après la tentative sur les planètes ?
  5. Juste pour être sûr : tu as testé sur un astre (étoile ou planète), pas sur un objet terrestre ?
  6. Sinon, il me semble que les Dobson « goto » ont un suivi. C'est vrai que les deux sont des accessoires très utiles : le pointage automatique parce que pointer est en général la première difficulté lorsqu'on débute, et le suivi est un confort appréciable.
  7. Je n'ai rien compris, mais l'essentiel est qu'une solution a été trouvée !
  8. Avec un site pareil, tu pourrais viser un Dobson 300 mm, ça rentre dans le budget. C'est lourd et encombrant, mais si on porte séparément chaque élément, c'est peut-être jouable, quitte à utiliser un diable si le trajet est long. L'intérêt, c'est qu'un 300 mm en montre nettement plus qu'un 200 mm (et un 400 mm encore nettement plus, mais là ça dépasse le budget...) Ce qui améliore l'observation, c'est le diamètre du miroir. Le reste, à part les oculaires, est utile mais non indispensable. Les objectifs, c'est-à-dire les oculaires, sont indispensables puisque sans eux le télescope est inutilisable. Mais tu peux les acheter au fur et à mesure. Sur un télescope ayant un F/D de 5 (Dobson 250 ou 300 chinois) un choix possible est d'utiliser trois oculaires de 20-25 mm, 10-12 mm et 5-7 mm (environ). Les outils de collimation sont utiles, mais on peut collimater sans. Ce qui est important, c'est qu'il ne faut pas collimater si c'est déjà collimaté. En particulier, quand tu reçois le télescope, tu peux te passer de le collimater, il y a de grande chance qu'il le soit déjà (ou presque). La collimation est un réglage permettant d'optimiser les observations. Quand on sait la faire, il faut la faire. Au début je trouve qu'il ne faut pas trop s'embêter avec (sauf si c'est à l'ouest). Les filtres, ce sont surtout les filtres interférentiels. Avec un 250 ou un 300 je choisirais un OIII, mais certains préfèrent un UHC, en fait le choix est subjetif (et plus tard on achètera le deuxième). Ça permet de mieux voir les nébuleuses diffuses et c'est efficace surtout sous un bon ciel. Le nombre d'objets concernés est limité, mais rien que pour les nébuleuses des Dentelles, ça vaut le coup (sous un bon ciel). Le correcteur de coma (j'essaie de deviner cette histoire de bordures...) est quasi indispensable à F/D = 4, et il vaut mieux l'avoir à F/D = 5, sans quoi les étoiles en bord de champ seront déformées (en forme de coma) avec l'oculaire de plus grande focale. Si tu n'as plus de sous après l'achat du télescope, tous ces accessoires sauf les oculaires peuvent s'acquérir plus tard.
  9. Je pense qu'Azyraphalle a vu ces deux étoiles-là alors qu'elles n'étaient pas sur sa carte des constellations. Il en verra sûrement d'autres. Quand je débutais, il m'est arrivé la même chose. Je me souviens surtout d'Epsilon de la Lyre : elle n'était pas sur ma carte ; je l'ai pointée à la lunette de 60 mm et elle était double ! Mais il y a dû en avoir d'autres, jusqu'à ce que j'utilise un bon atlas qui, lui, montrait plus d'étoiles que je n'en voyais.
  10. Ah, zut, au son de ta voix je t'ai cru plus jeune... Tous les accessoires sont utiles, aucun n'est indispensable. Est-ce que tu as un bon site d'observation ? Est-ce que tu devras te déplacer en rase campagne ou juste dans le jardin ? C'est parfois important pour le choix du télescope.
  11. Bonjour ! Pour évoluer en photo du ciel profond, je trouve que plutôt qu'améliorer le tube optique il est plus pratique d'améliorer le capteur. Tu utilises quoi comme capteur ? (APN ? caméra non refroidie ? refroidie ?) Je ne vois pas trop ce qu'apporterait le passage de 200 mm à 250 mm si la monture reste la même. Si tu as déjà un très bon capteur, l'idée du C11 pour les planètes et le visuel me paraît bonne.
  12. Tu veux dire ο¹ et ο² Cyg, je crois (Omciron-1 et Omicron-2). Ces deux étoiles sont parfaitement visibles à l'œil nu sous un ciel même dégradé, et il y en a plein d'autres dans le Cygne. Je pense que la carte que tu as consultée est loin de montrer toutes les étoiles visibles à l'œil nu.
