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xs_man

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Tout ce qui a été posté par xs_man

  1. Romano Zen ? Albéric
  2. S'il n'y avait que Taka.... Ce serait un moindre mal... Mais c'est tout le matériel astro qui a pris une sacré claque ces 3 dernières années. Albéric
  3. xs_man

    Occas' du Oueb

    Moi je dirais plutôt un 300 ! A 100 Euros si complet, c'est cadô en effet ! Albéric
  4. Pas encore tout à fait vintage, ça va venir, mais déjà un collector, à coup sûr ! Vu la faible obstruction centrale, là on doit être dans le domaine de l'"APO-killer". Un magnifique et rarisime Mak Aries de 250 mm : http://www.astrosurf.com/annonces/ventes/aries-mak-cass-10”-f15-r24211/ Albéric
  5. Du même vendeur... Enjoy... https://www.leboncoin.fr/image_son/2079687953.htm Albéric
  6. Staffy, tu penses que le clonage se serait fait dans l'autre sens ? Albéric
  7. Un clone exact de ma toute première lunette... Une Perl Andromède. Bon sang ça date... Donc le clone, une Paralux 60/415 qui semble complète, emballage compris : https://www.leboncoin.fr/sports_hobbies/2122641264.htm 50 Euros c'est très correct je trouve. Albéric
  8. Salut les historiens de l'astro, En faisant du rapartiement de vieilleries de ma fougueuse jeunesse, j'ai retrouvé un document vraiment intéressant. On en avait parlé dans les annonces vintage lorsqu'une annonce du Bon Coin, concernant l'une de ces lunettes, avait été postée. Je n'en avais qu'un vague souvenir mais c'est l'occasion de compléter un modeste pan de l'histoire. Ca intéressera surement Staffy s'il n'a pas encore le dépliant de l'époque... Il s'agit de l'ASTROKIT 60, à première vue une classique lunette achromatique de 60/700 fabriquée en France fin des années 80, début 90 (je n'ai pas les dates exactes du début et la fin de production). Ce qui est moins commun est sa fabrication, en grande partie en PVC et par des personnes handicapées dans un "atelier protégé" de l'AAIH (Association d'Aide aux Infirmes Handicapés du Kremlin-Bicêtre). Aujourd'hui ces ateliers ont été renommés CAT. Voici le dépliant concernant cette lunette proposée soit en modèle azimutal soit en équatoriale ainsi que les accessoires associés. Par contre je ne me rappelais pas que ce même atelier s'occupait de l'aluminiure de miroirs. Mais c'est bien eux qui avaient traité mon primaire Mosser de 200 mm de l'époque. (j'ai caché mon adresse de l'époque, sans intérêt ici). Extra-Bonus, les tarifs des optiques Mosser début 90 : Albéric
  9. Hi ! Excellente nouvelle pour ceux/celle qui l'attendait, une caméra à base du capteur IMX432 verra le jour chez QHYCCD. Sur le forum de QHYCCD, Qiu (le manager) a clairement indiqué que cette nouvelle caméra est bien en cours de développement mais que le développement de la QHY268 est pour l'instant prioritaire. Surement pour contrer au plus vite l'annonce de la ZWO ASI 2600... Pour mémoire l'IMX432 est un capteur FSI, global Shutter, monochrome/couleur, gros pixels de 9 microns, 1.8 Mpixels. Résolution limitée, c'est dommage. "Sensibilité" annoncé 10 fois supérieure comparée aux IMX178/IMX183 pour un F/D 5.6. Et 5 fois supérieure à un IMX 174. Le tableau de comparaison : Avec de gros pixels, c'est le capteur parfait pour le visuel assisté surtout associé à une optique rapide, un vrai entonnoir à photons ! En poses rapides, elle augmentera le champ des possibles vers des cibles toujours plus faibles mais ce sera dans ce cas au détriment de la résolution. Pour certain phénomènes rapides ou transitoires (étoiles filantes, occultation d'étoiles, transit d'exoplanètes par exemple) là encore c'est une excellente candidate. Un bon test serait de mettre en évidencele pulsar du crabe