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'Bruno

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Tout ce qui a été posté par 'Bruno

  1. Oui.
  2. Pour ça, le site d'observation est très important. Quel sera le site d'observation ? (jardin en plein Nice ? balcon ? rase campagne ?) Mais je pense que tu dois ouvrir ton propre sujet, puisque tu as trouvé le magasin.
  3. 'Bruno

    Tube planétaire

    Tout à fait d'accord ! Moi non plus je n'ai toujours pas compris la phrase lapidaire de Lyl (je suis mauvais en sous-entendus). Au début je pensais que c'était la petite lunette qui donnait les meilleures images, mais avec les interventions suivantes je crois que c'était le contraire. Bon, c'est comme une sorte de jeu à énigmes avec des indices dans les messages...
  4. Pour l'équilibrage, je fais pareil, je trouve plus facile de jouer sur la position de la queue d'aronde que d'ouvrir les colliers, déplacer la lunette puis refermer les colliers. Mais, la prochaine fois, pense à placer la lunette plus en arrière dans les colliers. L'élément le plus lourd est la lentille avant, donc il faudrait reculer la lunette, disons que le premier collier devrait mordre sur le mot "Sky-Watcher" (qui peut servir de graduation en quelque sorte).
  5. 'Bruno

    Tout se perd

    Tu parles à qui ?
  6. Oui mais c'est pour montrer au public... En visuel la focale n'a pas d'importance. C'est parce que tu envisages une lunette achromatique ? L'achromatisme dépend du diamètre et du F/D (et donc indirectement de la focale, si on veut). Pour une lunette, une longue focale implique un tube long, je trouve que c'est un handicap. J'ai une 150/1200 (sur monture allemande), eh bien j'avais sous-estimé la difficulté d'utilisation : pour pointer le Sagittaire je suis debout, pour M11 dans l'Écu je suis assis, pour M27 je suis à genoux dans l'herbe, et pour pointer le zénith... jamais essayé, je tiens à mes cervicales. Ta 127 était-elle une 127/1200 ? Si tu n'avais pas ces inconvénients, c'est que tu était mieux organisé que moi peut-être... Pour montrer le ciel au public, c'est vrai qu'une grande lunette est un avantage : c'est un instrument qui attire, qui donne envie de regarder dedans. Mais si on est pragmatique, je pense qu'il vaut mieux un Dobson motorisé « goto » (en tube plein pour la simplicité). De 200, 250 ou 300 mm selon le poids maximum qu'on peut porter. Mais tu as déjà eu l'expérience du modèle 400 mm donc tu connais ses avantages et inconvénients. Tu ne trouves pas qu'un tel instrument, surtout s'il est plus petit, serait pratique pour tes besoins ?
  7. Ah la la, toujours ces amas globulaires si bien rendus (je dis "ah la la" parce que je ne sais pas les dessiner... ) Quant aux galaxies de la Grue, c'est très original pour nous autres qui vivons la tête en haut...
  8. 'Bruno

    Luminosité de surface

    Ah oui, et tu as bien expliqué ! J'ai l'habitude de dire que le fond du ciel noie les objets faibles, mais en effet ce n'est pas exactement ça : disons que ça les noie dans le sens où ils deviennent invisibles à cause du contraste trop faible.
  9. C'est expliqué dans le texte : « Grâce à sa sensibilité aux faibles lumières, la 662MC donne d'excellents résultats en visuel assisté ou en imagerie du ciel profond suivant la technique du "lucky imaging" (acquisition rapide en rafale puis empilage de très nombreuses images du ciel profond) » La remarque est faite pour l'imagerie rapide, pas pour la pose longue. Elle concerne l'accumulation de poses courtes (c'est plus simple, pas besoin d'auto-guidage, ça peut diminuer l'influence de la turbulence). Pour ça il vaut mieux une caméra sensible, et il paraît que c'est le cas de cette caméra. Évidemment, ce serait encore mieux si elle était refroidie, mais c'est une description commerciale, ils ne vont pas mettre en avant les inconvénients... Mais si on en croit cette description, on peut faire du ciel profond (rien d'étonnant : même les APN permettent de faire du ciel profond, et ils ne sont pas refroidis. Une caméra refroidie, c'est un avantage, c'est mieux, mais on peut faire sans). (Il y a un autre argument, mais théorique, je ne sais pas s'il joue ici. En « lucky imaging » les poses sont vraiment très courtes, du coup on va en accumuler des centaines voire des milliers. Dans ce cas, le bruit de lecture est peut-être largement supérieur au bruit thermique, aussi refroidir la caméra (pour diminuer le bruit thermique) risque d'avoir un effet négligeable.)
  10. 'Bruno