  13. Institut : la vie est longue, tu peux faire du visuel durant quelques années puis de la photo durant les années suivantes. J'ai fait de l'imagerie CCD dans les années 90. Tout mon matériel était consacré à ça, il y a même eu une époque où je ne possédais qu'un oculaire et une Barlow pour faire du visuel de temps en temps. J'avais donc le matériel optimisé pour l'imagerie compte tenu de mon budget. Quand j'ai arrêté l'imagerie pour faire du visuel, j'ai tout revendu pour acquérir le matériel optimisé pour le visuel compte tenu de mon budget. Ainsi, à tout instant j'ai eu le matériel optimal. Ceux qui veulent faire les deux en même temps ne peuvent pas avoir ce matériel optimal. Il suffirait qu'ils acceptent de ne faire qu'une chose à la fois : une décennie d'astrophoto, une décennie de visuel par exemple. Et toi ? L'astrophoto, c'est un état d'esprit particulier. C'est une manipe scientifique : il y a des réglages précis à faire, des images de calibration, il faut savoir analyser ses échecs. Il faut pratiquer régulièrement, donc se donner le temps de le faire. Quand on installe le matériel pour l'astrophoto, c'est pour toute la nuit ou presque, on ne fait pas d'astrophoto sur le pouce. Pour progresser il faut être disponible, s'y consacrer à 100 %. Mais c'est passionnant ! Si cet aspect manipe scientifique te plaît, je pense que c'est une bonne idée de mettre l'astrophoto en priorité et tant pis pour l'observation visuelle. Mais si tu vois l'astrophoto − alors attention, ce que je vais dire sera probablement contredit par certaines personnes, c'est juste mon point de vue − comme une discipline artistique où il est question de couleurs et de cadrage (par exemple (*)), je ne suis pas sûr que dépenser des milles et des cents en matériel astrophoto soit la meilleure idée. (Mais bien sûr il n'y a que toi qui sais, ce que je dis est plutôt un pronostic.) Bref, si vraiment l'astrophoto t'attire (donc si tu es prêt à « sacrifier » un peu le visuel), je te conseillerais deux choses : 1) Acheter le livre de Th. Legault pour commencer. Avant de choisir le matériel, je trouve judicieux d'avoir une idée de comment on va s'en servir. 2) Acheter une monture HEQ5 avec soit un Newton 150/750 soit une lunette 80 ED. Le télescope et la lunette sont différents et n'ont pas les mêmes avantages et inconvénients, mais je ne peux en préférer un à l'autre. Aujourd'hui je voterais pour la lunette 80 ED, mais demain ce sera peut-être le Newton... (Je peux détailler leurs avantages et inconvénients, mais là j'ai la flemme et il est tard...) ------- (*) Je suis convaincu que le secret de la réussite, ce n'est pas le choix du cadrage ou l'équilibre des couleurs, mais le réglage du tilt et la qualité des flats. (Entre autres, hein )
  14. Méthode simple pour savoir si c'est la turbulence : − Pointe la Polaire avec un oculaire quelconque. − Défocalise à fond jusqu'à observer l'image du primaire avec l'ombre du secondaire au milieu. Défocalise encore plus : jusqu'à ce que cette image prenne presque tout le champ. − Si cette image est figée, il n'y a pas de turbulence, les planètes doivent montrer plein de détails. En général ce n'est pas figé : on voit des vagues, parfois ce sont de petits frémissements rapides, parfois de lentes ondulations. Sur mon 495 mm, récemment, j'ai vu comme des vagues d'air qui glissaient sur le miroir, ça faisait peur. Bref, c'est la turbulence, tout la turbulence (atmosphérique, thermique et éventuellement celle due à la présence de l'observateur). Si tu fais cette manipe systématiquement, tu finiras par reconnaître une turbulence modérée et une turbulence forte. Chaque fois que tu as un doute sur l'image, il faut tester toutes les hypothèses, et notamment la turbulence.
  15. Ben alors enlève une bague allonge ! Mais j'imagine que tu as testé toutes les possibilités. Il serait intéressant que tu détailles un peu plus. Par exemple, si tu utilises juste le renvoi coudé, dans quel sens les étoiles se rapprochent de la mise au point ? Quand on approche l'oculaire ou quand on le recule ?