avec un gros telescope d'amateur. Cette caméra en sera-t'elle capable ? Faudra quand même voir ce que cela donne côté correction de l'Amp Glow, qui sera probablement assez important comme sur l'IMX 174. Et le capteur sera surement tramé comme l'IMX174, à vérifier. J'ai demandé le prix sur le forum, pas encore de réponse. Mais au vu des données de ce capteur, en partant du prix des actuelles caméras ZWO/QHYCCD intégrant un IMX 174, on sera de toute façon très certainement au-dessus des 1000 Euros. Pas donné donc ! Au moins si cette nouvelle caméra tient bien ses promesses, on aura une alternative pas trop mauvaise aux très sensibles mais bien trop onéreuses QHY2020 et QHY42. En comparaison, elle restera quand même sensiblement en retrait sur presque tous les plans (QE, bruit de lecture, résolution). Pour info, Mallincam a sorti une caméra à base d'IMX432 au prix de 1500 Dollars : https://www.mallincam.net/skyraider-ds432ctec.html A suivre. Albéric
  10. Salut la foule, Me voilà désormais l'heureux détenteur d'une caméra ZWO ASI 385 de béta-test avec le nouveau capteur Sony IMX 385, le grand frère de l'IMX 224. Résolution de 1936x1096 (2.1 Mpixels), pixels de 3.75 microns. Sensibilité annoncée comme équivalente à l'IMX224. J'avais fait un tableau de comparaison ici : http://www.webastro.net/forum/showthread.php?t=148863 1- Présentation : La caméra et les accessoires sont livrés dans un carton blanc classique et fonctionnel. On trouve les accessoires standards livrés de base : – la caméra avec objectif all sky, – cable ST4 de guidage, longueur 2 m – Cache noir 31.75 – Nez au format M42-31.75 mm – Cable USB3.0, longueur 2 m – CD drivers/software et mode d'emploi. Ma caméra de test a été livrée avec un filtre Ir-cut devant le capteur. C'est une erreur, je l'ai signalé à ZWO. Il faut une fenêtre de protection qui ne filtre pas si on veut exploiter la grande sensibilité du capteur en Infra-rouge. 2-Soft : Pour l'instant, en attendant une version stable, seul Firecapture v 2.6 béta supporte l'ASI 385. J'ai bien eu un ou deux plantages mais globalement ça marche bien pour les fonctionnalités de base : cadence image, réglages caméra, enregitrement vidéo en SER. J'espère que SharpCap la supportera aussi à 100% rapidement. Pour l'instant, il ne gére la caméra que via ASCOM. OK pour l'autoguidage mais très insuffisant pour un usage normal planétaire/lunaire/Ciel profond poses courtes. 3- Champ comparé : Voici le gros avantage de l'IMX 385 sur l'IMX 224, un champ sensiblement plus important. De 1.3 Mpix on passe à 2.1 Mpix. Plutôt qu'un long discours, voici une comparaison sur une image concrète entre 3 capteurs de même techno 3.75 microns (mais de génération différente) : IMX185 : 1945x1225 (2.4 Mpix) IMX224 : 1305x977 (1.3 Mpix) IMX385 : 1936x1096 (2.1 Mpix) L'IMX385 reprend le format 16/9e de l'IMX290. On adore ou on déteste. Mais sur cet exemple, Saturne et ses satellites avec mon télescope de 300 mm, on voit clairement l'avantage de l'IMX385 sur le 224. Et au final, on ne perd que peu à l'IMX 185. C'est avantageux aussi pour "attraper" les satellites de Jupiter lorsqu'ils sont à proximité de la planète. Et en ciel profond, de toute façon tout supplément de champ est bon à prendre quelque soit le télescope ! 4- Cadences Image maximales : Là encore j'ai choisi de comparer des caméras ZWO intégrant l'IMX185, l'IMX224 et l'IMX385, c'est très parlant : Donc les cadences image sont juste un peu meilleures qu'avec l'IMX 185, logique si on considère que Sony n'a donc pas retravaillé ce point. L'IMX 224 reste encore nettement devant. Mais soyons réalistes, hormis pour la brillante Vénus, on n'exploite pas forcément 100% de ce potentiel, surtout avec un échantillonnage adapté à un capteur couleur en planétaire. Et pour avoir utilisé l'IMX 185 en planétaire (voir l'image du précédent paragraphe), je trouve que les cadences images de l'IMX385 sont bien étagées pour cette utilisation. 