    Luminosité de surface

    C'est comme on veut. Le Third Reference Catalogue de De Vaucouleurs utilise la magnitude par seconde d'arc, le SQM mesure la luminosité du fond du ciel en magnitude par seconde d'arc, je crois que c'est l'unité la plus courante chez les pros. Mais le Night Sky Observer's Guide utilise la magnitude par minute d'arc et j'arrive mieux à interpréter ça, je soupçonne que c'est un choix adapté pour les astronomes amateurs.
  11. 'Bruno

    Luminosité de surface

    Je vais essayer de répondre. La magnitude limite stellaire La magnitude limite à travers un télescope dépend du diamètre (surtout) et du grossissement (un peu), mais aussi des conditions d'observations : transparence, humidité, etc. Ce qui est sûr, c'est qu'on peut calculer la magnitude limite à travers un télescope (ou lunette) en fonction de la magnitude limite à l'œil nu : m(télescope) = m(œil) + 5 log(diamètre télescope / diamètre œil) Exemple : m(T 150) = m(œil) + 6,8 (j'ai pris comme diamètre de l'œil 6,5 mm) Attention : C'est seulement valable pour l'observation des étoiles. Ce n'est pas précis car nos yeux ne sont pas des télescopes (les verres ne sont pas les mêmes...), ce n'est pas exactement comparable. Donner une décimale est probablement abusif, je pense qu'on ne peut pas faire mieux que la 1/2 magnitude près. C'est valable avec la même pupille de sortie, donc au grossissement équipupillaire. La magnitude limite dépend de celle à l'œil nu (c'est là qu'intervient le niveau de pollution lumineuse), il ne faut donc pas dire qu'un télescope de 150 mm atteint une magnitude 13,8 mais que, si l'œil nu voit la magnitude 7,0 alors il atteindra 13,8. En augmentant le grossissement, on améliore légèrement la magnitude limite, de presque 1,0 unité à mon avis. Exemple pratique : j'observe en ville avec une magnitude limite de 4,5 (petite ville) et un télescope de 150 mm. D'après le calcul plus haut, je peux espérer atteindre 4,5 + 6,8 = 11,3 au grossissement équipupillaire, donc un peu plus de 12,0 avec un grossissement optimal. Mais seulement sur les étoiles. La magnitude de surface Pour le ciel profond, je préfère l'exprimer en magnitude par minute d'arc carrée, parce que la grande majorité des objets du ciel profond ont des dimensions qui s'expriment en minutes d'arc (exception : les petites nébuleuses planétaires, les très grandes nébuleuses, les nuages de Magellan...) et aussi parce que le Night Sky Observer's Guide utilise cette unité. Voici quelques ordres de grandeur utiles à avoir en tête : Les galaxies ont des magnitudes de surface assez homogènes, en gros 12 = galaxie lumineuse (M51, M104), 13 = galaxie moyenne, 14 = galaxie peu lumineuse (M33), 15 = galaxie très faible, nécessite un excellent ciel (NGC 4236), >15 = challenge pour la haute montagne (naine du Lion, naine du Fourneau...) Pour les autres nébuleuses, c'est très inhomogène. Par exemple NGC 6210 est à moins de 10 (c'est une toute petite nébuleuse planétaire très lumineuse), mais les nébuleuses Abell sont souvent à 15, 16, voire au-delà... Dans les catalogues, les magnitudes surfaciques sont renseignées seulement pour les nébuleuses planétaires et les galaxies (et les amas globulaires, mais pour eux la notion utile est la magnitude des étoiles les plus brillantes), à ma connaissance en tout cas (si tu connais un catalogue pour les nébuleuses diffuses, j'achète !) De façon générale, je trouve utile de prévoir la visibilité d'une nébuleuse en la comparant à celle d'une galaxie. Exemple : si une nébuleuse planétaire est de magnitude 10,5 mais de magnitude surfacique 14,5, j'en déduis qu'elle sera aussi difficile qu'une galaxie peu lumineuse de magnitude 10,5, donc visible chez moi mais très faible. Pour les galaxies, la magnitude est un bon critère de visibilité, la magnitude de surface servant à la nuancer. Par exemple NGC 4236 semble aussi facile qu'une galaxie Messier, mais sa magnitude de surface indique une très faible luminosité, donc elle risque d'être difficile (voire invisible ?). Par expérience, en rase campagne j'observe des galaxies (lumineuses ?) jusqu'à la magnitude 13 au 200 mm, 14 au 300 mm, 15 au 500 mm. Mais c'est très faible ! Disons que la vision décalée est nécessaire à partir de 1,5 magnitude en-dessous, donc 11,5 au 200 mm, 12,5 au 300 mm et 13,5 au 500 mm. Quelque chose comme ça. Pour les nébuleuses planétaires, je trouve que le meilleur critère est V + SV (V = magnitude V (*), SV = magnitude surfacique V). Il faut trouver la limite en fonction de ses observations, mais on peut se baser sur l'observation des galaxies : je vois des galaxies jusqu'à la magnitude 14 au 300 mm, peut-être parce qu'elles sont lumineuses (SV = 12), donc V + SV <= 26. Il me semble que ça colle avec mes observations. (*) Je crois que tu as utilisé pour M95 et NGC 3628 des magnitudes B au lieu de V. En tout cas la « magnitude limite surfacique » ne dépend pas du diamètre du télescope, seulement du ciel. En gros, la pollution lumineuse rend lumineux le fond du ciel, celui-ci a donc une certaine magnitude surfacique (exprimée en magnitude par seconde d'arc, il me semble que c'est ce que mesure un SQM), et un astre doit avoir une magnitude surfacique plus basse (= plus lumineux) que celle du fond du ciel pour être visible. Voilà ce que m'inspire aujourd'hui ce sujet.
  12. 'Bruno