  16. Avant de pointer les galaxies, c'est-à-dire les plus lointains objets qui soient, commence par plus simple. Des amas d'étoiles. Déjà, ne cherche pas des objets du ciel profond quand la Lune est levée (ou alors un petit croissant, là OK). En ce moment elle est pleine, il faut attendre quelques jours. Lorsque la Lune ne sera plus gênante, essaie M13, le grand amas d'Hercule. Normalement, tu dois voir une tache floue ronde à faible grossissement, et peut-être voir quelques étoiles à fort grossissement (selon l'intensité de la pollution lumineuse). Si tu as trouvé M13, tu peux essayer M5, M92 ou M15. Ou bien des amas ouverts. Essaie NGC 6633 qui devrait être facile pour ton matériel. Au 40 mm tu verras un joli groupe d'étoiles. Vois ce que ça donne avec le 13 mm, mais ça risque de grossir un peu trop. Si tu as trouvé NGC 6633, tu peux essayer d'autres amas ouverts : M23, M25, M11, NGC 6940, NGC 6910... (regarde aussi où ils se trouvent sur une carte pour être sûr qu'ils soient visibles, par exemple M23 et M25 seront couchés en cours de nuit). En fin de nuit, il faut absolument tu que vises le Double Amas de Persée, NGC 869 et 884, qui est une merveille même sous un ciel médiocre (du moins au 200 mm). Non, non, ce n'est pas ça le problème. La pollution lumineuse est due à l'ensemble des lampadaires situés à des kilomètres à la ronde qui éclairent l'atmosphère. Tu sais sans doute que l'atmosphère fait plusieurs dizaines de kilomètres d'épaisseur, donc est éclairé par toute les villes situées dans ce rayon. De chez moi dans un trou perdu de la campagne, je vois la pollution lumineuse causée par une grande agglomération située à 30 km au nord-est : de ce côté le ciel est plus clair. À mon avis, si tu es à côté de Montpellier tu ne dois pas avoir de bonnes conditions. Est-ce que tu vois la Voie Lactée (quand il n'y a pas de Lune, bien sûr) ? Si oui, M13 et le Double Amas devraient te plaire. -------------- J'oubliais : commence par vérifier le « goto » sur Saturne ou Jupiter (mais tu l'as peut-être déjà fait) puis sur quelques étoiles doubles : Albiréo, Ras Algethi, Gamma du Dauphin. Si on pointe des étoiles simples on ne peut pas savoir si l'étoile à l'oculaire est la bonne (ça se trouve c'est une étoile voisine...), mais avec une étoile double on est sûr : soit elle est double et c'est OK, soit elle n'est pas double et le « goto » est mal réglé.
  17. Ah oui, la 100 ED répondrait parfaitement à la demande, mais là ce n'est plus le même budget : 1000 € le tube seul...
  18. Attention, Loïc30 hésite entre une Sky-Watcher ED et une Vixen achromatique longue, pas ED. Et là ça ne me paraît pas évident... À diamètre égal, oui : la transmission des lunettes est toujours légèrement supérieure. Mais à tarif égal, ils ont en général un peu plus de diamètre, et là c'est faux. De toute façon pour observer les planètes ce n'est pas très important, c'est la résolution et le contraste qui sont importants, et qui dépendent du diamètre et de la qualité optique (d'où l'idée d'une très bonne lunette de petit diamètre, l'un compensant l'autre). Tu sembles avoir un budget d'environ 600 €, c'est le tarif du Maksutov 127 chinois sur EQ3-2. Mais pour un peu plus cher (un peu moins de 769 €) on trouve la lunette Bresser 127/1200 sur EQ5...
  19. Sur la première photo, j'ai l'impression de voir le joint autour du chercheur, juste en bas du collier. C'est bien lui ? Il faut le mettre à sa bonne place : autour de la gorge qui sera dans le collier. Ce schéma montre le joint : La flèche essaie de dire qu'il faut mettre le joint à l'intérieur du collier (mais bien à l'intérieur, pas juste au bord comme pourrait le suggérer la photo). Ça sert à ce que le chercheur garde son alignement. Et ensuite, il faudra aligner le chercheur, on peut le faire dans un premier temps en visant la Lune, puis on affine sur la Polaire qui ne bouge pas. C'est un préalable indispensable avant de dire « pointe Saturne, elle est visible vers minuit au sud-sud-est ». Mahou : bien vu ! Il faut démonter l'ensemble collier + chercheur est dévissant la vis de serrage de la queue d'aronde, puis retirer le chercheur et le mettre dans l'autre sens (en pensant à mettre le joint autour de la gorge qui sera dans le collier), puis remettre l'ensemble collier + chercheur dans le bon sens. (C'est beaucoup plus difficile à expliquer qu'à faire...)
  20. À mon avis, le plus simple pour évaluer les dégâts, c'est d'examiner l'image d'une étoile (ou d'une planète) vue avec ce télescope. Si on peut collimater comme avant, c'est que la chute n'a pas eu de conséquence (autre que celle sur l'aluminure dont parle 22Ney44 plus haut). Moralité (pour le lecteur qui passerait par là) : ne laissez jamais personne vous aider à transporter du matériel. Lors d'une soirée astro en club, par exemple, n'aidez pas les copains à démonter leur matériel à la fin. Je suis sérieux, d'ailleurs c'est un sujet qui avait été discuté au sein du club.