5- Bruit de lecture : Désolé mais pour l'instant je n'ai pas trouvé de solution pour mesurer correctement le bruit de lecture. Ca n'est pas faute d'avoir essayé pourtant ! Mais que ce soit avec le soft ISIS ou la soustration "manuelle" des Offsets/Flats, rien à faire, j'obtiens systématiquement des valeurs des valeurs très faibles, trop faibles, de l'ordre de 0.1 e- y compris à faible gain. Si quelqu'un a une solution, je suis preneur ! Faute de mieux, les valeurs attendues seront de toute façon proches de celles obtenues avec l'IMX 224. 6- Amp glow : C'est là que l'ASI 385 fait toute la différence par rapport à une ASI 185. L'électroluminescence ("amp glow") de l'IMX 185 était ingérable (QHYCCD avait réussi à le réduire le signal parasite manière significative mais il en restait encore trop). Sur l'ASI 385, ZWO a ajouté un circuit anti-amp glow qui se déclenche dès 1 seconde d'exposition pour l'imagerie du ciel profond en poses courtes. Et ce système est vraiment très efficace, le signal parasite est très fortement réduit, le reliquat reste vraiment très discret. Voici une comparaison avec l'ASI 224, j'ai l'ancienne version sans le circuit anti-amp glow. Sur l'ASI 385, à 990 ms, le circuit n'est pas actif. Mais à 1 seconde, il se déclenche. Sur un petit galop d'essai très rapide sur NGC7331 : 7- Premier essai : Malheureusement je n'ai pas pu faire d'images dignes de ce nom. J'ai à peine eu le temps de tenter un très rapide galop d'essai vendredi soir avant l'arrivée des nuages. Bon, c'est vraiment pas terrible mais je la poste quand même, heureusement la caméra vaut bien mieux que ça ! NGC7331, 17 poses de 5 secondes (seulement 1 min 25 secondes cumulés), RVB (caméra avec filtre Ir-Cut), pas de darks, traitement Iris/Photoshop vite fait, réduction 60% : Avec l'ASI 224 en ciel profond poses courtes, les darks étaient incontournables. Et même avec les darks, difficile de dépasser quelques secondes de pose. Là, avec un nombre suffisants de brutes on devrait presque pouvoir se passer de darks, même pour quelques secondes de pose. A vérifier une prochaine fois. Maintenant j'attends une meilleure occasion de pouvoir montrer le vrai potentiel de mon nouveau jouet ! Premières conclusions : Pour simplifier, je dirais que l'ASI 385 est une synthèse réussie de l'ASI 224 et de l'ASI 185. Donc une caméra polyvalente planétaire/lunaire/ciel profond en poses courtes. Plus de champ que l'ASI 224, c'est vraiment très appréciable pour les télescopes de plus de 250 mm ! Certes, je n'ai pas réussi à mesurer le bruit de lecture pour l'instant même si je ne doute pas de la performance de l'IMX 385 sur ce point. Hormis le filtre Ir-cut à remplacer, c'est facile, le seul petit bémol à mon sens, c'est le déclenchement du système anti-amp glow à 1 seconde. Perso j'aurais préféré que cela descende un peu plus bas à 750 ms ou mieux 500 ms pour exploiter au mieux les images des nébuleuses et amas globulaires brillants en poses courtes. Mais je suis très perfectionniste ! Quelques darks pour donner une idée du rémanent d'amp-glow : 1- EN POSES LONGUES : 2- EN POSES COURTES/MOYENNES à gain élevé : RESULTATS EN IMAGES : Albéric