    Tube planétaire

    Un 150 à 700-800 € ou bien un 150 haut de gamme ? Une lunette 150 ED, là OK, ça confirme ce que j'ai lu sur les forums.
  13. 'Bruno

    Tube planétaire

    Est-il possible qu'un instrument de ~150 mm fasse mieux en planétaire qu'un Dobson 300 mm ? J'ai quand mêmes des doutes. À moins que le 300 mm ait une optique médiocre, ou bien qu'on le mette face à une lunette apochromatique haut de gamme de ~130 mm (possible d'après des témoignages lus sur les forums). Mais si c'est juste un Cassegrain ou Maksutov chinois, j'ai un gros doute. Tu risques la dépense inutile. Mais il est vrai que tout dépend de quoi on parle : le 300 mm devrait montrer plus de détails, mais l'image sera souvent moins esthétique car les détails bougeront, danseront, disparaîtront et réapparaîtront... ; l'instrument spécialisé planétaire de petit diamètre pourrait montrer une image plus stable (lorsque la turbulence est visible au 300 mm mais pas au 150 mm), mais plus petite et moins détaillée. (Cela dit il suffit d'utiliser un faible grossissement au 300 mm pour avoir la même chose, avec des couleurs plus vives grâce au diamètre.) Marko : une autre solution serait d'acquérir une tête binoculaire. Même une d'entrée de gamme à 300-400 €. Il faut ajouter une Barlow et acheter un deuxième oculaire identique à l'un que tu possèdes déjà, et tu vas peut-être gagner nettement. C'est ce que j'ai fait avec mon Dobson 300 mm (j'utilise une tête binoculaire William Optics avec la barlow x2 livrée avec, et une paire de X-Cel 12 mm), l'effet est étonnant : l'image a l'air plus grosse que prévu (ça grossit 200 fois, j'ai l'impression de grossir 400 fois), et l'image ne danse plus (si la turbulence n'est pas trop forte). C'est une nette amélioration, je trouve. (Mais il paraît que tout le monde ne fusionne pas bien les images bino, donc il faut peut-être essayer avant). En tout cas, pour moi, l'instrument spécialisé pour les planètes, c'est la tête binoculaire. Une petite remarque sur la collimation : il y a des gens qui croient que le télescope est collimaté lorsque le retour du laser est pile poil à la position attendue, ou lorsque le cheshire leur montre exactement l'image prévue, ou ce genre de chose. Non, le télescope est collimaté s'il est impossible de distinguer un allongement (ou un excès de luminosité) d'une étoile focalisée à fort grossissement, même en faisant exprès de chercher cet allongement. Si ça turbule on ne voit pas le disque d'Airy, mais on peut voir si ça a l'air un poil plus allongé (ou plus lumineux) par ci ou par là, quitte à défocaliser très légèrement. Je dis ça pour le cas où ça expliquerait que le 300 mm donne des images planétaires décevantes.
  14. Le 30 septembre 1974, Pompidou était mort, c'est Giscard d'Estaing qui était président et Chirac son premier ministre.
  15. de notre univers observable. Mais c'est la planète Xoltron qui est au centre de l'univers observable des xoltronnais.
  16. La Lune, ça compte pas, c'est trop facile ! (Pas besoin de stocker des centaines d'images, de les retravailler ensuite à coup d'ondelettes ou de masques flous : il suffit de visionner le film en direct et on voit les cratères.) Mais Clouzot parle d'un logiciel qui permet de faire ce que tu souhaites, je crois. Dans ce cas, ce sera effectivement avec une caméra planétaire.
  17. Une petite remarque en attendant les interventions de ceux qui s'y connaissent... Normalement, ce que certains appellent improprement « visuel assisté », c'est de l'imagerie rapide et en temps réel : on prend une image, on ne s'embête pas avec les traitements, et on la contemple presque en direct. Dans ce cas je ne suis pas sûr qu'une caméra planétaire convienne. Mais tu souhaites peut-être faire de l'imagerie planétaire « classique » (avec le traitement habituel : extraire du film les images les moins bruitées, les caler sur la planète pour annuler le bougé et la rotation de champ, les additionner, les traiter par ondelettes ou masque flou, etc. ? Ces caméras sont faites pour ça. Mais si tu te contentes d'imagerie rapide, donc de prendre seulement quelques images sans les traiter, tu n'auras pas les résultats de l'imagerie planétaire « classique » (et de loin à mon avis, quand on voit les miracles obtenus avec le traitement d'images...)