  21. Ils vont, dans le sens où ils s'emboîtent ? Si tu regardes le lien que tu as donné hier, il est bien précisé, en rouge, en bas, "ATTENTION", que ce réducteur n'est pas prévu pour les Edge, qui sont pourtant des Schmidt-Cassegrain. Il me semble que ces accessoires sont calculés pour un type précis de télescope. Par exemple il existe des réducteurs de focale pour les Mewlon (de Takahashi), et ils sont utilisables uniquement pour les Mewlon. Ah oui, ça me revient ! Effectivement dans ce cas ça pourrait marcher.
  22. Je prévois une extension de cet atlas qui allait jusqu'à la magnitude 6,5 : http://www.astrosurf.com/bsalque/batlas.htm . Ce que j'ai en tête, c'est d'aller jusqu'à la magnitude 12 mais uniquement autour des objets du ciel profond (ça me servira !) J'ai fait un essai avec l'amas de la Vierge et avec M24 (*). Les logiciels utilisés sont gfortran, GCC et ps2pdf. Les données sont extraites des catalogues du CDS avec divers petits programmes en Fortran, les cartes sont écrites en Postscript à l'aide d'un programme écrit en C (il a été amélioré depuis l'atlas m :6,5) puis converties en PDF. Bref, c'est fait maison. Avantage : je fais ce que je veux. ---------------- (*) Voici un scan de la carte de M24. J'ai ajouté des numéros aux étoiles pour un besoin précis, et j'ai tracé dessus, au crayon, les nébuleuses obscures et des chaînes d'étoiles (le dessin des nébuleuses est prévu, mais je dois taper leurs frontères à la main...). Ça donne une idée du projet : http://astrosurf.com/bsalque/Dessins/2022/carte-m-24.png
  23. OK, je suis convaincu à présent que ce n'est pas utile que j'insiste encore : tu as bien réfléchi à tout ça, tu sais ce que tu veux ! Mais je ne peux pas m'empêcher de chipoter : une structure Serrurier, c'est ça : des tubes à gauche, et des tubes à droite L'avantage, si j'ai bien compris, c'est que si la partie avant s'affaisse (de façon microscopique, hein) sous son poids, la partie arrière aussi,, et de la même façon (vu que les tubes sont positionnés en fonction du centre de gravité) : la collimation est préservée. (Voir https://en.wikipedia.org/wiki/Serrurier_truss ) C'est pour ça que je préfère parler de télescope démontable. Mais quelqu'un parlait plus haut (ou dans une autre discussion ?) de treillis et je ne serais pas surpris que ça soit le terme exact. Les Dobson démontables ont donc un treillis qui soutient la cage secondaire, tandis que les tubes de type Serrurier ont deux treillis de chaque côté du centre de gravité.
  24. Et il n'y a rien. Les erreurs de position sur les amas ouverts semblent fréquentes. Je suis justement en train de décortiquer, en ce moment, le catalogue de Dias : c'est un massacre, je dirais qu'un tiers des positions ne sont pas précises et un dixième complètement fausses. (C'est justement en vue de construire un atlas que je re-corrige tout ça.) Souvent elles sont justes dans Simbad, et je les corrige à partir de Simbad, mais pas toujours, parfois c'est même le contraire : Dias a raison contre Simbad (mais c'est assez rare). Je sais qu'un amas ouvert, pour un astrophysicien, n'est pas un amas ouvert pour un observateur amateur : pour l'amateur c'est un regroupement d'étoiles dans le ciel, pour l'astrophysicien ce sont des étoiles liées par la même distance et le même mouvement propre. De sorte qu'un ensemble d'étoiles indistinct peut très bien être un amas ouvert (une sorte d'amas invisible). C'est peut-être le cas de Teutsch 124, sauf qu'il y a un regroupement d'étoiles juste à droite et je parierais que c'est lui, l'amas. Quand je dis qu'il y a beaucoup d'erreur dans le Dias, c'est dans ce sens : souvent, il n'y a rien à la position indiquée mais il y a un amas juste à côté. (Parfois, mais moins souvent, il n'y a rien nulle part, donc là OK, ce n'est pas une erreur mais un amas invisible.)
  25. En fait vous parlez de la même chose : LH44 dit que les prix indiqués par Taurus sont HT. Vesper dit que les prix indiqués par Astroshop (qui sont supérieurs à ceux de Taurus) sont TTC. (Pendant les deux minutes qu'il m'a fallu à taper ce message, trois ou quatre messages ont été postés du coup je ne fais que les répéter...)
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