  11. Pour les geeks, voici ma liste de capteurs potentiellement intéressants en astronomie (lunaire, solaire et Ciel Profond en poses courtes). c'est limité aux petits et moyens formats : 1. Taille du pixel : à prendre en compte pour le choix de l'échantillonnage des cibles en fonction de l'instrument et de la technique d'imagerie : lunaire/solaire/planétaire, ciel profond en poses courtes ou ciel profond en poses longues. 2. Bruit de lecture : bruit systématique et quantifiable généré par le convertisseur ADC (analogique/digital) du capteur même en l'absence de signal et qui doit être le plus bas possible. C'est l'un des critères fondamentaux qui contribue à la sensibilité du capteur, sa capacité à "voir" les cibles les plus faibles. 3. "Amp Glow": c'est le bruit dû au rayonnement thermique généré par les composants électroniques de la camera, il doit donc être aussi le plus réduit possible pour ne pas "noyer" les cibles les plus faibles. 4. Rendement Quantique (QE) : c'est la capacité du capteur à convertir des photons en électron (le signal électrique), il doit être le plus élevé possible (100% => 100 photons produisent 100 électrons). 5. l'obturateur peut être de type "global" ou "rolling" : en mode "global", tous les pixels du capteur sont lus en même temps alors qu'en mode "rolling" chaque ligne de pixels est lue séquentiellement, l'une après l'autre, en continu. Le mode "rolling" n'est pas adapté aux cibles se déplaçant rapidement mais concrètement en astronomie, on s'en moque ! 6. SNR1s : https://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/security/technology/snr1s.html Concernant le calcul de la "sensibilité" des capteurs Sony : Exprimée auparavant en mV (analogique, utilisé pour les CCD), elle est désormais présenté en digit ou LSB (numérique plus adapté aux CMOS). Ca ne nos arrange pas pour les comparaisons... La conversion de l'un à l'autre n'est pas triviale, elle dépend du capteur et du mode de lecture. Voici les infos que j'ai pu glaner : IMX322 (Exmor): -------------------- 1 Digit = 0.890 mV pour sortie en 10 bits 1 Digit = 0.2224mV pour sortie en 12 bits IMX219 (Exmor R) : ------------------------ 1 LSB = 0.357 mV IMX183 (Exmor Starvis) : ------------------------------- 1 Digit = 0.2465 mV * IMX290 - IMX291 (Exmor Starvis) : -------------------------------------------- 1 Digit = 0.2370mV for 12-bit output 1 Digit = 0.9479mV for 10-bit output Global Shutter Pregius Stacked IMX5xx : --------------------------------------------------- 1 Digit = 0.2445 mV (during 12 bit output), 1 Digit = 0.9779 mV (during 10 bit output), 1 Digit = 0.9779 mV (during 8 bit output). Perso je prends comme référence 1 Digit = 0.2370mV (IMX290) ou 1 Digit = 0.2465 mV (IMX183), ces valeurs sont très proches et faute d'information ça donne quand même une bonne première approximation. Source Sony: http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/new_pro/index.html https://www.sony.net/SonyInfo/News/Press/201704/17-034E/ Source GPIXEL GSENSE2020 : version FSI de base : http://www.gpixelinc.com/en/index.php?s=/b/62.html version BSI : http://www.gpixelinc.com/en/Data/Uploads/file/14968045547117.pdf L'IMX 183, un grand IMX 178, rien de plus à en dire. Infiniment plus intéressants les IMX 385 et IMX 294, du même calibre que l'IMX 224 côté indicateur SNR1s, donc vraiment très bon à faible flux lumineux. L'IMX 385 est tout simplement un IMX 224 plus grand, avec le stupide format 16/9e de l'IMX 290. Grrrrrr.... Par contre les deux (IMX385 et IMX224) étant des FSI, et connaissant aussi l'IMX 185, le point à voir c'est le niveau de signal d'"amp glow" ? J'ai aussi ajouté l'IMX390, qui aurait dû être le successeur de l'IMX290 en plus grand. Mais c'est une version "plombée" par le système anti-flickering pour les Leds des feux routier. Il est donc très lent comparé à l'IMX290 et a le plus bas signal de saturation de tous les capteurs du tableau. Et à mon avis, le plus prometteur, c'est l'IMX 294, gros pixels de 4.63 microns, techno BSI, donc à priori pas trop d'amp-glow (à vérifier quand même), et SNR1s identique à l'IMX224. Malheureusement