  18. Je signale que les calculs de Zetaa sont corrects (à part 20×0,9539), mais la mise en page est à corriger, en particulier les racines carrées ne se sont pas affichées. Δt′= Δt √(1−v²/c²), etc.
  19. Une image toute floue en journée, toute noire la nuit, c'est sûrement un problème de mise au point. Pour qu'un défaut d'alignement produise un résultat pareil, il faudrait vraiment que les optiques soient complètement de travers et on s'en serait rendu compte rien qu'en regardant le télescope. Du coup... Jacmic : il y a bien un miroir secondaire ? Il est bien orienté vers le porte-oculaire, il ne serait pas de travers dès fois ? (Mais je ne crois pas trop à cette hypothèse...)
  20. Il faut le diamètre le plus grand possible. En photo, le F/D se calcule à partir de la taille des photosites du capteur et, au besoin, on ajoute une Barlow.
  21. Bonjour Allegro ! Bonne idée de détailler, au moins on a des éléments de contexte. Pour l'APN, n'envisages-tu pas de ne pas défiltrer, ne serait-ce que dans un premier temps? Tu ne vas pas te spécialiser dans les nébuleuses à émission, si ? Le Dobson goto est-il motorisé ? Si oui, c'est plutôt lui qui devrait servir pour les images de planètes, non ?
  22. Je m'en doutais Ton choix est cohérent.
  23. On recherche un livre qui explique ce que sont les nébuleuses, les amas ouverts, les rémanents de supernova, etc. et qui soit accessible au grand public... Je ne connais pas bien les livres récents, et celui-ci, je l'ai juste feuilleté, mais je crois qu'il répond à la question : https://www.glenat.com/reference/le-grand-atlas-de-lastronomie-8e-ed-9782344060384 (mais c'est peut-être quand même plus pour de futurs astronomes amateurs que juste des contemplateurs de passage, d'ailleurs il y a un atlas des constellations dans le livre).
  24. Un prix pareil me donnerait l'impression d'avoir à faire à un receleur. D'ailleurs c'est peut-être le cas quand on sait que ces gens là trouvent des combines pour ne pas payer leurs impôts. Le télescope coûte 2000 € dans un magasin français, mais le magasin paie ses impôts et participe au financement des services publics de notre pays. Ça rentre dans le budget de Gcedric57, je ne vois pas de raison de chercher à l'acheter dans des sites louches comme Amazon.
  25. Voilà un besoin bien identifié. Si tu veux progresser, tu dois savoir pointer. C'est effectivement le plus difficile à faire quand on démarre. Si tu disposes d'un chercheur optique, tu dois d'abord le régler, et avec le plus de précision possible. Si tu disposes d'un pointeur, pareil. Ensuite, il faut y aller progressivement : pointer une étoile brillante visible à l'œil nu, puis pointer des étoiles plus faibles (par exemple des étoiles doubles, c'est plus amusant et au moins on est sûr qu'on est sur la bonne), puis pointer à partir d'une carte plus ou moins détaillée. L'une des principales difficultés quand on utilise un chercheur optique, c'est d'évaluer la taille du champ et son orientation (qui n'est jamais comme on le croit). Les cartes doivent être adaptées, si tu utilises un logiciel tu dois bien l'avoir en main. Cet apprentissage n'est pas évident, il faut être méthodique et s'attendre à y passer du temps (certains y parviennent rapidement, d'autres n'y arrivent jamais, et la majorité sont entre les deux... J'ai mis deux ans avant de savoir pointer, mais aujourd'hui je n'ai peur de rien). Quel matériel peut aider ? Je dirais que si tu possèdes un chercheur optique et que tu n'arrives pas à t'en servir, tu pourrais essayer un pointeur. Si tu possèdes un chercheur optique, tu pourrais aussi acquérir des jumelles 10×50 : elles ont un grossissement et un champ similaire à la plupart des chercheurs, ce qui peut aider à se faire à un chercheur (par exemple réaliser l'étroitesse du champ, l'éclat des étoiles...), et ce n'est pas un achat perdu : ces jumelles serviront toute la vie.
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