seulement en couleur pour l'instant. Ajout des IMX273 / IMX296 / IMX420 / IMX428 le 23 Juillet 2017. Orientés Vision industrielle (techno Pregius). IMX273/IMX296 : http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX273_287_296_297_Flyer.pdf Les IMX420/IMX428 monochrome sont particulièrement intéressants : http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX420LLJ_Flyer.pdf http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX428LLJ_Flyer.pdf Nouvelles infos (merci Romain ) sur les IMX420/IMX428 : https://www.imveurope.com/press-releases/imx420-and-imx428-image-sensors Remise à jour le 11/08/2017 : Encore 2 nouveaux capteurs couleur BSI , 2.1 Mpix, 60 fps, 2.9 microns, les IMX307 et IMX327. Destinés aux caméras de surveillance : http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX307LQD_LQR_Flyer.pdf http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX327LQR_LQR1_Flyer.pdf Remise à jour 29/09/2017 : IMX 421 et IMX 422, monochrome global Shutter 4.5 microns : http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX421LLJ_Flyer.pdf http://www.sony-semicon.co.jp/products_en/IS/sensor0/img/product/cmos/IMX422LLJ_Flyer.pdf Remise à jour 07/01/2018 : Ajout d'informations manquantes. Ajout du paramètre de Sensibilité Normalisé utilisé par Hiten (Astrojedi) sur le forum Cloudy Night. Remise à jour 13/05/2018 : Ajout des IMX 392, IMX 428, IMX 437, IMX 430, IMX 425, et IMX 432. Remise à jour 16/12/2018 : Ajout du SC4210. http://image-sensors-world.blogspot.com/2018/12/smartsens-unveils-nir-enhanced-4mp.html Remise à jour 19/12/2018 : Ajout de l'IMX490. Remise à jour 09/02/2019 : Ajout des Fairchild MST4323 et LTN4323 remise à jour 29/06/2019 : Ajout des IMX347 et IMX485 Remise à jour le 20/01/2020 : Ajout des IMX533 et IMX482 Remise à jour le 12/03/2020: Ajout du Fairschild HWK4123 Remise à jour le 21/04/2020: Ajout de l'IMX462. Réactualisation des données le 23/05/2020 puis le 11/06/2020 Réactualisation le 29/06/2021 avec ajout des qCMOS et IMX585 Réactualisation le 25/10/2021 avec ajout des IMX662, IMX 492 et IMX533 monochrome Réactualisation données le 21/02/2022 Albéric
  12. A mon tour de vous proposer les deux petites géantes gazeuses. Uranus date du 19/08/2012, Neptune du 23/08/2012. J'ai tenté les insaisissables bandes d'Uranus mais rien au final, hormi un artéfact en arc de cercle avec la ACE 1600. Pas mieux avec la Toucam, le disque reste uniforme. Et Neptune est vraiment difficile : d'une part à trouver et d'autre part à imager, vu sa très faible luminosité. La Toucam est à la peine ! Uranus à la ACE 1600 + filtre 21A, taille d'acquition : Uranus à la Toucam Pro2, 130 % de la taille d'acquition : Neptune à la Toucam Pro2, 130 % de la taille d'acquition : Télescope Newton de 400/1800 sur monture LXD 750. Uranus à la Basler Ace 1600 : Capture de 6000 images, Tri à l'oeil, 1800 images conservées, Temps d'exposition 300 ms, Basler ACE 1600 filtre orange 21A + ADC, projection barlow 5X, Uranus/Neptune à la Toucam : Toucam Pro 2 flashée SPC900 mode optimisé, filtre Ir, mode 5 images/secondes (soit temps d'exposition de 200 ms), Tri manuel de 4 captures de 2200/ 2500 imagespour Uranus et de 3 captures de 2000 images environ pour Neptune. Dans tous les cas : traitement Registax et Iris. Retouches cosmétiques sur Photoshop. 17 Captures de 1600/1700 images environ par canal, 25 image/secondes, + Roue à filtre R,V B Orion. Tri à l'oeil de chaque capture, traitement Registax 6 (et Registax 5 dans certains cas) puis Iris, Winjupos pour le recallage des couches RVB de Jupiter. Puis second recallage des couches réalisé sur Ganymède. Photoshop pour équilibrer et recadrer le tout. Albéric
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